Percy Jackson et les dieux grecs

percy jackson

Auteur : Rick Riordan

Maison d’édition : Albin Michel

Année de parution : 2014


Résumé

Percy Jackson, un demi-dieu, un ado d’aujourd’hui, un jeune atteint de dyslexie et d’hyperactivité, nous fait le récit du commencement, de la hiérarchie des créatures mythologiques ainsi que celle des dieux. Il nous raconte tous les points forts, les points faibles des Dieux et de leurs ancêtres. Il raconte aussi les principales batailles. Percy nous raconte aussi comment les Dieux ont vaincu leur père, Cronos, et les titans et comment la mère des Dieux les a sauvés.

Critique

Je trouve que c’est un très bon livre de descriptions. Je crois qu’il s’adresse à tous les lecteurs voulant en apprendre plus sur l’Olympe, le commencement du commencement, l’histoire de la terre et du ciel, les Titans, les dieux et la plupart des créatures mythologiques. Il explique beaucoup plus les histoires principales, car s’il racontait tout, je crois qu’il faudrait une centaine de livres de plus! Le livre est cependant parfois difficile à lire. Il y a aussi beaucoup de détails, pour les plus curieux et aussi des instants où il y en a moins, pour les plus imaginatifs. Le livre est d’autant plus attirant pour les adolescents, puisque c’est Percy Jackson, un ado d’aujourd’hui, qui explique tous ces grands changements, et ces grandes batailles. Je me dois de répéter encore, que ce livre est très intéressant, et qu’il nous apprend beaucoup sur les Dieux olympiens. Je recommande donc encore une fois, ce livre à tous ceux qui veulent en savoir plus.

Rédigé par Marc-Antoine Baillargé, le 26 avril 2015

Les héritiers d’Enkidiev. 11 : Double allégeance

heritiers enkidiev

Auteur : Anne Robillard

Maison d’édition : Wellan Inc.

Année de parution : 2015


Résumé

Au début, on parle de Saonic, un des chasseurs envoyés par Achéron, pour tuer son fils, Kimaati, le dieu-lion. Nous rejoignons ensuite Lassa, le dieu-dauphin ailé, Briag, le moine, et Hawke, le moine elfe, pour tenter de retrouver la petite fille qui permettrait d’empêcher une guerre d’éclater, la fille de Swan/Napalhuaca. Hadrian et son groupe, poursuivaient toujours Onyx et sa famille, alors qu’il fut appelé par Kira, pour commander temporairement les Chevaliers D’Émeraude, afin de détrôner celui qui s’est emparé du château d’Onyx, lors de son absence.

Critique

Ce livre nous fait rester en alerte dès les premières pages, jusqu’aux dernières. Ce livre est la suite du 10e tome, «  Déchéance », et il contient beaucoup de péripéties. Je trouve que c’est un très bon livre. Cependant, je recommande de lire ce livre seulement après avoir lu le 10e tome, puisque le 11e tome, Double Allégeance, fait beaucoup de références à celui-ci. Le livre est rempli de trahisons, de magie, de bouleversements, de retournements de situation, etc.. Donc, tout ce qu’il faut pour qu’un livre soit intéressant. Ce livre nous fait vraiment embarquer dans l’histoire, ce qui fait en sorte que nous ne voulons jamais arrêter de le lire. La fin nous laisse beaucoup de suspense, et nous attendons donc le 12e tome, Kimaati, avec beaucoup d’impatience. Je recommande donc ce livre avec beaucoup de ferveur.

