Archives par mot-clé : science-fiction

La Symphonie des Abysses: Livre 1

symphonie-abyssesAuteur: Carina Rozenfeld

Maison d’édition: Robert Laffont

Année de parution: 2014


Résumé:

Dans un village où la musique et les chants sont interdits, Abrielle est considérée comme une réminiscente et doit être mise à mort.  Depuis la disparition de son père, rien ne va dans la vie de la jeune fille.  Après que Braden, son ancien petit ami ait essayé de la tuer par obligation, elle doit fuir.  Abrielle laisse alors derrière elle sa mère et cet endroit qui l’a vue grandir pour franchir les limites du village et aller en terrain inconnu.  À présent, c’est une question de survie.  Jusqu’à ce qu’elle rencontre Sa et Ca.

Dans la Cité des Désex, tout contact physique et marques d’amour sont interdits.  L’humiliation publique ainsi que la mise à mort sont les châtiments infligés à ceux qui désobéissent.  Malgré tout, Sa et Ca, deux jeunes Neutres, ne peuvent s’empêcher d’éprouver des sentiments l’un pour l’autre.  Un jour, on les surprend et les deux Neutres se retrouvent battus en public, puis emprisonnés en attendant leur mort.  Jusqu’au moment où des alliés inattendus les libèrent et leur intiment de fuir.  Après une course effrénée au-delà des limites de la Cité, les deux fugitifs finissent par rencontrer Abrielle.  Avec elle, Sa et Ca vont établir un plan afin de fuir et chercher un monde sécuritaire où vivre librement.

 Critique:

J’ai bien aimé ce roman, qui apporte un certain sentiment de révolte à ce que subissent les gens qui désobéissent.  Pourquoi l’amour doit être interdit?  Qu’est-ce que la musique a de mal?  On sent que les gens, dociles et obéissants, sont ennuyés et que leur monde ne semble plus aussi parfait qu’ils le croyaient.  Ce livre est divisé en deux parties, ce qui peut porter confusion au départ, mais on finit par comprendre qu’il s’agit de l’histoire d’Abrielle en premier lieu, puis de celle de Sa et Ca, qui explique ce qu’il se passait chez eux et les circonstances dans lesquelles ils ont rencontré Abrielle.  À mon avis, certains passages peuvent s’avérer difficiles à comprendre, car il y a beaucoup de figures de style comme les métaphores.  L’écriture est tout de même fluide et chaque chapitre m’a donné envie d’en lire un autre afin de connaître la suite, et ce, jusqu’à la fin du livre.

Rédigé par Mylène Nguyen, le 30 octobre 2016

Conquise

conquiseAuteur:  Ally Condie

Maison d’édition:  Gallimard Jeunesse

Année de parution:  2013


Résumé:

Dans la Société, créer est interdit.  Tout est déjà décidé à l’avance: qui vous aimez, où vous travaillez et quand vous mourez.  Tout ce vous faites et dites est sous surveillance.  Dans les villes, les gens commencent à se révolter…

Faisant désormais partie du Soulèvement sous les ordres du Pilote, Cassia, Ky et Xander peuvent espérer un renouveau.  Malheureusement séparés les uns des autres dans de différentes provinces, ils n’ont que très peu de moyens pour communiquer entre eux.  De plus, un dangereux virus s’attaque aux gens de la Société.  Ce virus, appelé la Peste, tue peu à peu les citoyens.  Seul le Soulèvement en a le remède…

Le soulagement est de courte durée.  Le virus mute sous une autre forme.  Si certains sont immunisés contre la maladie, d’autres en sont mourants dont Ky, l’amour de Cassia.  Tout s’accélère:  il faut trouver un nouveau remède, sauver le plus de gens possible.

Faire en sorte pour ne pas perdre ceux qu’on aime.

Critique:

J’ai bien aimé lire ce roman.  Il est bien écrit et compréhensible.  J’ai aimé le fait que les narrateurs changent souvent, permettant de voir l’histoire sur différents points de vue.  De plus, comme les personnages principaux sont séparés, nous pouvons voir ce qu’il se passe dans les provinces où ils ont été affectés.  Je dirais que c’est un livre plutôt romantique étant donné les échanges illégaux de poèmes entre Ky et Cassia, les pensées toujours tournées l’un vers l’autre et les promesses qu’ils se donnent.  Malgré la distance, ils trouvent le moyen de communiquer, même cela peut prendre des mois.  Conquise est le troisième et le dernier tome de la série, mais à mon avis, c’est celui qui s’étire le plus longtemps sur le temps.   C’est aussi celui qui contient le plus de rebondissements ainsi que de sacrifices.  Je n’en dirais pas plus, c’est à vous de le lire.

