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Qui es-tu Alaska?

qui es-tu alaska

Auteur : John Green

Maison d’édition : Gallimard

Année de parution : 2007


Résumé :

Miles Halter est un garçon de 16 ans. Sa passion est de lire des biographies et d’apprendre les dernières phrases de personnes importantes. En quête du grand peut-être, Miles décide d’abandonner son ancien lycée pour un pensionnat dans l’Alabama. Dans la chaleur étouffante de ce coin de pays, Miles subit son initiation qui se révélera plus ou moins amusante… Là-bas, il rencontre son copain le Colonel, son colocataire de chambre qui deviendra un très bon ami, ainsi que Takumi l’un de ses partenaires de canulars. En effet, ce pensionnat est réputé pour ses  »blagues » légendaires. Miles rencontre aussi Alaska, la reine des Canulars. Une fille déconcertante, insaisissable, amusante, intelligente et terriblement sexy. Miles embrasse sa nouvelle vie avec ses nouveaux amis, des blagues, de l’alcool et des cigarettes jusqu’à ce que tout bascule…

 

Critique:

J’ai adoré ce roman, car il fait réfléchir et il est divertissant. Ce livre est un coup de coeur pour plusieurs raisons. Premièrement, il y a un suspense qui persiste durant presque tous les chapitres. Les noms de chapitres sont, par exemple:  »Cent trente-six jours avant ».  Avant quoi? À vous de le découvrir! Deuxièmement, John Green est vraiment un auteur formidable et intelligent. Il traite de l’adolescence parfaitement, tellement bien que l’on se demande s’il n’est pas encore un adolescent. Il est capable de mettre le doigt sur des émotions que nous, adolescents, ressentons et il nous aide à les comprendre. Troisièmement, tous les personnages ont une caractéristique bien à eux. Par exemple: Miles connait toutes les dernières phrases de personnes influentes. Le Colonel connait tous les noms des pays du monde. Cela rend le livre encore plus intéressant et même instructif. Pour finir, ce livre nous fait réaliser des choses, nous fait comprendre des émotions et fait changer notre perception de voir les choses. Ce roman nous donne envie de partir en Alabama, en quête du grand peut-être.

Rédigé par Élodie Roy

King’s game

kings gameAuteur : Nobuaki Kanazawa

Maison d’édition : Lumen

Année de parution : 2009


 

Résumé :

Au Japon, une classe de 32 élèves est mise au défi de jouer à un jeu morbide; le jeu du roi. Ce roi communique avec les lycéens grâce au SMS. Le roi envoie des ordres mettant au défi certains élèves de la classe. Certains défis ne sont pas mortels, mais en cas de désobéissance, la sanction le sera. En effet, si les élèves sélectionnés par le roi n’exécutent pas l’ordre dans les 24heures qui suivent, ils seront condamnés à mort. Le châtiment est décidé par le roi. Arrêt cardiaque, pendaison, noyade, démembrement, vieillissement accéléré, décapitation, le roi est sans scrupule. Les élèves de la classe se demandent bien qui est le roi. Est-il humain? Si oui, comment fait-il pour savoir exactement quand les élèves ont réussi l’ordre? Est-il inhumain? Mais s’il l’est, comment fait-il pour envoyer ces messages textes? Toutes ces idées font frémir de peur la classe dont le nombre d’élèves diminue selon les ordres du roi.

Critique :

J’ai adoré ce livre! J’aime le mystère qui règne dans ce roman, le côté sadique et l’originalité de l’auteur. Nobuaki a réussi à imprégner une atmosphère de peur et de suspense dans ce roman . Par contre, puisque c’est un roman inspiré de Manga, les prénoms sont tous japonais. Puisqu’il y a plus de 32 prénoms, c’est parfois difficile de se rappeler qui est qui. Par chance, au début du roman, on peut y trouver une liste avec tous les prénoms et le sexe des lycéens. Ça m’a été très pratique! Ce livre a 373 pages, mais l’écriture est plutôt grosse. On a tellement envie de savoir le prochain ordre et comment les élèves vont réagir! Je classerais ce roman dans peur et science-fiction. En effet, c’est un roman de science-fiction, mais Nobuaki Kanazawa a réussi à intégrer beaucoup de relations entre les personnages, ce qui rend ce roman encore plus intéressant. En somme, j’ai beaucoup aimé ce roman et je suis très contente qu’il possède deux suites! (Je le conseille aux filles et garçons de plus de 13 ans)

Rédigé par Élodie Roy, 5 décembre 2015