Archives de catégorie : Bandes dessinées

Hajime no Ippo

Auteur : George Morikawa

Maison édition : Weekly Shōnen Magazine (parution initiale)

Année de parution : 1989

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Hajime no Ippo, l’un des mangas sportifs les plus aimés de cette génération, raconte l’histoire de Ippo Makunouchi, un jeune lycéen de 17 ans et fils unique de la famille Makunouchi, une famille de pêcheurs dont le père est décédé. Ippo commence la boxe en rencontrant Mamoru Takamura, un boxeur professionnel qui l’aidera après avoir été victime d’harcèlement. À partir de là, Ippo commencera sa carrière de boxeur et connaîtra une ascension fulgurante dans le monde de la boxe.

Personnellement, je trouve que Hajime no Ippo est un chef-d’œuvre de la culture japonaise grâce à de nombreux points, dont les dessins et l’histoire. Premièrement, j’ai beaucoup apprécié les dessins de ce manga, car ceux-ci, en plus d’être extrêmement beaux et très détaillés, peuvent varier entre les combats et les moments de la vie de tous les jours. En effet, pendant les combats, les détails du visage, les contrastes et les émotions des combattants ressortent d’une manière assez conséquente. Nous nous permettons même de vivre le combat. Deuxièmement, ce qui m’a poussé à choisir ce manga est l’histoire, car Hajime no Ippo est un manga de type Shonen, c’est-à-dire une histoire où nous suivons les aventures d’un héros avec une quête principale (comme dans One Piece, Naruto ou Dragon Ball). Par contre, Hajime no Ippo est un Shonen un peu différent : le protagoniste n’a pas de don initialement. Contrairement, par exemple, aux héros des autres titres de la catégorie, Ippo est vraiment parti de rien pour réussir son rêve de devenir boxeur professionnel. Voici donc pourquoi j’ai adoré ce chef d’œuvre de la littérature japonaise

Rédigée par Kenzi Yahiaoui, le 6 février 2022.

 

 

 

Les Légendaires 2. Le gardien

legendaires2Auteur : Patrick Sobral

Maison d’édition : Delcourt

Année de parution : 2004


 

Résumé:

Toujours dans leur quête pour trouver la pierre de Jovenia, les Légendaires s’échappent d’un peuple d’hommes plantes créées par le mage noir Darkhell. Après la trahison d’Élysio, le groupe le kidnappe pendant leur fuite périlleuse. Ils sont repêchés par le frère de Danaël, qui fut transformé en horrible monstre ainsi que toute l’armée des faucons d’argent. Les Légendaires ont appris que le gardien était en possession de la pierre que le groupe recherche tant.

Critique:

Je recommande cette bande dessinée aux plus jeunes qui recherchent une lecture très facile pour leur âge, mais aussi à ceux qui commencent la lecture. Chaque personnage est bien distinct de façon que le lecteur peut facilement reconnaître les personnages. Cette série m’a fait développer un esprit d’aventure très enfantin. Les décors sont bien dessinés et ont leur propre caractéristiques. Cette bande dessinée contient de tout, de l’action, de l’aventure, du drame et quelques moments qui feront rire les intéressés de cette série. Les enfants tireraient avantage de cette lecture merveilleuse. Je vais sûrement lire le reste de la série.

Rédigé par Anthony Aylwin, le 12 mai 2015

Les Légendaires 1. La pierre de jovenia

legendaires1Auteur : Patrick Sobral

Maison d’édition : Delcourt

Année de parution : 2004


Résumé :

Cinq héros déchus tentent de se réunir pour une toute nouvelle aventure qui rachètera leur erreur passée. Leur but est de trouver la pierre de Jovenia qui leur redonnera leur âge adulte. Ils devront traverser déserts, crevasses, marécages et créatures étranges pour tenter de trouver la pierre mythique tant convoitée. Pendant leur dangereux voyage, ils rencontreront un jeune homme amnésique qui s’avère être un très puissant sorcier qui, tout comme eux, suit le même objectif.

