Ils étaient dix

Auteur : Agatha Christie

Maison d’édition : Édition du Masque

Année de parution : 1940

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Résumé :

Dix personnes reçoivent une invitation pour passer leurs vacances sur l’île du soldat. Une île réputée pour y tenir des fêtes extravagantes. Récemment, l’île a été rachetée par un certain O’Nyme, chose qui ne manqua pas de faire courir des rumeurs. Certains pensaient que le propriétaire était une star hollywoodienne, d’autres pensaient qu’il s’agissait en réalité d’un individu tentant d’effectuer des tests ultra-secrets sur les dix personnes. À l’arrivée des invités , le propriétaire fut absent, et c’est alors que chacun d’entre eux mourront conformément au couplet d’une mystérieuse comptine.

Critique : 

De tous les livres policiers que j’ai lus, celui-ci était de loin le meilleur. Le livre, bien que très détaillé, est facile à lire et nous présente très bien les différents personnages. Durant toute la lecture, on nous plonge dans un sentiment d’angoisse et de peur tellement que la psychologie des personnages est bien décrite. Ce que j’ai aimé de ce livre est que l’auteur nous pousse de temps à autre à penser qu’un des personnages serait le coupable jusqu’à ce que nos accusations soient réduites à néant par un autre indice. Comme les autres personnages, je me suis senti embêté par le fait de ne pas trouver le coupable et j’ai même ressenti une certaine période d’angoisse. Par contre, un des défauts du livre est qu’il est difficile de se rappeler des caractéristiques de chacun des personnages et cela nous pousse à souvent retourner au début du livre pour se faire un meilleur portrait d’eux.

Rédigée par Redhouane Belaissaoui, le 18 mai 2022.

Les aventures de Radisson

Auteur : Martin Fournier

Maison d’édition : Septentrion

Année de parution : 2011

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Résumé : C’était en 1651. Pierre-Esprit Radisson, un jeune de 15 ans originaire de Paris, décide de s’installer en compagnie de sa sœur à Trois-Rivières. À cette époque, la guerre entre les français et iroquois était à son comble, et c’était à cette même période que Radisson fut capturer. Après avoir subi les tortures que les iroquois lui avaient infligées, il se fait finalement adopter grâce à sa bravoure et à son courage. C’est ainsi qu’une nouvelle vie commença pour lui, qui apprendra alors la langue iroquoise, leur culture et se battra même à leurs côtés…

Critique : Passionné d’histoire et amateur de sensations fortes, c’est un livre que j’ai particulièrement aimé grâce aux nombreux dénouements inimaginables des aventures de Radisson. Avant de commencer la lecture, je m’attendais à un livre plutôt monotone qui pencherait plutôt sur l’aspect descriptif de la Nouvelle-France. Mais au fil des pages, j’ai vite été emporté par la plume de Martin Fournier qui réussit à combiner fait historique et aventure dans le même
livre. Plusieurs fois au cours de l’histoire, j’ai cru que Radisson allait périr à cause des nombreux risques qu’il prend, mais à mon grand étonnement, celui-ci réussit toujours à échapper à la mort d’une manière inimaginable . En plus, ce livre est rempli de suspens quant au destin de Radisson. Acceptera t-il de se battre contre des colons français au risque de se faire tuer par des iroquois? Réussira t-il à retourner chez lui ? Des questions intrigantes qui nous poussent à lire le livre jusqu’au bout.

Rédigée par Redhouane Belaissaoui, le 18 mai 2022.

Le roi maléfique

Auteur : Holly Black

Maison d’édition : Rageot

Année de parution : 2019

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Résumé :   

À 17 ans, Jude Duarte devient la nouvelle sénéchale du Grand Roi de Terrafæ, mais leur relation conserve un plus grand secret. Lorsque les Fonds marins refont surface après des années de paix, un conflit politique éclate et Jude s’y retrouve au plein milieu. La jeune mortelle doit faire face à plusieurs pièges, mais sa plus grande adversité restera l’irrésistible Cardan. Est-ce Jude qui le contrôle ou n’est-ce pas plutôt lui qui la contrôle ? Réussira-t-elle à sortir de ce conflit ancestral ?

Critique :

Je dois avouer qu’à première vue, le livre fait assez peur. Nous ne sommes pas complètement certains si le livre possède un précédant ou une suite. Je vous affirme que vous devriez lire « Le Prince cruel » en premier, mais le deuxième tome n’est pas très difficile à comprendre pour les gens qui, comme moi, n’ont pas lu la trilogie en ordre. Honnêtement, au tout début, j’ai été mélangée par les liens entre les personnages considérant leurs prénoms assez inhabituels et compliqués. Sinon, par la suite, l’histoire se suit bien et ne contient pas trop de clichés. Étant donné le volume du livre, il est normal de se perdre, mais ça en vaut le coup. La fin m’a laissé ébahie, je n’en trouve même pas les mots : je n’aurais jamais cru que la relation entre Cardan et Jude se finissent ainsi. J’espère pouvoir lire la suite bientôt afin de comprendre ce que Madoc, le général du Grand Roi et père de Jude, avait derrière la tête en s’emparant de l’armée. Roman plein de rebondissements que je conseille fortement!