Rédigé par Mylène Nguyen, 15 octobre 2016

Prisonniers du temps

prisonniers du temps

Auteur : Michael Crichton

Maison d’édition : Laffont

Année de parution : 1999


 

Résumé :

Suite à la mystérieuse disparition de leur professeur, des étudiants en archéologie trouvent sur un site de fouille un bout de papier. Sur celui-ci, ils peuvent très bien reconnaître la calligraphie de leur professeur, qui leur a écrit pour demander de l’aide. Après avoir analysé le papier, les étudiants déduisirent à leur grande surprise que l’encre qui avait été utilisée pour écrire le message datait du temps du Moyen-Âge. Ils découvriront plus tard que leur enseignant a réussi à remonter dans le temps et qu’il est coincé dans le passé. Ensemble, les étudiants prendront leur courage à deux mains et entreprendront de retrouver leur professeur en voyageant à leur tour dans le temps.

Critique :

Dans son livre «Prisonniers du temps», Michael Crichton nous propose un excellent mélange d’aventure et de sciences. En effet, il y a un côté assez fantastique et aventureux avec le thème du voyage dans le temps, mais le tout est rationalisé par un côté scientifique, comme lorsque l’inventeur de la machine à voyager dans le temps explique le fonctionnement de celle-ci grâce à plusieurs principes de physique quantique. Pour ce qui est des personnages, Michael Crichton leur a donné à chacun des traits uniques qui font en sorte que tout le monde peut s’identifier à au moins un des personnages. L’élément majeur qui a fait en sorte que j’ai tant apprécié ce roman est que l’auteur a su créer une atmosphère de suspense qui me gardait en haleine et qui a fait en sorte que j’ai dévoré ce roman en quelques jours seulement. Pour ce faire, il a entre autres utilisé un compte à rebours au lieu de numéros de chapitres, qui indiquait combien de temps il restait aux personnages pour trouver leur professeur. Finalement, je recommanderais ce livre à quiconque est passionné d’histoire, de sciences et de livres d’aventure.

Rédigé par Antoine Dupuis, 21 novembre 2015.

Arène Un

arene un

Auteur : Morgan Rice

Maison d’édition : Éditions Ada

Année de parution : 2013


Résumé :

New York, 2120. Après la Deuxième Guerre civile, tous les Américains ont été éradiqués. Enfin, pas tous. Les rares survivants se terrent dans les campagnes tandis que d’autres habitent en ville. Ces derniers, appelés chasseurs d’esclaves, les fouillent de fond en comble afin de trouver de rares campagnards qui serviront à divertir les gens sanguinaires de la ville dans l’Arène Un. Brooke, 17 ans, survit du mieux qu’elle peut dans les campagnes avec sa petite sœur Bree. Un jour, la jeune fille part explorer la montagne dans le but de trouver de quoi nourrir sa protégée et en rentrant chez elle, la pire de ses craintes s’est réalisée : Bree a été capturée par des chasseurs d’esclaves. S’ensuit alors une dangereuse course contre-la-montre dont la vie de Bree en dépend. Pour Brooke, seule celle de sa petite sœur compte.

Critique :

J’ai trouvé ce livre un peu émouvant, parce que Brooke aime sa sœur plus que tout au monde et est prête à mourir si cela est nécessaire pour la ramener. C’est une fille courageuse et débrouillarde qui ne recule devant rien, malgré les nombreux obstacles qui se dressent littéralement sur sa route. Comme elle est fille de marine, elle reste toujours debout, même si elle est blessée à plusieurs endroits. Les gens qui lisent ce livre peuvent sentir les émotions de Brooke à travers les chapitres. Elle doit parfois faire des choix difficiles qui auront une grande répercussion sur ce qui va se passer ensuite. De plus, comment savoir si on peut faire confiance à certaines personnes? La narration de la jeune fille augmente la tension et tient les lecteurs en suspense jusqu’à la fin.