Critique :

J’ai beaucoup aimé cette bande dessinée, car elle a animé mon enfance en me donnant le goût de l’aventure. Je suggère cette bande dessinée aux personnes qui n’apprécient pas beaucoup la lecture, mais qui aiment tout de même l’action et l’univers fantastique. Les personnes à caractère plus visuel vont aussi apprécier cet univers merveilleux qu’est Alysia. Chaque personnage a une personnalité qui le distingue bien des autres personnages. Les illustrations sont parfois comiques, parfois tragiques et parfois plus explicatives, mais restent quand même intéressantes. Les plus jeunes seront plus facilement intéressés par cette lecture qui animera leur esprit d’enfant créatif.

Rédigé par Anthony Aylwin, le 12 mai 2015

Les nombrils, vol. 6 : Un été trop mortel

ete trop mortelAuteurs : Delaf et Dubuc

Maison d’édition : Dupuis

Année de parution : 2013


 

Résumé :

Dans ce nouveau tome des nombrils, Vicky fait la connaissance de son nouveau voisin et de sa nouvelle voisine avec qui elle aura une relation plutôt étonnante. Jenny, elle, toujours innocente, passera son été sur la plage avec le beau sauveteur. Durant cet été, Karine fait encore face à son triangle amoureux et à ses « amies » Jenny et Vicky qui lui préparent encore des mauvais coups. En effet, celles-ci essaient de lui faire croire qu’Albin aurait quelque chose à faire avec la tentative de suicide de Mélanie. Albin est-il vraiment celui que Karine croit connaître?

Critique :

Cette sixième bande dessinée est comme les précédentes : excellente! Dans « un été trop mortel », l’histoire est un peu plus centrée sur Vicky. Jenny m’a fait bien rire avec son raisonnement parfois un peu… niaiseux! Malgré ses airs d’idiote, elle est une grande amie sur qui Karine et Vicky peuvent compter. Cette dernière est un personnage qui a des airs machiavéliques, mais tout au fond d’elle, elle cache une grande sensibilité. Karine, comme à son habitude, est d’une grande générosité touchante. Elle est toujours prête à pardonner à ses amies, peu importe ce qu’elles lui ont fait. Maintenant, parlons des dessins. Comme à son habitude, Delaf a très bien exploité les positions des corps, les expressions faciales, rendant presque la bande dessinée vivante. Dans ce tome, plusieurs nouveaux décors ont été inventés comme le camp de vacances, la maison des nouveaux voisins de Vicky et plusieurs autres, et tout ça, avec brio! Bref, je vous le recommande fortement, à condition d’avoir lu les cinq tomes précédents!

 

Rédigé par Marianne Turcotte, 6 décembre 2013

Kaichou wa maid-sama

maid samaAuteur : Hiro Fudjiwara

Maison d’édition : Pika

Année de parution : 2006


 

Résumé :

Ayusawa Misaki est la présidente de son lycée, composé à 80 % de garçons. À force de travail et de beaucoup de force, elle se fait respecter de tous et « protège » les filles des garçons (elle les déteste tous). Celui qu’elle déteste par-dessus tout est Usui Takumi, garçon au flegme incroyable qui ne se laisse pas terroriser par Misaki. Celle-ci cache un secret : sa famille étant peu fortunée, elle travaille à un maid cafe… Si les élèves l’apprennent, c’en est fini de sa réputation! Alors lorsque Usui le découvre, Misaki s’inquiète. À sa grande surprise, Usui révèle un certain intérêt pour elle. Entre leur compétition constante (Usui est éternellement premier devant Misaki), ce secret les rapprochera au fil de péripéties hilarantes!