Rédigée par Loujaine Benkassa, 6 mai 2022

Odd et les géants de glace

Auteur : Neil Gaiman

Maison d’édition : Albin Michel

Année de parution : 2009

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Résumé :

Odd est un jeune garçon habitant un village nordique d’antan. Celui-ci, ravagé par la malchance, a perdu son père tandis que sa mère se retrouve dans un piètre état. Odd se retrouva aussi démuni de l’usage de sa jambe droite. Un beau jour, le jeune homme fait la connaissance d’animaux et ses rencontres le portent vers une aventure mirobolante et étourdissante. Un pays de glaces, des dieux tout puissants, des Géants de Glace… Odd ne se préparait aucunement à vivre une telle aventure, particulièrement lui, petit humain fragile.

Critique :

Le format enfantin et le faible volume de ce livre peuvent paraître douteux quant à son contenu, mais j’ai moi-même été surprise. La plaisanterie et l’air arrogant d’Odd m’ont suivi durant ma lecture et cela a ajouté du dynamisme. La friction entre les dieux transformés en animaux m’a aussi beaucoup plu. Je n’avais pas reconnu l’auteur, mais il avait écrit Coraline, un film qui m’a bien marqué et je dois dire honnêtement que, n’ayant jamais lu cet auteur, j’ai bien apprécié son style d’écriture. Comme je l’ai dit plus tôt, l’aspect enfantin de ce roman ne m’a pas convaincu, mais je me suis retrouvée à finir le livre en une journée tant l’auteur m’a absorbé dans l’histoire. En lisant la 4e de couverture, je m’attendais à une scène de combat, mais j’ai été stupéfaite de voir qu’Odd a triomphé du Géant de Glace par ruse et par magie. Étant donné que le roman n’est pas trop volumineux, l’histoire se tient bien et il n’y a pas beaucoup de personnages secondaires. Cela m’a encore une fois satisfaite et satisfera aussi les lecteurs aimant les romans brefs.

Rédigée par Loujaine Benkassa, 24 avril 2022

Le Passager

Auteur : Patrick Senécal

Maison d’édition : Alire

Année de parution : 1995

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Résumé :

Étienne Séguin vient de Drummondville mais vit à Montréal. Il retourne à sa ville natale pour un poste de professeur de littérature au cégep. Dans ses allers retours, il rencontre un autostoppeur qui semble être familier avec lui, mais il n’y a qu’un petit problème. Étienne est amnésique et ne retient aucun souvenir de son enfance. De multiples questions trament dans la tête d’Étienne. Qui est cet homme devenu son passager? Qu’ont-ils fait ensemble durant leur enfance?

Critique : 

Le Passager a été une surprise plaisante pour moi. J’ai cru que je n’aimerais pas ce livre, mais les personnalités d’Étienne et d’Alex m’ont accroché. La fin de l’histoire était inattendue. Je n’avais jamais lu de livre écrit par Patrick Senécal avant celui-ci. Je peux seulement dire que l’écriture de cet auteur est géniale. L’amnésie d’Étienne donne du mystère et occasionne du stress concernant les intentions d’Alex, surtout lorsque nous apprenons quel type individu il est. La nervosité d’Étienne et le manque d’empathie qu’Alex éprouve me font ressentir plusieurs émotions. Je me demande souvent que ce serait-il passé si Étienne avait décidé d’ignorer l’auto-stoppeur? Peut-être que celui-ci n’aurait jamais été spectateur des meurtres commis par Alex? Je comprends comment les 214 pages de lecture du Passager pourraient sembler ardues. Mais je vous assure qu’il vaut la peine, notamment pour les amateurs de romans policiers et « thriller ».

Rédigée par Guinaelle Destiné, 30 mars 2022.

 

Le chant d’Achille

Auteure: Madeline Miller

Maison d’édition: HarperCollins Publishers  (version anglaise)

Année de parution: 2011

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Résumé:

Un jeune prince nommé Patrocle est exilé dans un autre royaume. Là-bas, il rencontre Achille, aussi surnommé Aristos Achaion, le meilleur des Grecs. Fils d’une déesse de la mer et d’un roi, son futur est déjà tout tracé pour lui par les Dieux et les prédictions des Parques. Quand Patrocle arrive, Achille le choisit comme compagnon et les deux princes deviennent inséparables. Au fil des années, ils grandissent ensemble, jusqu’à ce que la réputation d’Achille le suive d’un peu trop près. S’il veut être reconnu comme le héros et le guerrier formidable qu’il est, il se doit d’aller à la guerre de Troie. Toutefois, quand la guerre tourne au drame, les deux hommes doivent prendre des décisions déchirantes qui pourraient tout changer.

