Archives de catégorie : Roman historique

La Nuit du Viking

Auteur : Anne Bernard Lenoir

Maison d’édition : Atout

Année de parution : 2006

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Résumé : 

Laura, une jeune étudiante de 20 ans, accompagne son père et plusieurs de ses collègues à la recherche d’artefacts volés datant de la période des Vikings. Ce long voyage les mènera à Terre-neuve, lieu où les objets ont disparu du musée. Durant l’aventure, Laura se fait voler un mystérieux magazine traitant de fossiles, tel qu’avisé par son père. Pire encore, à l’arrivée des détectives, une paléontologue affirme s’être fait saboter son site de fouille et s’être faite voler un fossile rare. C’est alors qu’ils découvriront qu’un réseau de malfaiteurs était à leur trousse pour les empêcher d’avancer dans leur enquête.

Critique : 

Étant une personne qui ne s’y connaît pas très bien dans le monde des Vikings, je trouve que l’auteur nous a assez bien fait intégrer le sujet en expliquant chacun des termes qui peuvent nous paraître nouveaux. Le vocabulaire est assez dépouillé, ce qui, dans mon cas, ajoute du réalisme à l’ouvrage car il est plus rare de nos jours de s’exprimer avec des mots plus complexes. Par contre, l’auteur a tendance à faire de longues descriptions, ce qui m’a déplu car en lisant ce livre, je m’attendais à beaucoup plus d’action sachant que cet ouvrage est considéré comme un roman d’aventure. Aussi, pour certaines personnes habituées au roman de détective, ce livre pourrait paraître un peu facile à résoudre car il n’y a pas vraiment de fausse pistes, ce qui fait qu’on peut facilement avoir une idée du coupable sans être rendu à la fin. La seule raison qui m’a poussé à finir le livre était de découvrir la réaction des personnages lors de la révélation du coupable.

Rédigée par Redhouane Belaissaoui, le 18 mai 2022.

 

Un océan nous sépare : Chin-Mei Ling, fille d’immigrants chinois

Auteure : Gillian Chan

Maison d’édition : Scholastic Canada Ltd

Année de parution : 2005 (Canada)


Résumé : C’est l’histoire de Chin Mei-Ling, une immigrante chinoise venant s’installer à Vancouver, en Colombie-Britannique, au Canada. En 1922, accompagnée de son père, Chin travaille le plus possible pour gagner de l’argent afin de payer les taxes d’entrée au Canada pour sa mère et son frère, eux, toujours en Chine. Après plusieurs mois de travail, balançant famille et scolarité, Chin rencontre Mlle McDonald qui lui donne l’opportunité de venir étudier après ses cours du jour à son école privée, une église chrétienne, afin de pouvoir entrer au secondaire, quelque chose de rare. Après plusieurs épreuves rencontrées dans son milieu de travail, familiale et scolaire, Chin parviendra-t-elle à obtenir ce qu’elle veut : la venue de sa mère de son frère auprès d’elle et de son père ?

Critique : « Un océan nous sépare : Chin-Mei Ling, fille d’immigrant », un roman historique plein de rebondissements ! Après une lecture attentive de ce livre, j’ai pu en tirer plusieurs conclusions. Premièrement, j’ai pu apprécier les vérités historiques contenues dans cette œuvre. Passant par la ségrégation entre les individus de plusieurs origines nettement présente au Canada dans les années 1920, le niveau de scolarisation des jeunes ou même certains détails au niveau technologique de l’époque. Ce roman a pour première raison d’avoir été écrit de nous sensibiliser à la discrimination « raciale » présente encore aujourd’hui. De plus, le fait que le narrateur de cette histoire soit la petite Chin est très intéressant. Cela aide le lecteur à comprendre d’un autre point de vue ce que vit le personnage principal à travers sa vie au Canada. Que ce soit du côté de ses relations avec ses camarades de classe, son père, ses enseignants ou même de simples individus dans les rues de Vancouver, la manière qu’a Gillian Chan (auteure) de nous raconter cette histoire amène un certain côté enfantin au livre. Le dernier point important que j’ai noté à propos de ce roman est que cette histoire nous montre bien l’influence des adultes sur les enfants à avoir un comportement discriminatoire envers d’autres personnes. Par exemple, nous pouvons très bien voir que la relation entre certains élèves de la classe de Chin est elle-même est très influencée par les idéaux racistes de certains parents ou adultes en général.