Rédigé par Marc-Antoine Baillargé, le 8 mai 2015

L’épreuve.2 : La terre brûlée

terre bruleeAuteur : James Dashner
Maison d’édition : Pocket Jeunesse
Année de parution : 2010


Résumé

Thomas et les autres Blocards se réveillèrent dans un endroit mystérieux. Aussitôt réveillés, ils inspectèrent chaque pièce de cet endroit. Ils étaient encerclés par ce qu’ils appellent des « fondus au bout du rouleau ». Ils eurent ensuite la visite de « l’homme rat » qui leur a expliqué, en quoi consistait « l’Épreuve ». Après avoir traversé le transplat, ils coursèrent dans un couloir noir possédant des pièges qui fit réduire leur nombre jusqu’à onze. Ils eurent ensuite la visite de deux Fondus mais qui avaient encore de l’intelligence. Ensuite, Thomas et les autres coururent vers la ville. Rendus à l’intérieur d’un bâtiment, ils firent la rencontre d’une bande de Fondus. Deux d’entre eux, Brenda et Jorges, les escortèrent jusqu’au refuge. En route, les Blocards rencontrèrent le groupe B. Ils arrivèrent ensuite au fameux « refuge » qui était un leurre. Le WICKED les amena ensuite dans le vrai refuge.

Critique

Je crois que c’est un très bon livre pour les jeunes d’environ 11 à 16 ans puisqu’il est parfois trop violent pour les plus jeunes et contient de petits moments que beaucoup d’adolescents voudraient rencontrer dans la vraie vie. Ce livre est aussi rempli d’aventures en lieux urbains et désertiques. Il possède aussi beaucoup d’intrigues qui mènent soit à la confusion ou à la compréhension du lecteur, mais qui rendent ce livre beaucoup plus intéressant. Le livre détient plein de mystères et de mensonges. Je trouve que ce livre est très attrayant et détient une excellente histoire. Peut-être que certain trouveront qu’il contient beaucoup de pages, mais puisqu’il a une très bonne histoire, je crois qu’il peut être assez facile à lire pour tous. En résumé, c’est un très bon livre que je recommande à tous, après avoir lu le premier livre de la série.

Rédigé par Marc-Antoine Baillargé, février 2015

La cosmétique de l’ennemi

cosmetique ennemi

Auteure : Amélie Nothomb

Maison d’édition : Albin Michel

Année de publication : 2001


Résumé

Jérôme Angust, homme d’affaires qui semble être tout ce qu’il y a de plus banal, attend son vol, assis dans les chaises inconfortables communes aux aéroports. Textor Texel, un peu moins banal, avait décidé de faire de Jérôme la victime du crime parfait. Personne n’était au courant. Pas même Jérôme. Tout ce que Textor Texel avait eu à faire, c’était de parler et d’attendre. Et plus il parlait, plus son piège se refermait sur sa victime. Plus le dialogue se poursuivait, plus l’effet d’entonnoir opérait. « J’agis en fonction d’une cosmétique rigoureuse. La cosmétique, ignare, est la science de l’ordre universel, la morale suprême qui détermine le monde. Ce n’est pas ma faute si les esthéticiennes ont récupéré ce mot admirable. Il eût été anticosmétique de débarquer en vous révélant d’emblée votre élection. Il fallait vous la faire éprouver par un vertige sacré. »

Critique

Un chef-d’œuvre. Amélie Nothomb ne manque jamais de me fasciner. Sa fluidité pour décrire des récits aussi complexes me surprend à chaque fois. Elle aborde des thèmes complexes, durs, controversés. Mais elle le fait avec tant d’adresse et en parle d’un point de vue si peu commun qu’on ne peut s’empêcher de tourner page après page, sans même s’en rendre compte. Textor Texel est certes un être abominable doublé d’un assassin, mais je n’ai pu m’empêcher de lui donner raison sur beaucoup de choses et je dois avouer qu’il m’a souvent bien fait rire. On cherche par tous les moyens de savoir si Jérôme Angust va réellement mourir, et si oui, comment. Le suspense dure jusqu’aux toutes dernières pages, qui ne déçoivent absolument pas. Un roman qui se lit très bien, qui soulève des questionnements dans notre for intérieur, qui ne laisse pas de place à l’ennui, avec une touche d’humour pour équilibrer le drame.

 

Rédigé par Marianne Hamiaux, 12 mai 2015.