Critique:

Même pour ceux qui ne connaissent pas spécialement la mythologie grecque, le mythe du héros Achille en reste un assez connu. Beau, honorable, guerrier légendaire combattant pour les Grecs lors de la guerre de Troie, cet individu reste célèbre dans chaque histoire où il figure. Dans l’adaptation de Madeline Miller, il ne s’agit pas simplement d’un combattant. Il s’agit d’un jeune homme qui n’a pas eu son mot à dire sur son avenir, chose qui devrait lui appartenir. Même s’il souhaite passer le restant de sa vie avec Patrocle, son vœu ne peut pas être réalisé. C’est un garçon comme les autres, si on oublie le fait qu’il est à moitié Dieu, forcé de grandir beaucoup trop vite pour s’assurer que les gens se rappelleront de lui comme d’un héros. L’écriture magnifique de ce roman décrit la vie du pauvre Achille, changé par les horreurs de la guerre, qui au fur et à mesure se perd dans sa quête vers le succès et laisse de côté ses anciennes valeurs pour prioriser son honneur. Puis, un des meilleurs développements psychologiques revient au personnage de Patrocle. Passant d’un jeune homme frêle et maladroit à quelqu’un d’indispensable à la guerre qui sauve un nombre incalculable d’hommes, il se mérite le surnom « le plus aimé ». Ces deux personnages, aussi différents soient-ils, viennent former un duo tellement parfait que l’expression « les contraires s’attirent » prend tout son sens. Ces deux personnages principaux et leur relation font du roman une œuvre absolument incontournable.

Rédigée par Marianne Grondin, le 5 mars 2022

Hygiène de l’Assassin

Auteur : Amélie Nothomb

Maison d’édition : Le Livre de Poche

Année de parution : 2004

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Résumé

Atteint d’un cancer des cartilages, appelé « Elzenveiverplatz », Prétextat Tach n’a que deux mois à vivre. Des journalistes du monde entier veulent avoir une entrevue avec ce célèbre romancier, reclus depuis des années. Seulement quatre parviendront à le rencontrer. Leurs échanges se caractériseront par des dialogues où mauvaise foi et logique s’articulent. Toutefois, un cinquième inconnu parviendra à rencontrer Prétextat.  Celui-ci lui tiendra tête et osera même faire face au jeu du célèbre romancier.

Critique

Le roman « Hygiène de l’Assassin » m’a malheureusement plutôt semblé long et ennuyeux. Le livre contient majoritairement du dialogue, sauf pour les quelques premières pages qui présentent et décrivent le personnage principal : Prétaxtat Tach

Dès le début du livre, nous avons un après l’autre les quatre premiers journalistes qui défilent en interagissant avec Tach. Chacun d’entre eux manque de caractère et de conviction, les rendant plutôt risibles. Mais, bien sûr, cela est pour rendre la cinquième journaliste, Nina, unique et plus intéressante. Par ricochet, c’est conséquemment à partir de ce passage que le roman est devenu intéressant pour moi!

Le livre contient en grande partie du dialogue et bien des descriptions, ce qui a contribué aux raisons qui m’ont fait moins apprécier le roman que je l’aurais voulu. Malgré tout, la fin du livre m’a marqué. Ce titre m’était, en somme, bien différent des autres livres standards que nous lisons habituellement. Dans cette optique, je le conseille néanmoins si vous désirez une lecture originale.

Rédigée par Guinaelle Destiné, 18 février 2022.

Hajime no Ippo

Auteur : George Morikawa

Maison édition : Weekly Shōnen Magazine (parution initiale)

Année de parution : 1989

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Hajime no Ippo, l’un des mangas sportifs les plus aimés de cette génération, raconte l’histoire de Ippo Makunouchi, un jeune lycéen de 17 ans et fils unique de la famille Makunouchi, une famille de pêcheurs dont le père est décédé. Ippo commence la boxe en rencontrant Mamoru Takamura, un boxeur professionnel qui l’aidera après avoir été victime d’harcèlement. À partir de là, Ippo commencera sa carrière de boxeur et connaîtra une ascension fulgurante dans le monde de la boxe.

