Archives de catégorie : Romans

La vie compliquée de Léa Olivier tome 6 : Tornades

tornades

Auteur : Catherine Girard-Audet

Maison d’édition : Les Malins

Année de parution : 2014


 

Résumé :

Le sixième tome de cette série commence par le départ de la famille Olivier vers Varadero, à Cuba, pour les vacances de Noël. Pendant son voyage, elle rencontrera une petite fille de 10 ans qui la suivra à chacun de ses pas, un garçon dont elle tombera amoureuse et une maladie qui restera avec elle pendant une semaine. L’arrivée de la nouvelle année l’amènera à faire de nouvelles résolutions. Elle devra tout de même confronter l’école, les nunuches, l’ami de son frère et pire encore. Durant ses derniers mois de 15 ans, elle décidera de ne plus penser qu’à elle et de laisser une deuxième chance aux personnes qui l’ont déçue auparavant.

Critique :

J’ai bien aimé ce livre, car il a un style d’écriture de ‘’journal intime’’ moderne. La jeune fille, Léa, n’écrit pas dans un journal, mais envoie plutôt des courriels et des messages textes qui nous parlent de ce qu’elle vit à Montréal à sa meilleure amie qui habite à Québec. Dans cette série, il n’y a pas un narrateur, mais plusieurs car Léa envoie des messages et ses amis lui répondent. Peu importe ce qu’il se passe, il faut toujours passer par les réseaux sociaux. Personnellement, j’ai lu ce roman assez vite, puisque l’auteur de la série écrit dans le genre de langage avec lequel les jeunes d’aujourd’hui s’expriment. L’introduction de nouveaux personnages se fait une manière particulière et comique. La façon dont Léa décrit son voyage est aussi drôle qu’intéressante. Dans chacun des tomes, on peut apprendre quelques leçons de la vie. Le sixième tome nous montre qu’il faut toujours laisser une deuxième chance à une personne qu’on connait peu.

 

Rédigé par Marilyne Nguyen, 22 octobre 2015

La vie compliquée de Léa Olivier tome 7 : Trou de beigne

trou de beigne

Auteur : Catherine Girard-Audet

Maison d’édition : Les Malins

Année de parution : 2015


 

Résumé :

Les 16 ans de Léa commençaient pourtant bien. Comblée d’amour par son petit ami, elle file le parfait bonheur…ou presque! Elle voudrait intégrer Olivier au reste de sa bande d’amis. L’année scolaire de Léa tire à sa fin et se trouver un boulot à temps plein pendant les vacances n’était pas aussi facile qu’elle le croyait. Elle a dû traverser une multitude d’obstacles avant de décrocher un emploi qui n’est pas à son goût. Avec son petit copain qui ne trouve plus de temps pour elle à cause son emploi, sa meilleure amie qui est en peine d’amour, les nunuches qui continuent de se moquer d’elle dû à son boulot et de l’uniforme affreux, l’été de Léa sera mouvementé!

Critique :

Pour ce septième tome, j’ai bien aimé le début, car je mourrais d’impatience de savoir ce qui s’est passé avec le suspense dans lequel le sixième tome nous a laissé. Plus on avançait, de plus en plus on voulait savoir ce qui se passait. La façon dont l’auteur décrit les péripéties de Léa lorsqu’elle travaille était amusante. J’ai apprécié lorsque la meilleure amie de Léa a continué de persévérer malgré la situation qu’elle venait de vivre. Lorsque les nunuches humilient Léa, celle-ci est toujours prête à se défendre et à les humilier avec des répliques cinglantes tout en les mettant bouche bée. Je conseille ce roman aux passionnés de romans de genre « journal intime ». Bref, j’ai très hâte de savoir la suite de cette série.