Les fourmis

les fourmis

Auteur : Bernard Werber

Maison d’édition : Albin Michel

Date de publication : 1991


Résumé

Tout se passe en même temps. D’un côté, Jonathan Wells hérite de la demeure de son oncle savant Edmond Wells, à côté de la forêt de Fontainebleau et découvre ses secrets. Quand le chien de son fils effectue une descente au sous-sol et y laisse sa peau, Jonathan décide d’éclaircir le mystère de la cave. Il ne revient pas lui non plus. De l’autre, la fourmilière de Bel-O-Kan, de la forêt de Fontainebleau, comprenant soixante-quatre cités fédérées et entretenue par dix-huit millions d’habitants, s’éveille au début du printemps. La fourmi mâle 327e part en expédition de chasse avec quelques compagnes. Seule la 327e reviendra de cette expédition. Une arme extrêmement puissante et efficace a exterminé toutes les autres fourmis rousses de l’expédition. 327e en informe la Reine. En même temps que Jonathan découvre qui était réellement son oncle Edmond, les rousses Bel-O-Kanniennes se préparent à une guerre sans merci.

Critique

Une histoire de science-fiction extrêmement intéressante et enrichissante, écrite de mains de maitre. Werber entre dans l’univers de l’infiniment petit avec une précision et un sens du détail exquis. Ces fourmis semblent en avoir beaucoup à nous apprendre. Premier roman de la trilogie des fourmis (le Jour des fourmis, 1992 ; la Révolution des fourmis, 1996), on se met inévitablement à établir des comparaisons entre la civilisation fourmis et la civilisation humaine. On se questionne sur la place à donner à l’individu dans une communauté, et sur l’importance de la communauté pour un individu. Comment se fait-il que les fourmis soient si bien organisées, si synchronisées, si connectées? Qu’est-ce qui empêche les humains de l’être, eux aussi? Combien de choses de savons-nous pas encore? Ce sont des questions auxquelles Edmond Wells tentera de répondre dans son Encyclopédie du savoir relatif et absolu. Un scénario compliqué, mais si bien amené que tout est absolument fluide. Des personnages extrêmement intéressants, même au niveau des fourmis. Un univers si loin du nôtre et pourtant qui se trouve juste à nos pieds. Et qui sait, peut-être ces univers se rencontreront-ils?

Rédigé par Marianne Hamiaux

Aliss

Aliss

Auteur : Patrick Senécal

Maison d’édition : Alire

Année de publication : 2000


Résumé

Alice, jeune femme brillante de Brossard, décide de quitter le cocon familial pour se propulser dans la grande métropole. En quête de sensations fortes et d’un besoin de s’affirmer, elle aboutit sur la rue Saint-Denis avec seulement une valise et quelques dollars. N’ayant pas encore les habitudes des gens urbains, elle suit un homme jusque dans le métro pour lui redonner le portefeuille qu’il avait laissé tomber. Arrivée au bout de la ligne verte, elle remarque quelque chose d’étrange : il n’y a qu’une sortie, qui débouche sur un quartier pour le moins particulier. Ayant décidé de ne reculer devant rien, elle s’installe donc dans cet endroit peuplé d’individus étranges et parfois plutôt inquiétants. Et bien sûr, elle devra trouver la bonne question…

Critique :

Âmes sensibles, s’abstenir. Senécal a réellement compris comment manipuler les charmes de l’horreur. Il ne tombe jamais dans le ridicule, erreur trop souvent commise par les auteurs qui exploitent ce style. Spécialement avec un roman comme Aliss, inspiré du compte original de Lewis Carroll Les Aventures d’Alice au Pays des Merveilles (1865), il aurait été facile de rendre les personnages trop caricaturaux et enfantins. Mais j’ai toujours voulu savoir jusqu’où Aliss irait pour trouver la bonne question. J’ai toujours voulu savoir quel prochain personnage du conte viendrait à être transformé par Senécal, et surtout comment il le serait. Les pages se tournaient toutes seules. Pour qu’un roman d’horreur soit réussi, il faut qu’on y croie. Or, même si nous savons tous très bien que ce quartier étrange de Montréal, alias le « Pays des merveilles », n’existe pas, on ne peut s’empêcher de penser qu’il pourrait exister. Il est encore plus intéressant de lire Aliss lorsqu’on a lu le conte original de Carroll, puisque tous les personnages s’y trouvent.La différence c’est qu’ils sont Montréalais et bien sûr, fous. L’auteur décrit si bien l’état d’esprit dans lequel évolue Alice qu’il est impossible de lâcher le livre. Suspense, tension, personnages particuliers, péripéties perturbantes, psychologie et morale, même un cours de philosophie (ou presque)… la recette parfaite du roman d’horreur est là.

