DEAD DAYS
Résumé:
À compter du 4e suivant une apocalypse de zombie, une bataille pour la survie des humains débute. C’est un manga à propos de la volonté de vivre, les instincts humains et nos désirs égoïstes. C’est une histoire passionnante sur les survivants d’une apocalypse de zombie. L’histoire commence avec Jingook Yeo qui est coincé dans sa chambre, après que sa mère soit devenue un zombie. Avec le peu de nourriture et d’eau qui lui reste, il s’interroge sur son destin et son avenir.
Critique:
Tout d’abord, l’art dans ce manga est très mal fait. En effet, l’artiste ne semble pas avoir accordé de l’importance à l’art. Les personnages sont mal dessinés et les zombies ne semblent pas réels. Il manque de détail dans les dessins et les décors étaient mal dessinés aussi. De plus, j’avais de la difficulté à comprendre certaines images. L’histoire de ce manga est très intéressante. En effet, j’aimais l’idée d’une apocalypse de zombie et que les humains devaient se battre contre
les zombies pour assurer leurs survies. Il y a beaucoup de manga de ce type, mais je trouve que celui-ci se démarque beaucoup d’autres. L’histoire est attachante, puisque le personnage principal vient de perdre sa mère et il est maintenant seul. Les personnages sont très bien faits. L’auteur met beaucoup d’emphase sur leur évolution psychologique et sur leur capacité physique. Globalement, j’ai bien aimé ce manga, mais je trouve qu’il y avait des lacunes dans les dessins.
UZUMAKI
Résumé:
Le manga Uzumaki est un roman de suspens et d’horreur. Il raconte l’histoire d’une jeune étudiante nommée Kirie qui vit dans un village isolé au Japon. Elle va à l’école comme toute jeune fille, mais un jour tout le village est transformé. En effet, peu à peu, les habitants du village sont obsédés par les spirales. La «malédiction» touche les jeunes et les vieux et les laisse dans un état d’hypnose. Au départ, Kirie est sceptique quant à l’idée qu’une malédiction rôde, mais lorsqu’elle voit ses parents, frères et sœurs tombés sous l’hypnose de ces spirales elle commence à être très inquiète.
Critique:
Ce manga doit être l’un des plus originaux que j’ai lus. Dans ce manga, l’auteur utilise les spirales comme motif maléfique, mais aussi comme méchant. Je trouve cela très original. L’histoire est intéressante et le concept original. Ce manga est rempli de moments surprenants. On ne s’attend pas à une telle quantité de moments significatifs dans l’histoire ce qui la rend très vivante et, donc, il n’y a pas de longueurs. Les manières dont les personnages sont dessinés les rendent très attrayants. Le manga m’a vraiment fasciné, plusieurs personnes diront que ce manga est rempli de moments bizarres. Oui, ils ont raison, c’est très bizarre, mais, selon moi, c’est le but de l’histoire, qu’on soit surpris par l’histoire. Ce manga doit quand même être réservé à un public averti puisque les scènes d’horreur sont assez intenses. La noirceur se fait bien sentir dans le manga, on voit peu à peu que de plus en plus de personnes commencent à comprendre que c’est une heure sombre pour le village et je trouve que c’est magnifiquement bien fait. Finalement, ce manga est très bon pour des gens qui ont envie d’être plongés dans un univers sombre et d’horreur qui leur laissera le goût de continuer cette aventure.
BLOOD C
Résumé:
Le manga Blood-C est un manga intrigant et d’horreur qui raconte la vie de Saya. À première vue, Saya Kisaragi est une jeune lycéenne tout à fait normale. Elle est toujours prête pour aider son prochain, elle vit avec son père, Tadayoshi, qui est un prêtre shintoïste. Le père de Saya confie à sa fille d’éliminer les «Anciens». Nous ne savons pas qui sont ces «Anciens», excepté le fait qu’ils sont des créatures à la recherche de sang. Avec l’aide de son épée magique, elle chasse ces créatures qui dévorent des gens sur leur passage. De plus, la jeune fille commence à avoir de terribles maux de tête qui lui font voir des visions qu’elle ne comprend pas.
Critique:
J’ai moins aimé ce manga en raison du temps très long à l’histoire de débuter. En effet, rien ne se passe vraiment dans les débuts du manga, nous savons seulement la mission de Saya et cela prend un temps infini à commencer. Ensuite, ce manga est très banal, une vie normale scolaire avec de beaux garçons qui se transforme en une aventure avec une épée magique. Sur le plan des personnages, c’est très bien réussi! Les personnages sont attirants, et sont très bien décrits. Leur personnalité semble banale au début, mais à la fin vous serez surpris que ces personnages soient remplis de surprises! Leurs habits sont extraordinaires qui leur donnent une super apparence. Durant le jour, le déroulement de l’histoire est très lent et répétitif, mais lorsque la nuit tombe et que Saya commence à combattre les monstres c’est un tout autre univers. Les combats ne sont pas sans violence. Des membres tranchés, du sang, et de la souffrance accompagnent ces nuits. Attention, ce manga est pour un public averti. L’horreur contenue dans ce manga n’est pas pour tous! Finalement, si vous passez les 3 premiers chapitres, l’histoire commence à bien avancer et vous devriez aimer ça!
HIGURASHI WHEN THEY CRY
Résumé:
Ce manga a été écrit Ryukishi07 (pseudonyme) et illustré par Tomohi, il est publié le 2 août 2007. Le résumé sera très court pour ne pas vous gâcher cette histoire macabre. Ce manga se déroule quelque temps après que Maebara Keiichi déménage dans le village rural de Hinamizawa. Keiichi rejoint un club à son école et se fait de nouveaux amis. Il va très vite apprendre à propos du mystérieux secret du village, la malédiction de Oyashiro… Et qu’arriverait-il s’il apprend que peut-être l’un de ses nouveaux amis serait la cause de cette malédiction…
Critique:
Je pensais que Elfen Lied et Gantz étaient brutaux, mais Higurashi l’est encore plus, en grande partie en raison des caractères apparemment incongrus et le réglage de l’histoire. Gentillesse n’est pas une protection contre une mort atroce, et les événements délégués ressemblant vaguement à des animaux étant parqués dans un mélangeur géant. Pas seulement une fois, mais à plusieurs reprises, que les personnages arrivent à revivre encore et encore les événements jusqu’à ce qu’ils résoudre le mystère. L’effet peut être horriblement répulsif, et je ne peux vraiment pas le recommander à la plupart des gens, mais la chose étrange est que Higurashi fonctionne réellement à certains moments, parce que l’horreur et le suspense sont tout aussi souvent subtils. Alors que la violence atteint un crescendo vertigineux au dénouement de la plupart des arcs de l’histoire, le chemin pour y arriver est délibérément rythmé, et rien ne semble fait pêle-mêle. Indices sont donnés tout au long de la série de ce qui se passe réellement – parfois il se sent carrément intelligent.
Sur le côté négatif, l’art est simpliste et médiocre, avec des couleurs délavées et dessins terriblement génériques, même si cela peut simplement refléter la « banalité » supposée des caractères en passant par ces événements traumatisants. Je ne veux probablement pas donner aux gens des idées sur les méthodes de torture à imiter … Aïe!
Dans cette catégorie, vous pouvez aussi retrouver Monster, Corpse Party: Blood Covered, etc.