 

Rédigé par Marilyne Nguyen, 26 octobre 2015

Ghost recon.3 : Opération chaos

ghost recon

Auteur : Tom Clancy (écrit par Peter Telep)

Maison d’édition : City

Année de parution : 2014


Résumé

Ross, un ancien SEAL, se fait repêcher par les Ghosts. C’est une unité d’élite à l’intérieur des forces spéciales américaines, que rien n’arrête jamais. Il reçoit le poste de commandant à la tête d’un petit groupe composé de quatre Ghosts, y compris lui. Au début, ils se retrouvent dans la forêt tropicale, à l’attaque des avant-postes des FARC. Cependant, au cours du livre, et donc de la mission, ils poursuivent des armes de destruction, les chefs du groupe des FARC et d’autres groupes terroristes. Ils doivent faire beaucoup de choix crucial, pour leur survie, mais aussi pour sauver la « planète ». Ils sont donc souvent sur le point de mourir, mais ils se relèvent.

Critique

Je trouve que c’est un très bon livre à lire, tant pour les adolescents que pour les adultes, puisqu’il y a des moments trop violents pour les plus jeunes. Ce livre nous fait « embarquer » dans l’histoire. Il nous tient en haleine depuis le tout premier mot, jusqu’au dernier. Le livre est cependant parfois difficile à comprendre, et exige donc parfois des retours en arrière, mais en général, il se comprend bien. Il est parfois très stressant, et intense. De plus, puisque nous avons l’impression d’être avec les Ghosts, lorsqu’un de ceux-ci est blessé, soi on ressent sa douleur, ou nous voulons aller lui porter secours. L’auteur a donc très bien choisit comment écrire le livre pour qu’il soit des plus intéressant. Je recommande donc vivement ce livre à tous ceux qui veulent être avec les personnages principaux des livres, et tout cela, en lisant un livre. Mais aussi à ceux qui veulent seulement lire un livre d’excellence.

Rédige par Marc-Antoine Baillargé, le 27 avril 2015

Assassin’s creed.7 : Unity

Assassins creed

Auteur : Oliver Bowden

Maison d’édition : Milady

Année de parution : 2014


Résumé

Alors que la révolution fait rage, le conflit opposant les Assassins aux Templiers perdure toujours. Arno et Élise, un Assassin et Une Templière, tentent de se venger de tout ce dont on les a privés. Élise, cherchant de l’aide pour venger son père le Grand Maître des Templiers, François De La Serre, retrouve Arno. Celui-ci, maintenant devenu un Assassin, l’amène voir ceux-ci. Le Maître des Assassins accepte le marché. Viennent ensuite les combats et les énigmes.

Critique

Je trouve que c’est un très bon livre et qu’il n’est pas nécessaire de lire les livres précédents, puisque c’est une histoire d’une autre époque. Le livre est écrit comme un journal et passe de celui d’Élise à celui d’Arno et ainsi de suite. Il est donc probablement plus difficile à comprendre pour les plus jeunes, et parfait pour les adolescents. Il est rempli de combats et d’énigmes, pour les gars, mais il y a aussi une histoire d’amour cachée, compliquée et semée d’embûches, pour les filles. Je crois que ce livre s’adresse aux gars comme filles et aux adolescents comme aux adultes. Le livre est très intéressant et ressemble à une vraie histoire qu’ont vécue les personnages. Il y a aussi beaucoup de détails, pour les plus curieux et aussi des instants où il y en a moins, pour les plus imaginatifs.

Rédigé par Marc-Antoine Baillargé, le 11 mars 2015

Percy Jackson et les dieux grecs

percy jackson

Auteur : Rick Riordan

Maison d’édition : Albin Michel

Année de parution : 2014


Résumé

Percy Jackson, un demi-dieu, un ado d’aujourd’hui, un jeune atteint de dyslexie et d’hyperactivité, nous fait le récit du commencement, de la hiérarchie des créatures mythologiques ainsi que celle des dieux. Il nous raconte tous les points forts, les points faibles des Dieux et de leurs ancêtres. Il raconte aussi les principales batailles. Percy nous raconte aussi comment les Dieux ont vaincu leur père, Cronos, et les titans et comment la mère des Dieux les a sauvés.