Rédigé par Marianne Hamiaux

La 5e vague

5e vague

Auteur : Rick Yancey

Maison d’édition : Robert Laffont

Année de parution : 2013


Résumé

Quatre vagues ont dévasté la Terre pour la débarrasser des humains. Les survivants attendent avec inquiétude la prochaine. Ils tentent, tant bien que mal, d’échapper aux Autres, des créatures qui nous ressemblent et qui tuent tous les humains qui ont le malheur de les rencontrer. Rester seul et ne faire confiance à personne, voilà à quoi se résume la vie des quelques rescapés. Cassie Sullivan suit à la lettre ces deux règles jusqu’à ce que son petit frère se fasse enlever et qu’elle rencontre le ténébreux Evan Walker. Est-ce un humain ou un Autre? Devrait-elle lui faire confiance pour secourir son frère ou s’enfuir et continuer seule?

Critique

J’ai adoré ce premier roman de la trilogie « phénomène »! Ce que j’ai le plus aimé dans ce livre, c’est qu’on retrouve plusieurs narrateurs. Au début, je trouvais cela un peu mélangeant et après, je m’y suis habituée et j’ai fini par adorer cette manière différente de raconter une histoire. Après chaque page noire, l’auteur change de narrateur. Cela nous permet de connaître la vie de plusieurs personnages à la fois et de toujours vouloir lire les pages suivantes (Rick Yancey coupe toujours le chapitre d’un narrateur en plein dans l’action ce qui garde les lecteurs attentifs et fébriles). De plus, j’aime bien le personnage de Cassie. Elle est assez têtue et endurcie à cause de tout ce qu’elle a vécu, mais également très courageuse. Aussi, Evan Walker est carrément parfait; il est gentil, mystérieux, beau, poli, courageux, etc. Bref, c’est un vrai gentleman! J’ai tellement hâte de lire les deux autres tomes! Il paraît aussi qu’un film adapté au livre va sortir le 10 février 2016…

Rédigé par Malie Castonguay Fortin

Les âmes vagabondes

ames vagabondes

Auteure : Stephanie Meyer

Maison d’édition : Jean-Claude Lattès

Année de parution : 2008


Résumé

Les humains ont passé, en quelques années, des plus grands prédateurs de la Terre à une espèce en voie de disparition. Des êtres, plus puissants et mieux organisés, ont envahi notre planète : les âmes. Ces dernières ont une conscience et peuvent penser, mais elles ont besoin d’un corps afin de vivre dans les planètes conquises. Pour se faire, celles-ci capturent les humains qui deviennent une coque vide, nommée « hôte », dans laquelle on insère une âme qui dirigera le corps. C’est ce qui est arrivé à Melanie Styder.

Critique

Il n’y a qu’un mot pour décrire ce roman; l’excellence. Ce livre, écrit à la première personne du singulier, décrit à merveille toutes les pensées controversées de Vagabonde, celle qui a pris possession du corps de Melanie. J’aime bien le fait que cette âme ressente de l’affection pour son hôte, mais, en même temps, il y a Melanie, qui ne veut pas disparaître et qui lui parle dans sa tête, et ça lui fait peur. Ce bouquin nous embarque dans une aventure remplie de péripéties dans laquelle les deux filles veulent retrouver Jared, l’homme que Melanie aime, et Jamie, son petit frère adorable. Aussi, on retrouve une histoire d’amour passionnante entre plusieurs personnages. À mon grand plaisir, celle-ci était imprévisible et différente de celle qu’on retrouve dans les autres romans adolescents. On peut également retrouver une certaine morale dans ce livre. On détaille différents sujets tels que la pollution, la guerre, la violence et la discrimination que les humains ont créés des années avant l’arrivée des âmes. Finalement, je n’ai trouvé aucun point négatif et aucune faiblesse dans ce franc succès de Stephanie Meyer, l’auteure de la populaire saga Twilight. Dommage qu’il n’y ait pas de suite!