Rédigé par Fatima Boutouis 14 mai 2019

 

Le Médecin d’Ispahan

Auteur : Noah Gordon

Maison d’édition de la version originale : Simon et Schuster

Maison d’édition pour la version française : Livre de Poche

Année de parution : 1986


Résumé:

Ce récit historique des plus enlevants met en vedette nul autre qu’un jeune garçon nommé Rob. Tout au long de l’histoire, nous sommes témoins de son évolution en tant qu’individu tant au niveau social qu’intellectuel. Jeune orphelin à seulement 9 ans, notre héros aura la chance d’être adopté par un homme d’exception, « Le Barbier-Chirurgien ». Ce personnage excentrique prendra le jeune homme sous son aile et l’aidera à s’envoler dans la grande aventure de la vie. Au fil du temps, Rob se rend compte qu’il possède une sorte d’intuition au niveau médical. Il sait avec certitude quand un patient va trépasser. Arrivé à l’âge adulte , i l souhaite réaliser son rêve le plus cher qui est de devenir médecin. Les seules institutions possédants le programme adéquat dans ce roman médiéval étant situées au Moyen-Orient, il devra faire face à de multiples obstacles pour concrétiser son choix de carrière.

Critique:

Pour ma part, je dirais que ce récit n’a rien à envier aux autres. Les péripéties abondantes et diversifiées donnent une durée de vie étonnante à ce roman d’une qualité impressionnante. La temporalité des événements a été maintenue de sorte à ce que l’histoire se rapproche le plus possible des réalités quotidiennes de l’époque.

La variété des personnages autant au niveau psychologique que social est incroyable. Cette caractéristique donne de la vie à cette ouvrage qui, je pense, serait autrement monotone. Le fait d’accompagner le personnage principal tout au long de sa vie nous permet de nous attacher à cet individu haut en couleur et tout aussi aimable que téméraire. L’auteur a parfaitement su comment marier personnages principaux et figurants afin de les montrer en tant qu’égaux, ce qui rend l’univers des plus réalistes.

Ce que je déplore de certaines histoires est que parfois les personnages principaux sont considérés pratiquement comme des êtres suprêmes par rapport aux figurants. Je suis d’accord sur le fait qu’ils occupent des places importantes dans l’aventure mais leur vies semblent parfaites bien que tout le monde sait que la vie n’est pas toute rose. Dans ce roman, cette manière de faire du personnage principal un idéal à atteindre pour les autres individus a été abandonnée afin de faire place à un réalisme plus poussé. Tout le monde a des moments difficiles.

L’aventure se déroulant à plusieurs endroits, elle nous offre une diversité de cultures ahurissantes car partout où notre héros passe, nous pouvons remarquer les subtilités de l’ambiance qui l’entoure.

L’intrigue est également absolument prenante, non pas par le suspense qui s’y trouve mais principalement en raison des détails et des revirements de situations qui s’y déroulent. Les rebondissements sont tout aussi surprenants que magnifiques et l’action n’y manque pas. C’est pourquoi je recommande fortement la lecture de ce roman historique.

Rédigé par Marc-Antoine Boizard, 15 mars 2019

Jeanne, fille du roy

Auteur : Suzanne Martel

Maison d’édition : FIDES

Année de parution : 1974


Résumé :

Voici l’histoire de Jeanne, une jeune fille élevée durant son enfance par son grand-père. Suite à son décès, elle est envoyée au pensionnat où l’éducation est dispensée par des religieuses. Un jour, quelques filles du pensionnat doivent quitter la France pour aller vivre en Nouvelle-France. Jeanne et son amie Marie font parties de ces filles. Arrivées en Nouvelle-France, elles deviennent des filles du Roy. Dans ce contexte, Jeanne épouse le seigneur Simon de Rouville qui a déjà deux enfants. La jeune femme vit, avec son mari et ses deux enfants, dans une cabane en bois dans la forêt. La majorité du temps, Jeanne y est seule avec les enfants, donc tout au long de l’histoire Jeanne doit faire preuve de détermination face aux nouvelles responsabilités qu’elle a.

