ALL YOU NEED IS KILL
Résumé:
Ce manga a été écrit par Sakurazaka Hiroshi et Takeuchi Ryousuke, et illustré par Obata Takeshi. Il est publié le 9 janvier 2014 par la maison d’édition Young Jump, et contient 17 chapitres. All you need is kill se déroule dans un monde où la Terre est en guerre contre une race extraterrestre appelée « Mimics, » qui ont pris la majorité du monde, avec mission d’éliminer la race humaine. Keiji Kiriya est une nouvelle recrue dans la Force de défense unie, qui se bat contre ces « Mimics ». Sur sa première journée de déploiement, Keiji et l’unité « Mimics » se voient tous tués … Où était-ce un rêve? Pour une raison inexplicable, après chaque fois qu’il meurt, il est ressuscité et retourné à la veille de la bataille. Pourquoi cela se produit et comment peut-il échapper à ce cycle sans fin?
Critique:
Aussi loin que l’histoire et le concept vont, je pense que c’est le point faible de ce manga. Le concept de l’histoire est à peu près une poursuite session de «boucles» de la même période d’heure exacte se répétant. Certaines personnes qui ont peut-être tout juste commencé avec la lecture du manga peuvent le trouver innové, mais il ne l’est vraiment pas, d’autant plus que ce concept a été utilisé dans de nombreuses séries de manga déjà. L’histoire elle-même était un peu décevant aussi, l’histoire est basée sur le « light novel », mais le manga manque quelques détails importants, qui ruine l’expérience globale et peut rendre le manga comme étant un peu précipité.
L’art est certainement l’un des aspects les plus forts du manga. J’ai bien aimé le style et la façon dont tout était détaillé. Habituellement, seul le personnage principal est bien détaillé, mais dans leur cas presque tous les personnages secondaires étaient assez détaillés. J’ai personnellement trouvé très agréable de le lire, j’ai adoré le concept de boucle et nous avons apprécié le développement de la personnalité du protagoniste. L’intrigue est également peu complexe pour un tel concept. Je pense que l’ensemble, le manga était très bon, c’était un peu précipité par moments, mais l’art et quelques rebondissements gardent l’auditoire vraiment accroché pour profiter de cette courte lecture.
DR. SLUMP
Résumé:
Dr. Slump est situé dans Penguin Village, un endroit où les humains coexistent avec toutes sortes d’animaux, anthropomorphes et d’autres objets. Dans ce village vit Senbei Norimaki, un inventeur. Dans le premier chapitre, il construit ce qu’il espère être robot de petite fille la plus parfaite du monde, nommé Arale Norimaki. Cependant, elle s’avère être dans le besoin grave de lunettes. Elle est aussi très naïve, et dans les chapitres suivants, elle apporte un immense ours à la maison, en croyant que c’était un animal de compagnie. Au crédit de Senbei, elle a des super-forces. En général, le manga se concentre sur les malentendus de l’humanité et les inventions de Senbei, les rivalités d’Arale, et ses mésaventures romantiques. Dans le milieu de la série, un méchant nommé le Dr Mashirito apparaît comme un rival de Senbei.
Critique:
Contrairement à Dragon Ball, qui est un manga d’action-aventure, Dr. Slump est une comédie.Tout peut arriver dans un épisode. Comme c’est une comédie, celle-ci ne manque pas de faire sourire son lecteur.Senbei est facilement le personnage plus drôle dans le manga. Il est en amour avec l’enseignante d’Arale ce qui engendre plusieurs situations hilarantes.
L’art est ce que j’apprécie le plus dans ce manga. Les personnages ressemblent à des personnages de Dragon Ball et j’ai toujours admiré le style d’art des œuvres d’Akira Toriyama. L’animation est très bonne pour un manga des années 80. Pour ce qui en est du manga, les personnages sont tous sympathiques et l’on s’attache facilement à ceux-ci. Par contre, j’ai moins aimé certains personnages tels que Senbei, qui a tendance à crier un peu trop. Les blagues sont drôles et j’aime le style de l’art.Bref, j’ai bien aimé Dr. Slump à cause des personnages, les blagues ainsi que l’art. Malgré le fait que ce manga soit destiné à des enfants, il est une lecture agréable pour tous.