Rédigé par Mylène Nguyen, 10 janvier 2016

King’s game

kings gameAuteur : Nobuaki Kanazawa

Maison d’édition : Lumen

Année de parution : 2009


 

Résumé :

Au Japon, une classe de 32 élèves est mise au défi de jouer à un jeu morbide; le jeu du roi. Ce roi communique avec les lycéens grâce au SMS. Le roi envoie des ordres mettant au défi certains élèves de la classe. Certains défis ne sont pas mortels, mais en cas de désobéissance, la sanction le sera. En effet, si les élèves sélectionnés par le roi n’exécutent pas l’ordre dans les 24heures qui suivent, ils seront condamnés à mort. Le châtiment est décidé par le roi. Arrêt cardiaque, pendaison, noyade, démembrement, vieillissement accéléré, décapitation, le roi est sans scrupule. Les élèves de la classe se demandent bien qui est le roi. Est-il humain? Si oui, comment fait-il pour savoir exactement quand les élèves ont réussi l’ordre? Est-il inhumain? Mais s’il l’est, comment fait-il pour envoyer ces messages textes? Toutes ces idées font frémir de peur la classe dont le nombre d’élèves diminue selon les ordres du roi.

Critique :

J’ai adoré ce livre! J’aime le mystère qui règne dans ce roman, le côté sadique et l’originalité de l’auteur. Nobuaki a réussi à imprégner une atmosphère de peur et de suspense dans ce roman . Par contre, puisque c’est un roman inspiré de Manga, les prénoms sont tous japonais. Puisqu’il y a plus de 32 prénoms, c’est parfois difficile de se rappeler qui est qui. Par chance, au début du roman, on peut y trouver une liste avec tous les prénoms et le sexe des lycéens. Ça m’a été très pratique! Ce livre a 373 pages, mais l’écriture est plutôt grosse. On a tellement envie de savoir le prochain ordre et comment les élèves vont réagir! Je classerais ce roman dans peur et science-fiction. En effet, c’est un roman de science-fiction, mais Nobuaki Kanazawa a réussi à intégrer beaucoup de relations entre les personnages, ce qui rend ce roman encore plus intéressant. En somme, j’ai beaucoup aimé ce roman et je suis très contente qu’il possède deux suites! (Je le conseille aux filles et garçons de plus de 13 ans)

Rédigé par Élodie Roy, 5 décembre 2015

L’épreuve.2 : La terre brûlée

terre bruleeAuteur : James Dashner
Maison d’édition : Pocket Jeunesse
Année de parution : 2010


Résumé

Thomas et les autres Blocards se réveillèrent dans un endroit mystérieux. Aussitôt réveillés, ils inspectèrent chaque pièce de cet endroit. Ils étaient encerclés par ce qu’ils appellent des « fondus au bout du rouleau ». Ils eurent ensuite la visite de « l’homme rat » qui leur a expliqué, en quoi consistait « l’Épreuve ». Après avoir traversé le transplat, ils coursèrent dans un couloir noir possédant des pièges qui fit réduire leur nombre jusqu’à onze. Ils eurent ensuite la visite de deux Fondus mais qui avaient encore de l’intelligence. Ensuite, Thomas et les autres coururent vers la ville. Rendus à l’intérieur d’un bâtiment, ils firent la rencontre d’une bande de Fondus. Deux d’entre eux, Brenda et Jorges, les escortèrent jusqu’au refuge. En route, les Blocards rencontrèrent le groupe B. Ils arrivèrent ensuite au fameux « refuge » qui était un leurre. Le WICKED les amena ensuite dans le vrai refuge.

Critique

Je crois que c’est un très bon livre pour les jeunes d’environ 11 à 16 ans puisqu’il est parfois trop violent pour les plus jeunes et contient de petits moments que beaucoup d’adolescents voudraient rencontrer dans la vraie vie. Ce livre est aussi rempli d’aventures en lieux urbains et désertiques. Il possède aussi beaucoup d’intrigues qui mènent soit à la confusion ou à la compréhension du lecteur, mais qui rendent ce livre beaucoup plus intéressant. Le livre détient plein de mystères et de mensonges. Je trouve que ce livre est très attrayant et détient une excellente histoire. Peut-être que certain trouveront qu’il contient beaucoup de pages, mais puisqu’il a une très bonne histoire, je crois qu’il peut être assez facile à lire pour tous. En résumé, c’est un très bon livre que je recommande à tous, après avoir lu le premier livre de la série.