Critique

Je trouve que c’est un très bon livre de descriptions. Je crois qu’il s’adresse à tous les lecteurs voulant en apprendre plus sur l’Olympe, le commencement du commencement, l’histoire de la terre et du ciel, les Titans, les dieux et la plupart des créatures mythologiques. Il explique beaucoup plus les histoires principales, car s’il racontait tout, je crois qu’il faudrait une centaine de livres de plus! Le livre est cependant parfois difficile à lire. Il y a aussi beaucoup de détails, pour les plus curieux et aussi des instants où il y en a moins, pour les plus imaginatifs. Le livre est d’autant plus attirant pour les adolescents, puisque c’est Percy Jackson, un ado d’aujourd’hui, qui explique tous ces grands changements, et ces grandes batailles. Je me dois de répéter encore, que ce livre est très intéressant, et qu’il nous apprend beaucoup sur les Dieux olympiens. Je recommande donc encore une fois, ce livre à tous ceux qui veulent en savoir plus.

Rédigé par Marc-Antoine Baillargé, le 26 avril 2015

Les héritiers d’Enkidiev. 11 : Double allégeance

heritiers enkidiev

Auteur : Anne Robillard

Maison d’édition : Wellan Inc.

Année de parution : 2015


Résumé

Au début, on parle de Saonic, un des chasseurs envoyés par Achéron, pour tuer son fils, Kimaati, le dieu-lion. Nous rejoignons ensuite Lassa, le dieu-dauphin ailé, Briag, le moine, et Hawke, le moine elfe, pour tenter de retrouver la petite fille qui permettrait d’empêcher une guerre d’éclater, la fille de Swan/Napalhuaca. Hadrian et son groupe, poursuivaient toujours Onyx et sa famille, alors qu’il fut appelé par Kira, pour commander temporairement les Chevaliers D’Émeraude, afin de détrôner celui qui s’est emparé du château d’Onyx, lors de son absence.

Critique

Ce livre nous fait rester en alerte dès les premières pages, jusqu’aux dernières. Ce livre est la suite du 10e tome, «  Déchéance », et il contient beaucoup de péripéties. Je trouve que c’est un très bon livre. Cependant, je recommande de lire ce livre seulement après avoir lu le 10e tome, puisque le 11e tome, Double Allégeance, fait beaucoup de références à celui-ci. Le livre est rempli de trahisons, de magie, de bouleversements, de retournements de situation, etc.. Donc, tout ce qu’il faut pour qu’un livre soit intéressant. Ce livre nous fait vraiment embarquer dans l’histoire, ce qui fait en sorte que nous ne voulons jamais arrêter de le lire. La fin nous laisse beaucoup de suspense, et nous attendons donc le 12e tome, Kimaati, avec beaucoup d’impatience. Je recommande donc ce livre avec beaucoup de ferveur.

Rédigé par Marc-Antoine Baillargé, le 8 mai 2015

L’épreuve.2 : La terre brûlée

terre bruleeAuteur : James Dashner
Maison d’édition : Pocket Jeunesse
Année de parution : 2010


Résumé

Thomas et les autres Blocards se réveillèrent dans un endroit mystérieux. Aussitôt réveillés, ils inspectèrent chaque pièce de cet endroit. Ils étaient encerclés par ce qu’ils appellent des « fondus au bout du rouleau ». Ils eurent ensuite la visite de « l’homme rat » qui leur a expliqué, en quoi consistait « l’Épreuve ». Après avoir traversé le transplat, ils coursèrent dans un couloir noir possédant des pièges qui fit réduire leur nombre jusqu’à onze. Ils eurent ensuite la visite de deux Fondus mais qui avaient encore de l’intelligence. Ensuite, Thomas et les autres coururent vers la ville. Rendus à l’intérieur d’un bâtiment, ils firent la rencontre d’une bande de Fondus. Deux d’entre eux, Brenda et Jorges, les escortèrent jusqu’au refuge. En route, les Blocards rencontrèrent le groupe B. Ils arrivèrent ensuite au fameux « refuge » qui était un leurre. Le WICKED les amena ensuite dans le vrai refuge.

