Auteur: Amy Ewing

Maison d’édition: Robert Laffont

Année de parution: 2015

Résumé:

Depuis que la Duchesse du Lac l’a surprise avec Ash, le compagnon dont les services ont été loués pour sa nièce, tout s’accélère dans la vie de Violet. Elle doit fuir. À l’aide d’un allié inattendu, elle libère Ash, qui a été condamné à mort. Ensuite, avec Raven, sa meilleure amie, ainsi qu’Ash, Violet s’enfuit du Joyau. Une fois hors de ce royaume où cruauté et hypocrisie règnent et où les riches vivent dans le luxe au détriment des pauvres, elle découvre qu’une rébellion secrète, la Clef Noire, prend place peu à peu. Trouvant refuge dans une demeure appelée La Rose Blanche, Violet et Raven développent leurs pouvoirs, les dons attribués aux mères-porteuses, et apprennent que la rébellion repose sur leurs épaules. Que sont-elles prêtes à sacrifier pour abattre le Joyau et rendre justice à tout le monde?

Sans compter le fait que Violet et Ash sont recherchés ainsi que la Duchesse du Lac, qui semble comploter une autre de ses nombreuses cruautés…

Critique:

Pour ceux qui ont lu le premier tome de la série, intitulé Le Joyau, vous allez aimer ce deuxième volet. L’écriture fluide et la narration à la première personne permettent une meilleure compréhension de l’histoire. Il se passe beaucoup d’évènements très injustes dans le domaine de la Duchesse du Lac, le genre d’évènements qui nous donnent l’envie de se révolter et de rendre la pareille à ceux qui font du mal aux autres. Les pauvres sont achetés par les riches pour leurs services et sont traités comme de la marchandise. Tout au long du roman, on sent bien la tension des personnages, leur désir de renverser la royauté cruelle et sans scrupules afin d’avoir une vie libre à eux. Je trouve cela courageux que les personnages principaux osent fuir, malgré le nombre élevé de régimentaires qui patrouillent toutes les rues à leur recherche et la peine de mort qu’ils encourent si jamais on les retrouve. J’ai hâte de lire la suite, afin de savoir ce qu’il se passera.

Rédigé par Mylène Nguyen, le 16 octobre 2016

Auteur : Joseph Delaney

Maison d’édition : Bayard Jeunesse

Année de parution : 2009

Résumé :

Cela va bientôt faire deux ans que Tom Ward est l’apprenti de John Gregory, un épouvanteur expérimenté. Il est temps pour lui de passer à l’étape suivante : six mois de formation chez Bill Arkwright, un épouvanteur expert en sorcières d’eau. Depuis la libération du Malin, communément appelé Satan, Tom n’est plus en sécurité. Son apparition n’a fait que hâter la décision de son maître. Chez Arkwright, le jeune apprenti ne se sent pas à l’aise : pour une raison inconnue, Arkwright boit beaucoup et se montre parfois violent envers lui. De plus, être loin d’Alice, sa meilleure amie et une jeune sorcière, l’accable davantage. Lors d’un entraînement, Tom se fait attaquer par Morwène, une terrible sorcière d’eau qui est l’ennemie jurée de Bill Arkwright et fille du Malin. Débute alors une chasse aux sorcières d’eau. Malheureusement, le nouveau maître de Tom commet une erreur et laisse son jeune apprenti à son sort. Avec l’aide d’une alliée totalement inattendue, Tom va devoir affronter Morwène et elle n’est pas seule…

Critique :

L’Erreur de l’Épouvanteur est le cinquième tome de la série Épouvanteur. J’ai beaucoup aimé ce livre. Tom Ward est le septième fils d’un septième fils, ce qui lui donne des capacités différentes des autres comme celles de voir les fantômes, les esprits et sentir la présence de l’obscur. Cette qualité est primordiale pour pouvoir exercer le métier d’épouvanteur. De plus, il s’agit de quelque chose de très dangereux et je trouve cela courageux que Tom accepte de protéger le Comté des monstres qui y grouillent. J’aime la complicité présente entre Tom et Alice. Cette dernière doit parfois user de sortilèges qui pourraient l’attirer vers l’obscur pour protéger Tom. Il essaie de la convaincre que ce n’est pas bien, qu’il refuse qu’elle agisse de la sorte. Cela montre à quel point il tient à elle, malgré la désapprobation de John Gregory dû au fait qu’elle est une sorcière. Je conseille ce roman à ceux qui aiment les «histoires à ne pas lire la nuit…».

Rédigé par Mylène Nguyen