Rédigé par Marc-Antoine Baillargé, février 2015

Les fourmis

les fourmis

Auteur : Bernard Werber

Maison d’édition : Albin Michel

Date de publication : 1991


Résumé

Tout se passe en même temps. D’un côté, Jonathan Wells hérite de la demeure de son oncle savant Edmond Wells, à côté de la forêt de Fontainebleau et découvre ses secrets. Quand le chien de son fils effectue une descente au sous-sol et y laisse sa peau, Jonathan décide d’éclaircir le mystère de la cave. Il ne revient pas lui non plus. De l’autre, la fourmilière de Bel-O-Kan, de la forêt de Fontainebleau, comprenant soixante-quatre cités fédérées et entretenue par dix-huit millions d’habitants, s’éveille au début du printemps. La fourmi mâle 327e part en expédition de chasse avec quelques compagnes. Seule la 327e reviendra de cette expédition. Une arme extrêmement puissante et efficace a exterminé toutes les autres fourmis rousses de l’expédition. 327e en informe la Reine. En même temps que Jonathan découvre qui était réellement son oncle Edmond, les rousses Bel-O-Kanniennes se préparent à une guerre sans merci.

Critique

Une histoire de science-fiction extrêmement intéressante et enrichissante, écrite de mains de maitre. Werber entre dans l’univers de l’infiniment petit avec une précision et un sens du détail exquis. Ces fourmis semblent en avoir beaucoup à nous apprendre. Premier roman de la trilogie des fourmis (le Jour des fourmis, 1992 ; la Révolution des fourmis, 1996), on se met inévitablement à établir des comparaisons entre la civilisation fourmis et la civilisation humaine. On se questionne sur la place à donner à l’individu dans une communauté, et sur l’importance de la communauté pour un individu. Comment se fait-il que les fourmis soient si bien organisées, si synchronisées, si connectées? Qu’est-ce qui empêche les humains de l’être, eux aussi? Combien de choses de savons-nous pas encore? Ce sont des questions auxquelles Edmond Wells tentera de répondre dans son Encyclopédie du savoir relatif et absolu. Un scénario compliqué, mais si bien amené que tout est absolument fluide. Des personnages extrêmement intéressants, même au niveau des fourmis. Un univers si loin du nôtre et pourtant qui se trouve juste à nos pieds. Et qui sait, peut-être ces univers se rencontreront-ils?

Rédigé par Marianne Hamiaux

La 5e vague

5e vague

Auteur : Rick Yancey

Maison d’édition : Robert Laffont

Année de parution : 2013


Résumé

Quatre vagues ont dévasté la Terre pour la débarrasser des humains. Les survivants attendent avec inquiétude la prochaine. Ils tentent, tant bien que mal, d’échapper aux Autres, des créatures qui nous ressemblent et qui tuent tous les humains qui ont le malheur de les rencontrer. Rester seul et ne faire confiance à personne, voilà à quoi se résume la vie des quelques rescapés. Cassie Sullivan suit à la lettre ces deux règles jusqu’à ce que son petit frère se fasse enlever et qu’elle rencontre le ténébreux Evan Walker. Est-ce un humain ou un Autre? Devrait-elle lui faire confiance pour secourir son frère ou s’enfuir et continuer seule?

Critique

J’ai adoré ce premier roman de la trilogie « phénomène »! Ce que j’ai le plus aimé dans ce livre, c’est qu’on retrouve plusieurs narrateurs. Au début, je trouvais cela un peu mélangeant et après, je m’y suis habituée et j’ai fini par adorer cette manière différente de raconter une histoire. Après chaque page noire, l’auteur change de narrateur. Cela nous permet de connaître la vie de plusieurs personnages à la fois et de toujours vouloir lire les pages suivantes (Rick Yancey coupe toujours le chapitre d’un narrateur en plein dans l’action ce qui garde les lecteurs attentifs et fébriles). De plus, j’aime bien le personnage de Cassie. Elle est assez têtue et endurcie à cause de tout ce qu’elle a vécu, mais également très courageuse. Aussi, Evan Walker est carrément parfait; il est gentil, mystérieux, beau, poli, courageux, etc. Bref, c’est un vrai gentleman! J’ai tellement hâte de lire les deux autres tomes! Il paraît aussi qu’un film adapté au livre va sortir le 10 février 2016…