Critique

Je crois que c’est un très bon livre pour les jeunes d’environ 11 à 16 ans puisqu’il est parfois trop violent pour les plus jeunes et contient de petits moments que beaucoup d’adolescents voudraient rencontrer dans la vraie vie. Ce livre est aussi rempli d’aventures en lieux urbains et désertiques. Il possède aussi beaucoup d’intrigues qui mènent soit à la confusion ou à la compréhension du lecteur, mais qui rendent ce livre beaucoup plus intéressant. Le livre détient plein de mystères et de mensonges. Je trouve que ce livre est très attrayant et détient une excellente histoire. Peut-être que certain trouveront qu’il contient beaucoup de pages, mais puisqu’il a une très bonne histoire, je crois qu’il peut être assez facile à lire pour tous. En résumé, c’est un très bon livre que je recommande à tous, après avoir lu le premier livre de la série.

Rédigé par Marc-Antoine Baillargé, février 2015

La cosmétique de l’ennemi

cosmetique ennemi

Auteure : Amélie Nothomb

Maison d’édition : Albin Michel

Année de publication : 2001


Résumé

Jérôme Angust, homme d’affaires qui semble être tout ce qu’il y a de plus banal, attend son vol, assis dans les chaises inconfortables communes aux aéroports. Textor Texel, un peu moins banal, avait décidé de faire de Jérôme la victime du crime parfait. Personne n’était au courant. Pas même Jérôme. Tout ce que Textor Texel avait eu à faire, c’était de parler et d’attendre. Et plus il parlait, plus son piège se refermait sur sa victime. Plus le dialogue se poursuivait, plus l’effet d’entonnoir opérait. « J’agis en fonction d’une cosmétique rigoureuse. La cosmétique, ignare, est la science de l’ordre universel, la morale suprême qui détermine le monde. Ce n’est pas ma faute si les esthéticiennes ont récupéré ce mot admirable. Il eût été anticosmétique de débarquer en vous révélant d’emblée votre élection. Il fallait vous la faire éprouver par un vertige sacré. »

Critique

Un chef-d’œuvre. Amélie Nothomb ne manque jamais de me fasciner. Sa fluidité pour décrire des récits aussi complexes me surprend à chaque fois. Elle aborde des thèmes complexes, durs, controversés. Mais elle le fait avec tant d’adresse et en parle d’un point de vue si peu commun qu’on ne peut s’empêcher de tourner page après page, sans même s’en rendre compte. Textor Texel est certes un être abominable doublé d’un assassin, mais je n’ai pu m’empêcher de lui donner raison sur beaucoup de choses et je dois avouer qu’il m’a souvent bien fait rire. On cherche par tous les moyens de savoir si Jérôme Angust va réellement mourir, et si oui, comment. Le suspense dure jusqu’aux toutes dernières pages, qui ne déçoivent absolument pas. Un roman qui se lit très bien, qui soulève des questionnements dans notre for intérieur, qui ne laisse pas de place à l’ennui, avec une touche d’humour pour équilibrer le drame.

 

Rédigé par Marianne Hamiaux, 12 mai 2015.

Les fourmis

les fourmis

Auteur : Bernard Werber

Maison d’édition : Albin Michel

Date de publication : 1991


Résumé

Tout se passe en même temps. D’un côté, Jonathan Wells hérite de la demeure de son oncle savant Edmond Wells, à côté de la forêt de Fontainebleau et découvre ses secrets. Quand le chien de son fils effectue une descente au sous-sol et y laisse sa peau, Jonathan décide d’éclaircir le mystère de la cave. Il ne revient pas lui non plus. De l’autre, la fourmilière de Bel-O-Kan, de la forêt de Fontainebleau, comprenant soixante-quatre cités fédérées et entretenue par dix-huit millions d’habitants, s’éveille au début du printemps. La fourmi mâle 327e part en expédition de chasse avec quelques compagnes. Seule la 327e reviendra de cette expédition. Une arme extrêmement puissante et efficace a exterminé toutes les autres fourmis rousses de l’expédition. 327e en informe la Reine. En même temps que Jonathan découvre qui était réellement son oncle Edmond, les rousses Bel-O-Kanniennes se préparent à une guerre sans merci.