BREAK BLADE
Résumé:
Ce manga a été écrit et illustré par Yoshinaga Yunosuke, il est publié le 10 avril 2007 par la maison d’édition FlexComix Blood. Un bref résumé, Rygart Arrow est un sur un million – il est un ‘unsorcerer’, l’une des rares personnes n’ayant pas complètement la possibilité d’utiliser les pierres de quartz utilisés comme source d’énergie pour tout dans ce monde. Ce statut a fait de lui un paria et un objet de mépris, le laissant incapable de travailler avec des machines, d’une arme, ou même allumer une lampe sans aide. Son père avait des espoirs désespérés de l’envoyer à une académie militaire, qui pourrait éveiller un certain pouvoir en lui, après tout, mais aucun miracle ne se produit. Rygart, depuis devenu un agriculteur à la périphérie isolées du Pays de Krisna – mais les amis qu’il se fait et la loyauté qu’il a envers eux, sont sur le point de tout changer. Deux d’entre eux sont maintenant assis sur le trône du pays, et quand ils l’appellent à la capitale, il découvre à quel point l’abri sa vie a été… Krisna est en danger, la guerre est sur le point d’éclater, et les conditions relatives à la cession proposée par leurs ennemis sont impossibles à satisfaire. Une unité d’élite des troupes ennemies lance déjà des attaques sur la capitale, une unité d’élite dirigée par leur vieil ami Zess. Rygart en est dépassé, il ne peut les aider à cause son incapacité à utiliser le quartz lui laisse tout à fait inutile dans le visage de la bataille qui se profile. Quand il trébuche dans un mecha puissant et ancien que le peuple de quartz brandissant de Krisna n’ont pas pu utiliser, il peut juste avoir trouvé un moyen de se démarquer parmi eux … mais quand ses amis sont sur les côtés opposés, de quel bord doit-il appuyer?
Critique :
L’art de « Break Blade » est très agréable, les personnages et mechas sont très bien tirés. Cependant les motifs d’os ont tendance à être un peu fade, c’est en partie parce qu’il a lieu jusqu’à présent dans une région désertique très montagneuse. Un autre problème que j’ai pu remarquer c’est que les combats ont tendance à être difficiles à comprendre. J’ai trouvé l’histoire assez intéressante, les personnages sont tous bons. Rygart agit comme un « mach » de temps en temps et il n’a pas vraiment grandi beaucoup encore, mais je tiens espoir. Il y a quelque chose que je ne m’attendais pas dans le manga, mais qui ont été négatif pour moi, le premier est l’auteur, qui a peur de tuer certains des personnages, car d’après lui, ils seraient beaucoup trop importants. Second, le mecha Rygart est trop fort comparé au nouveau mecha moderne. La romance n’est pas vraiment présente, mais ressemble à cela, une romance très compliqué. Je pense que ce manga a beaucoup de potentiel, nous n’en connaissons encore très peu sur l’ancien mecha, et les personnages ont beaucoup de place pour se développer et il ya beaucoup de place pour le passé des personnages.
DEUS EX MACHINA
Résumé:
Le manga «Deus es Machina» est un manga de type shonen qui raconte l’histoire d’une jeune fille nommée Machina. Elle possède son propre «Clockworker», son robot de compagnie. Ces robots ont été créés pour la bataille, mais cela n’empêche pas qu’ils ont une personnalité et leur manière de vivre. Machina et son «Clockworker» font partie d’une organisation secrète qui se nomme CWA qui à pour but de détruire tous les «Clockworker». Donc Machina possède un robot «traître». Machina et son robot passent les premières pages du manga à détruire une multitude de robots de guerre.
Critique:
J’ai trouvé que le manga «Deus ex Machina» est un bon shonen pour les fans de ce genre. Le manga est un peu difficile à lire, donc je le recommanderais pour les habitués de manga. Quant à l’histoire elle-même, elle est très divertissante et originale. La conception des personnages est très bien réussie. Leur caractère leur est propre ce qui les rend très attirants. Il n’y a pas de longueur ce qui rend le manga vivant et nous donne envie de le lire. Les points plus négatifs sont que, outre les personnages principaux, les autres personnages sont présents, mais ne servent à rien. On connaît un peu leur histoire, mais on dirait qu’ils ne sont que de simple figurant. J’aurais aimé voir plus que seulement 2 personnages faire les actions principales et se lancer dans l’aventure. Malgré tout ce manga est très bon, je le conseille pour toute personne qui est fan de la catégorie shonen. Vous aimerez l’histoire dès les premières pages. Le manga en est qu’à ses débuts, espérons que l’auteur continuera son bon travail en essayant d’améliorer certaines choses.
Dans cette catégorie, vous pouvez aussi retrouver Neon Genesis Evangelion, Linebarrels of Iron, etc.