Auteur : James Dashner
Maison d’édition : Pocket jeunesse
Année de parution : 2013
Résumé :
Dans « La partie infinie » de James Dashner, nous sommes dans un futur où la plupart des gens vivent dans un univers virtuel appelé le « VirtNet ». L’histoire suit Michael, un ado passionné par les jeux vidéo, qui doit affronter un hacker terrifiant nommé Kaine, avec l’aide de ses amis Sarah et Bryson. Il piège les joueurs dans le VirtNet, les empêchant de revenir à la réalité. Poussé par son désir de protéger ses amis et un sens de justice bien placé, Michael se lance dans une quête impressionnante pour stopper Kaine. Au cours de son périple, il découvre des vérités troublantes sur son monde et sur lui-même. Ce roman explore des thèmes profonds tels que la dépendance à la technologie et la manipulation mentale, nous poussant à réfléchir à notre propre dépendance du monde virtuel.
Critique :
« La partie infinie » de James Dashner suit Michael, un ado passionné de jeux vidéo, qui lutte contre un hacker redoutable, Kaine, capable de piéger les joueurs dans le VirtNet. L’histoire explore un monde dans le futur où la réalité virtuelle domine le monde réel. L’histoire est vraiment captivante, mélangeant action et suspense tout en explorant des sujets complexes comme la dépendance à la technologie et les dangers du monde virtuel. Dashner réussit à créer un univers qui nous pousse à réfléchir sur notre activité virtuelle. Même si les personnages peuvent parfois sembler relativement clichés, ils sont attachants et leurs motivations sont crédibles, donc nous pouvons nous plonger totalement dans leur aventure. Cela dit, certains passages peuvent paraître quand même prévisibles, et l’intrigue aurait pu être développée un peu plus. Malgré cela, le rythme rapide et les rebondissements nous gardent intéressés tout au long du récit. En résumé, il s’agit d’une très bonne lecture pour tous ceux qui aiment la science-fiction et ce qui touche au virtuel, tout en nous faisant réfléchir à notre dépendance à la technologie.
Rédigée par Enzi Masabarakiza le 10 février 2025