Critique

Une histoire de science-fiction extrêmement intéressante et enrichissante, écrite de mains de maitre. Werber entre dans l’univers de l’infiniment petit avec une précision et un sens du détail exquis. Ces fourmis semblent en avoir beaucoup à nous apprendre. Premier roman de la trilogie des fourmis (le Jour des fourmis, 1992 ; la Révolution des fourmis, 1996), on se met inévitablement à établir des comparaisons entre la civilisation fourmis et la civilisation humaine. On se questionne sur la place à donner à l’individu dans une communauté, et sur l’importance de la communauté pour un individu. Comment se fait-il que les fourmis soient si bien organisées, si synchronisées, si connectées? Qu’est-ce qui empêche les humains de l’être, eux aussi? Combien de choses de savons-nous pas encore? Ce sont des questions auxquelles Edmond Wells tentera de répondre dans son Encyclopédie du savoir relatif et absolu. Un scénario compliqué, mais si bien amené que tout est absolument fluide. Des personnages extrêmement intéressants, même au niveau des fourmis. Un univers si loin du nôtre et pourtant qui se trouve juste à nos pieds. Et qui sait, peut-être ces univers se rencontreront-ils?

Rédigé par Marianne Hamiaux

Aliss

Aliss

Auteur : Patrick Senécal

Maison d’édition : Alire

Année de publication : 2000


Résumé

Alice, jeune femme brillante de Brossard, décide de quitter le cocon familial pour se propulser dans la grande métropole. En quête de sensations fortes et d’un besoin de s’affirmer, elle aboutit sur la rue Saint-Denis avec seulement une valise et quelques dollars. N’ayant pas encore les habitudes des gens urbains, elle suit un homme jusque dans le métro pour lui redonner le portefeuille qu’il avait laissé tomber. Arrivée au bout de la ligne verte, elle remarque quelque chose d’étrange : il n’y a qu’une sortie, qui débouche sur un quartier pour le moins particulier. Ayant décidé de ne reculer devant rien, elle s’installe donc dans cet endroit peuplé d’individus étranges et parfois plutôt inquiétants. Et bien sûr, elle devra trouver la bonne question…

Critique :

Âmes sensibles, s’abstenir. Senécal a réellement compris comment manipuler les charmes de l’horreur. Il ne tombe jamais dans le ridicule, erreur trop souvent commise par les auteurs qui exploitent ce style. Spécialement avec un roman comme Aliss, inspiré du compte original de Lewis Carroll Les Aventures d’Alice au Pays des Merveilles (1865), il aurait été facile de rendre les personnages trop caricaturaux et enfantins. Mais j’ai toujours voulu savoir jusqu’où Aliss irait pour trouver la bonne question. J’ai toujours voulu savoir quel prochain personnage du conte viendrait à être transformé par Senécal, et surtout comment il le serait. Les pages se tournaient toutes seules. Pour qu’un roman d’horreur soit réussi, il faut qu’on y croie. Or, même si nous savons tous très bien que ce quartier étrange de Montréal, alias le « Pays des merveilles », n’existe pas, on ne peut s’empêcher de penser qu’il pourrait exister. Il est encore plus intéressant de lire Aliss lorsqu’on a lu le conte original de Carroll, puisque tous les personnages s’y trouvent.La différence c’est qu’ils sont Montréalais et bien sûr, fous. L’auteur décrit si bien l’état d’esprit dans lequel évolue Alice qu’il est impossible de lâcher le livre. Suspense, tension, personnages particuliers, péripéties perturbantes, psychologie et morale, même un cours de philosophie (ou presque)… la recette parfaite du roman d’horreur est là.

Rédigé par Marianne Hamiaux