Critique :

Je n’ai pas du tout aimé ce roman, car il n’y avait pas assez de suspense et d’action à mon goût. Tout au long de l’histoire, j’ai eu de la difficulté à comprendre le texte, car les mots étaient très compliqués à comprendre, l’auteur utilisant un langage du 17e siècle. De plus, je n’ai pas accroché à l’intrigue, car l’auteur explique à plusieurs reprises le contexte historique de l’histoire, avec des pauses, ce qui me mélangeait dans ma compréhension du roman. Aussi, Jeanne, fille du Roy est un roman d’amour, c’est pour cela que je ne l’ai pas apprécié, car je n’aime pas ce genre. En revanche, ce roman est intéressant au niveau historique, car comme j’ai dit précédemment, ce roman décrit l’histoire de la Nouvelle-France, ce qui permet d’en apprendre plus sur la Nouvelle-France et, naturellement, les filles du Roy. En somme, je conseille ce livre à ceux qui aiment les romans d’amour ou les romans historiques.

Rédigé par Aya Bourbia, 7 janvier 2018.

 

La voleuse de livres

Auteur : Markus Zusak

Maison d’édition : Pocket jeunesse

Année de parution : 2005


Résumé :

Durant la Deuxième Guerre mondiale, Liesel Meminger vit une succession de malheurs : la mort de son frère, l’abandon de sa mère, puis de son père lorsqu’elle était plus jeune et se fait adopter par un accordéoniste et une femme… Plutôt susceptible avec un langage des plus irrespectueux. Entre des raids aériens, des jurons de sa mère adoptive et la cache d’un juif inspirant dans leur sous-sol, Liesel devra se faire à sa nouvelle vie en Allemagne nazie.

Critique :

Premièrement, j’ai bien aimé le fait que ce soit la Mort qui raconte l’histoire de Liesel. Ses anecdotes rajoutent une touche d’humour dans l’atmosphère plutôt sombre de la Seconde Guerre mondiale. De plus, la Mort incarne un élément très important lors de ces années de noirceur. Elle explique très bien la peur de Liesel et les événements tristes et douloureux qu’elle a pu vivre. Cela nous fait davantage réaliser les ravages qu’a pu causer cette guerre, ainsi que la manière dont ont pu vivre les personnes qui ont perdu des proches. Je crois que ce livre est à la fois un livre historique et merveilleusement bien écrit, mais aussi hommage à tous ceux qui ont vécu durant ces années de misère et à tous ceux qui ont combattu pour la paix. Ce livre est aussi très bien, car il démontre que l’écriture est un moyen d’expression très fort, qui nous permet de changer d’air et de décompresser. Je vous conseille sincèrement ce livre, pas seulement pour les amateurs de romans historiques, mais aussi pour tous ceux qui aiment les histoires inspirées de la réalité et qui sont remplis d’émotions diverses, que les personnages nous font vivre. 

Rédigé par Florence Hénault, le 11 décembre 2017

La jeune fille à la plume

Auteur : Katherine Sturtevant

Maison d’édition : Bayard Jeunesse

Année de parution : 2009


Résumé :

Margaret, surnommée Meg, est une jeune fille de 16 ans vivant en 1680 à Londres, dans la librairie que possède son père. Ayant grandi entourée de livres, Meg se passionne pour l’écriture. Mais en 1680, les femmes avaient d’abord le devoir de se marier, et il était très mal vu pour celles-ci d’écrire des livres. Alors qu’un premier prétendant, Edward Gosse, qui avant de partir en voyage d’apprentissage sur la Méditerranée, lui demande si elle aimerait un cadeau à son retour, Meg, sans vraiment le penser, lui souhaite de se faire capturer par des pirates sanguinaires pour qu’elle puisse prouver à son père qu’elle mérite d’être écrivaine. Quelque temps plus tard, on réclame une rançon contre Edward à la famille Gosse…

Critique :

La jeune fille à la plume est un très bon roman, intéressant et bien écrit, qui, tout en nous apprenant sur la vie quotidienne d’une jeune fille londonienne de 16 ans en 1680, est très divertissant et agréable à lire. Même si ce livre nous parle des années 1680, les mots ne sont pas difficiles à comprendre. Plonger dans les pensées de Meg, ses problèmes avec ses prétendants et sa famille, son désespoir concernant la capture d’Edward et l’effort qu’elle va mettre pour rassembler l’argent nécessaire pour le ramener à Londres était vraiment bien. J’ai aimé le fait que l’auteure a ajouté à son histoire les lettres que Margaret reçoit, les courtes histoires qu’elle invente et les textes qu’elle écrit. Je recommande ce livre à des gens qui aiment apprendre sur la vie de tous les jours d’avant et les récits de piraterie (surtout les filles je dirais…). Bonne lecture à vous tous!