Critique :

Le classique des shojô (manga pour filles) très bien imagé et assez drôle. En fait Usui et Misaki sont tellement surhumains que ça devient presque surréaliste! J’ai dévoré tous les tomes d’une traite (bon ça m’a pris un certain temps il y en a beaucoup). En plus, il y a une variété de personnages assez intéressante, puisque l’histoire se passe majoritairement dans trois lieux : l’école, le cafe et la maison de Misaki. Il y a beaucoup de rebondissements et on peut voir les personnages évoluer, s’ouvrir à l’autre, etc. Un anime a aussi été fait sur une partie du manga et il est distribué par crunchyroll.

 

Rédigé par Ruby Swan, le 25 juillet 2014.

Astérix le Gaulois

asterixAuteur : René Goscinny

Maison d’édition : Hachette

Année de parution : 2004


 

Résumé

Dans cette BD d’Astérix, comme dans bien d’autres, les Romains tentent de déloger les Gaulois de leur territoire. Par contre, ils adoptent cette fois-ci une astuce qu’aucun Gaulois ne pourra deviner… ou presque. Les Romains réussiront à enlever le Druide (le magicien qui procure aux Gaulois la potion magique qui les rend si forts). Si Astérix et Obélix ne le retrouvent pas, les Romains auront de la potion et seront capables de posséder la Gaule.

Critique

 J’ai bien aimé cette BD d’Astérix, en particulier à cause de la réussite inhabituelle des Romains pour dominer les Gaulois. Je me demande toujours pourquoi les Gaulois ne vont pas conquérir Rome, vu leur supériorité militaire due à la potion. C’est surement à cause du fait que dans la vie réelle, Rome a toujours été une grande puissance et c’est pour garder son image de gloire qu’elle ne tombe jamais. Cela s’explique du fait que l’auteur tient compte de l’histoire en écrivant ses bandes dessinées. On peut le remarquer dès les premières pages, puisqu’une carte de l’Europe datant de l’an 50 avant Jésus-Christ et illustrant l’emplacement de la Gaule et de Rome est présente au début de chacune des BD d’Astérix. Cela nous permet de nous repérer dans le temps et géographiquement.

Rédigé par Louis-Philippe Bertrand, 3 décembre 2013

Tintin et le sceptre d’Ottokar

tintinAuteur : Hergé

Maison d’édition : Casterman

Année de parution : 1966


 

Résumé

Au début de cette aventure, Tintin est victime d’un attentat. Il poursuivra les agresseurs, avec Dupond et Dupont et le professeur Tournessol, jusqu’en Syldavie. Il devra éviter plusieurs obstacles durant son périple, comme être éjecté hors d’un avion en haute altitude et être pris en otage par des bandits qui tenteront de le tuer. Toutes ces péripéties le mèneront à essayer de résoudre un autre mystère : le vol du sceptre d’Ottokar.

Critique

Selon moi, le sceptre d’Ottokar est l’une des meilleures aventures de Tintin, puisqu’il n’y a aucun moment d’attente entre l’action et le «bla-bla». Cette BD est selon moi la meilleure qu’Hergé a écrite, puisque l’aventure qui mène à la résolution de l’enquête m’a absorbée complètement. J’aime aussi étudier le comportement des personnages lorsque je lis ses œuvres. Il est facile de se faire une idée différente d’un personnage, mais en l’observant bien, on peut deviner s’il a un rapport avec le crime ou avec la résolution de l’enquête. Étudier la psychologie des personnages dans les œuvres de Hergé est une activité qui s’ajoute à la lecture et qui nous permet souvent de mener notre propre enquête. Cela me passionne énormément. Cette BD, comparativement à certaines autres écrites par Hergé, ne contient aucun aspect paranormal ou magique, ce qui rend l’aventure très réaliste. Le fait que l’aventure soit réaliste est selon moi positif, puisque nous pouvons identifier plusieurs aspects réels comme les lieux, l’époque et la technologie, ce qui nous permet de nous repérer plus facilement.

Rédigé par Louis-Philippe Bertrand, 3 décembre 2013