Rédigé par Malie Castonguay Fortin

Les âmes vagabondes

ames vagabondes

Auteure : Stephanie Meyer

Maison d’édition : Jean-Claude Lattès

Année de parution : 2008


Résumé

Les humains ont passé, en quelques années, des plus grands prédateurs de la Terre à une espèce en voie de disparition. Des êtres, plus puissants et mieux organisés, ont envahi notre planète : les âmes. Ces dernières ont une conscience et peuvent penser, mais elles ont besoin d’un corps afin de vivre dans les planètes conquises. Pour se faire, celles-ci capturent les humains qui deviennent une coque vide, nommée « hôte », dans laquelle on insère une âme qui dirigera le corps. C’est ce qui est arrivé à Melanie Styder.

Critique

Il n’y a qu’un mot pour décrire ce roman; l’excellence. Ce livre, écrit à la première personne du singulier, décrit à merveille toutes les pensées controversées de Vagabonde, celle qui a pris possession du corps de Melanie. J’aime bien le fait que cette âme ressente de l’affection pour son hôte, mais, en même temps, il y a Melanie, qui ne veut pas disparaître et qui lui parle dans sa tête, et ça lui fait peur. Ce bouquin nous embarque dans une aventure remplie de péripéties dans laquelle les deux filles veulent retrouver Jared, l’homme que Melanie aime, et Jamie, son petit frère adorable. Aussi, on retrouve une histoire d’amour passionnante entre plusieurs personnages. À mon grand plaisir, celle-ci était imprévisible et différente de celle qu’on retrouve dans les autres romans adolescents. On peut également retrouver une certaine morale dans ce livre. On détaille différents sujets tels que la pollution, la guerre, la violence et la discrimination que les humains ont créés des années avant l’arrivée des âmes. Finalement, je n’ai trouvé aucun point négatif et aucune faiblesse dans ce franc succès de Stephanie Meyer, l’auteure de la populaire saga Twilight. Dommage qu’il n’y ait pas de suite!

Rédigé par Malie Castonguay Fortin

L’épreuve 1. Le labyrinthe

labyrintheAuteur : James Dashner

Maison d’édition : Pocket Jeunesse

Année de parution : 2012


 

Résumé :

Un jeune homme se nommant Thomas se réveille, ayant perdu toute mémoire, dans une cage qui monte vers la surface. Lorsqu’il sort de la cage, il se retrouve entouré par une trentaine de garçons, dans un lieu limité entre quatre immenses murs de pierre. Il apprend rapidement que, derrière ces murs, se trouve un labyrinthe gigantesque, qui se modifie à chaque nuit et qui est peuplé de dangereuses créatures nocturnes. Thomas, étant très curieux, fait tout pour parvenir à devenir coureur, donc pouvoir parcourir le labyrinthe chaque jour dans le but de trouver la sortie. Il aimerait tant retrouver la mémoire puisqu’il a l’impression que la clé du mystère s’y trouve. Aucun de garçons ne sait pourquoi ils sont là ni qui les a envoyés dans cet endroit, mais ils sont déterminés à le découvrir. Va-t-il retrouver la mémoire? Vont-ils s’en sortir vivants?

Critique :

Ce livre, le premier de la série, est tout simplement excellent! J’aime beaucoup les histoires de science-fiction dans ce genre et celle-ci a rempli mes attentes. C’est le film qui m’a convaincue de lire le livre et c’était un très bon choix, car il était encore meilleur! Pour commencer, l’intrigue du roman était très bien, car, tout au long de celui-ci, c’était très mystérieux. En effet, on ne savait jamais à quoi s’attendre et tout ce qui se passait était imprévisible. C’est le type de livre qu’on lit et qu’on ne peut plus arrêter, car on a trop hâte de connaître la suite. Pour poursuivre, on pouvait voir différentes émotions durant l’histoire, comme l’amitié, la haine, la peur, l’amour, etc. Personnellement, j’ai beaucoup aimé que le livre aborde plusieurs thèmes, mais je crois que c’est la petite touche de romance qui le rend encore meilleur. En effet, cela ajoutait du contenu à l’intrigue et faisait que le livre n’était pas seulement une histoire de suspense. Finalement, les personnages étaient très bien élaborés et il y avait une grande variété de personnalités. Bref, je vous recommande fortement ce roman, car il est très bon et j’ai bien hâte de lire les deux tomes qui le suivent.

Rédigé par Elsa Clément, 3 février 2015.