Rédigé par Joelle Fagnant, le 10 avril 2017

Gatsby le magnifique

Auteur : F. Scott Fitzgerald

Maison d’édition : Éditions du Sagittaire et Éditions Bernard Grasset

Année de parution : 1946


Résumé :

Nous sommes au printemps de l’an 1922. Nick Carraway, un jeune homme dans la trentaine, emménage dans une modeste demeure dans le quartier de West Egg, là où on retrouve les nouveaux riches, à Long Island, New York. Nick, quant à lui, n’est qu’un pauvre agent de change à la bourse qui, à tout hasard, s’est trouvé à être le voisin d’un homme mystérieux, habitant dans une immense villa aux allures de château victorien. Cet homme se prénomme Jay Gatsby et c’est son histoire que nous découvrons, sous les yeux objectifs de Nick, qui commence son récit en rappelant les paroles de son père : « Quand tu auras envie de critiquer quelqu’un, songe que tout le monde n’a pas joui des mêmes avantages que toi. »

Critique :

À mon avis, cet ouvrage est un chef-d’œuvre, car l’auteur nous démontre le « vide » de la classe supérieure, le thème principal, avec une aisance étonnante et nous laisse dans toute une gamme d’émotions avec une fin qui marque l’esprit à tout jamais.

Tout d’abord, tout au long du récit, l’auteur nous dépeint une société superficielle et matérialiste, composée de gens égoïstes dépourvus de valeurs morales. En effet, c’était dans cette réalité que vivaient les gens de la classe supérieure durant la décennie des années 20, aux États-Unis. Le narrateur, Nick Carraway, ne faisait pas partie de cette catégorie de gens, mais le réalise à force de côtoyer sa cousine Daisy et son mari Tom Buchanan, membres de l’élite new-yorkaise vivant à East Egg, de l’autre côté de la rive. À la toute fin du récit, Nick pense à tout ce qui s’est passé et dit que « c’étaient des gens négligents – Tom et Daisy – ils brisaient choses et êtres, pour se mettre, ensuite, à l’abri de leur argent ou de leur vaste négligence, ou, quelle que fût la chose qui les tenait ensemble, en laissant à d’autres le soin de faire le ménage… » (p. 221)  Cet aspect de la société que Fitzgerald aborde dans son œuvre nous fait voir la vrai nature des gens et rend l’histoire encore plus réaliste et touchante.

Ensuite, ce roman raconte l’histoire d’un homme, Jay Gatsby, qui a consacré sa vie à sa reconnaissance, à sa réputation et qui, durant cinq ans, a poursuivi un rêve, un amour de jeunesse, inatteignable. Cet aspect du roman va dans le même sens que le rêve américain, si légendaire durant les années 20, mais qui s’est terminé tragiquement avec la crise économique des années 30. Comme l’auteur a voulu nous le démontrer, tout rêve a une fin et celui de Gatsby ne fait pas exception. Cette œuvre nous laisse avec un goût amer en bouche, un dégout profond pour des gens insouciants et égoïstes. La fin, si inattendue, est décrite avec un style impeccable et des mots poignants qui renferment toute la tristesse de cette histoire.

Bref, je recommande fortement ce roman, car c’est un classique qu’il faut lire au moins une fois dans sa vie.

Rédigé par Elsa Clément, 3 février 2017.

Les tombes de glace : l’expédition perdue de Franklin

Auteur : John Wilson

Maison d’édition : Scholastic

Année de parution : 2014


Résumé :

George William Chambers, un petit commis de bureau vivant à Londres, rêve d’une vie d’aventures. Lorsqu’il apprend que sir John Franklin prépare une entreprise pour traverser le passage du Nord-Ouest, il saisit l’occasion de s’échapper de cette vie monotone qu’est la sienne. Il s’engage donc sur l’Erebus comme mousse. Tout le début de la traversée se passe sans problème ou presque, jusqu’au jour où John Torrington, le chauffeur principal à bord de l’Erebus, décède des suites d’une maladie des poumons. Par la suite,une série d’évènements inopportuns transformeront ce voyage rempli d’espoir à un véritable cauchemar.