Rédigé par Malie Castonguay Fortin

Le temps des miracles

temps des miracles

Auteure : Anne-Laure Bondoux

Maison d’édition : Bayard

Année de parution : 2009


Résumé

Ce livre raconte l’histoire bouleversante de Blaise Fortune, un citoyen français qui ne parle que le russe. Ce jeune homme fera un long et pénible voyage qui durera des années, du Causase, où la guerre a éclaté, jusqu’en France, sa terre natale. Accompagné de Gloria Bohème, qui est comme une mère pour lui, et de son précieux barda, il traversera de nombreuses régions où la peur domine et fera de belles, et de moins belles, rencontres qui le marqueront pour toujours. À travers ce long périple, Blaise découvrira les horreurs de la guerre, la perte d’un être cher, le désespoir, mais également la beauté de l’amour.

Critique

Ce livre est vraiment bon et je vous le conseille fortement! Il est très touchant et cela nous permet de voir la guerre à travers les pensées d’un enfant, Blaise. Après, on voit différemment les gens plus pauvres et on se rend compte qu’ils mènent vraiment une vie difficile et mouvementée (ils doivent quêter de l’argent, ils se déplacent tout le temps pour trouver de nouveaux abris et pour se protéger). Jusqu’à se que je lise ce bouquin, je n’avais pas réalisé à quel point cela pouvait être l’enfer, surtout pour un enfant! Aussi, il n’est pas très difficile à lire (il ne compte pas beaucoup de mots, l’écriture est grosse et le vocabulaire, qui est celui utilisé par un gamin, est simple). Par contre, j’ai rencontré quelques difficultés à lire les noms qui ne sont pas en français et les mémoriser devient assez mélangeant. Par exemple, Abdelmalik, Koumaïl, Sergueï, Iefrem et j’en passe! Bref, si vous avez envie de verser quelques larmes, vous allez dévorer ce livre rempli d’actions!

Rédigé par Malie Castonguay Fortin

Sorcière.1 : Le livre des ombres

sorciere 1

Auteure : Cate Tiernan

Maison d’édition : ADA

Année de parution : 2001


 

Résumé

Je m’appelle Morgan Rowlands. Je me considère comme une fille timide plutôt ordinaire; je ne suis pas d’une laideur absolue mais je ne suis pas belle pour autant. Ma vie est assez banale; j’ai une famille catholique qui m’aime beaucoup et une charmante petite sœur, Mary K. Et puis un jour, je l’ai aperçu monter les marches de mon école d’une manière décontractée et avec assurance. Il est beau comme un dieu (même plus!) et son sourire réussit à épanouir votre journée. Il s’appelle Cal Blaire. À ce moment-là, comment pouvais-je me douter qu’il allait bouleverser ma vie? Comment aurais-je pu savoir qu’il allait devenir mon mentor et qu’il m’enseignera la « Magye »?

Critique

Ce premier tome de la série « Sorcière » est excellent! Tous les personnages sont bien décrits, autant sur le plan physique que sur le plan psychologique. Aussi, on retrouve de l’action tout le long du livre, ce qui est très apprécié par les lecteurs. Les adolescentes aimeront également ce roman; c’est un livre avec une histoire d’amour! Par contre, je trouve cette dernière un peu clichée et classique. Aussi, je n’apprécie pas le côté un peu trop religieux de la Wicca. Par contre, le narrateur du bouquin est participant (c’est Morgan, le personnage principal, qui raconte l’histoire à la première personne du singulier) et, pour moi, cela rend l’histoire encore plus intéressante et fascinante. Dans ce genre de roman, je suis envoûtée par l’aventure et j’ai l’impression de faire partie du livre, d’être dans la peau du personnage et j’ai la sensation que c’est moi qui vis et ressens ses aventures. En bref, j’ai hâte de lire les 14 autres tomes de cette série!

Rédigé par Malie Castonguay Fortin