Personnellement, je trouve que Hajime no Ippo est un chef-d’œuvre de la culture japonaise grâce à de nombreux points, dont les dessins et l’histoire. Premièrement, j’ai beaucoup apprécié les dessins de ce manga, car ceux-ci, en plus d’être extrêmement beaux et très détaillés, peuvent varier entre les combats et les moments de la vie de tous les jours. En effet, pendant les combats, les détails du visage, les contrastes et les émotions des combattants ressortent d’une manière assez conséquente. Nous nous permettons même de vivre le combat. Deuxièmement, ce qui m’a poussé à choisir ce manga est l’histoire, car Hajime no Ippo est un manga de type Shonen, c’est-à-dire une histoire où nous suivons les aventures d’un héros avec une quête principale (comme dans One Piece, Naruto ou Dragon Ball). Par contre, Hajime no Ippo est un Shonen un peu différent : le protagoniste n’a pas de don initialement. Contrairement, par exemple, aux héros des autres titres de la catégorie, Ippo est vraiment parti de rien pour réussir son rêve de devenir boxeur professionnel. Voici donc pourquoi j’ai adoré ce chef d’œuvre de la littérature japonaise

Rédigée par Kenzi Yahiaoui, le 6 février 2022.

 

 

 

Ils meurent tous les deux à la fin

Auteur : Adam Silvera

Maison d’édition : Robert Laffont

Année de parution : 2017

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Résumé

Dans un futur proche existe la compagnie Death-Cast, une entreprise qui appelle certains citoyens pour annoncer leurs morts  imminentes. Le 5 septembre, c’est au tour de Mateo Torrez et Rufus Emeterio de se faire annoncer qu’ils vont mourir. Deux jeunes garçons auparavant étrangers qui se sont rencontrés grâce à l’application « Le Dernier Ami », les deux étant en quête d’un ami. Ensemble, ils vivront une dernière journée pleine d’aventures ainsi que plein d’accomplissements possibles d’une vie.

Critique

« Et ils meurent tous les deux à la fin » ne semble pas être un livre intéressant a priori, surtout avec le titre semblant indiquer le dénouement hâtif de l’histoire. Mais après avoir commencé la lecture, les perceptions changent. J’ai particulièrement aimé ce livre, encore plus, peut-être, que d’autres que j’aurais lus. L’histoire du livre se déroule en une journée, et nous nous attachons facilement à Mateo et Rufus, nous faisant redouter leurs décès annoncés. Ce livre est de type « adolescent-fiction ». Mon seul regret avec cette histoire est de ne pas l’avoir lue plutôt. Le roman est aussi original par le fait qu’il implique également une romance LGBTQ+. Selon moi, plus de gens devraient lire ce livre tant il est facile de tomber amoureux avec le parcours des personnages. Il comporte bien des questions et émotions.

Rédigée par Guinaelle Destiné, 14 novembre 2021.

Aurora Squad 1. Aurora rising

Auteurs : Amie Kaufman et Jay Kristoff

Maison d’édition : Knopf Books for Young Readers

Année de parution : 2019

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Résumé :

Tout commence en 2380. Quelque part dans la galaxie, Tyler, «golden boy» de l’Académie Aurora, sauve Auri, la seule survivante d’un vaisseau disparu depuis plus de 200 ans. Geste héroïque qui lui coûtera non seulement le choix d’avoir la meilleure équipe jamais formée dans l’Académie, mais aussi, possiblement, sa vie. Accompagné de sa bande très— comment dire?— spéciale, il devra tout faire pour protéger Auri. Car, eh oui, elle semble être beaucoup plus importante qu’elle en a l’air et joue peut-être même un rôle au sein d’une guerre commencée il y a des millions d’années.

Critique :

Aurora rising n’est pas un roman pour tout le monde. Voilà, je l’ai dit.  En effet, Aurora rising est un livre de science-fiction léger. Le concept a été vu plusieurs fois, autant dans des romans que dans des films et séries télévisées. Les thèmes de science-fiction dans ce roman sont donc plutôt simples et prévisibles. Je ne le recommanderais donc pas à des personnes qui lisent et écoutent de la science-fiction depuis longtemps ou qui cherchent un roman plus sérieux. Or, étant une avide lectrice de romans fantastiques et ayant lu que très peu de romans de science-fiction, je peux affirmer que j’ai énormément apprécié cette lecture. Le meilleur mot pour décrire Aurora rising est, tout simplement, « amusant ». Eh oui, l’humour est formidable, et ce, sans tomber dans le vulgaire, ni dans l’infantilisme. Ce qui m’a plu le plus, par contre, sont les personnages. Ils sont effectivement tous uniques et attachants. Finalement, les combats, les vols armés et tous les rebondissements font d’Aurora Rising un roman qui se lit extrêmement rapidement. Bref, je ne le recommanderais pas à des lecteurs qui recherchent un roman avec des concepts de science-fiction poussés. Par contre, je peux affirmer que j’ai énormément apprécié cette lecture et que ce roman m’a donné le goût de me lancer dans ce genre littéraire.

Rédigée par Alexia Roussille, le 6 mai 2021.