Critique :

Les tombes de glace nous emmènent dans les contrées désertiques du Grand Nord canadien là où derrière chaque colline, crevasse, plaine, lac,  se cachent des pièges plus mortels les uns que les autres. Ce récit incroyable, où se mêle l’amitié, la survie, la peur et aussi une énorme détermination, nous fait découvrir l’une des histoires de survies des plus rocambolesques. Le roman de John Wilson est d’autant plus beau dû au grand soin qu’il a mis à décrire chaque personnage. Par exemple, nous nous faisons une joie de suivre les aventures du héros principal, George Chambers, un personnage inventé de toute pièce par l’auteur qui malgré ou grâce à tous ces défauts devient de plus en plus attachant au fil de l’histoire. Dans ce roman, nous découvrons les limites du corps et de l’esprit humain dans les pires conditions possibles à travers la vie de nombreux personnages tous très marquant. Les tombes de glace est un livre magnifique que je vous conseille grandement de lire.

Rédigé par Jacob Ducas, 17 novembre 2016.

Le secret d’Endymion Spring

Auteur : Matthew Skelton

Maison d’édition : Pocket Jeunesse

Année de parution : 2006


Résumé :

Endymion Spring est un jeune garçon muet travaillant au service de Gutenberg en 1452. Blake Winters est un adolescent qui vit avec sa mère et sa sœur à Londres. Tellement d’années les séparent, mais leur destin les réunit… Quand Blake tombe sur un mystérieux livre vierge dans la bibliothèque d’Oxford, il fera tout pour percer le mystère de ces pages blanches qu’il semble être le seul à pouvoir lire… Arrivera-t-il à percer le secret du Livre Ultime et à échapper à la Personne d’Ombre qui le poursuit?

Critique :

Le secret d’Endymion Spring est un livre qui parle… de livres. Entre les pages de ce roman, chaque mot employé est un indice, une piste, un moyen de guider les lecteurs et lectrices dans l’histoire. Chaque mot a sa signification. Soyez attentifs! La quête du Livre Ultime, longue et périlleuse, mènera Blake et sa petite sœur Duck en travers du chemin de la « Personne d’Ombre », une mystérieuse personne qui veut obtenir le Livre pour de bien sombres desseins. Ils auront par contre les conseils d’Endymion Spring pour les aider à échapper à cet ennemi qui ne leur veut rien de bon. Ces prophéties leur permettront-elles de sauver le Livre Ultime et de faire tomber les plans de la Personne d’Ombre à l’eau? Personnellement, j’ai trouvé que c’était un bon livre pour ceux qui veulent en apprendre plus sur l’origine de l’imprimerie, ceux qui aiment les Feuillesdragons et les livres enchantés! Je le reccomande, c’est un livre à lire, définitivement!

 Rédigé par Joëlle Fagnant, le 11 janvier 2017

Wariwulf 1. Le premier des Râjâ

wariwulf1Auteur: Bryan Perro

Maison d’édition: Les Intouchables

Année de parution: 2008


Résumé:

Çatal Höyük, Mésopotamie. Un jeune homme esclave, surnommé La Bête par son maître, travaille sans arrêt depuis son plus jeune âge. Mais un matin comme tous les autres, il rencontre le contremaître du chantier, et lui vole une pierre bleue, dans laquelle il aperçoit l’image d’un oeil de loup bienveillant. Cette pierre de lune, bien insignifiante pour toute autre personne, changera pourtant le destin de La Bête… Au cours de ses aventures, il trouvera deux autres pierres, rouge et verte, par lesquelles Börte Tchinö, le Dieu Loup Bleu, influencera sa destinée. Grâce à lui, le Râjâ, le grand Roi prédit par les sages, viendrait enfin au monde…

Critique:

Mystères et intrigues sont au rendez-vous! Avec Wariwulf, la Mésopotamie et l’Égypte ancienne deviendront le théâtre d’une grande prophétie. Chaque détail nous plonge dans cet univers fantastique et nous fait vivre l’aventure comme si nous assistions à chaque scène du livre. L’action s’enchaîne sans pause, et chacun des personnages a un rôle bien important à jouer. J’ai adoré lire Wariwulf puisque c’est une histoire palpitante, qui nous fait voir le monde à travers les yeux d’un esclave, d’une princesse, d’un roi, d’un astronome… Bref, les personnages ne manquent pas! C’est tellement intéressant de voir comment ceux-ci vont réagir aux embûches semées sur leur chemin! Par contre, ne croyez pas que ce roman est libre de toute violence et de tout vocabulaire vulgaire. Je ne conseille pas Wariwulf aux enfants (je veux dire qu’en dessous de 13 ans, c’est non).

 Rédigé par Joëlle Fagnant, 24 novembre 2016