Artemis Fowl 1.

Auteur: Eoin Colfer

Maison d’édition: Gallimard Jeunesse

Année de parution: 2001


Résumé: Artemis Fowl, deuxième du nom, est un jeune garçon de 12 ans à l’intelligence supérieure. Un véritable génie. Malheureusement, c’est un génie qui se dévoue au mal. Il vit seul avec sa mère qui a perdu la tête suite à la disparition de son père, Artemis Fowl, premier du nom. Cet incident ayant fait chuter la renommée de sa famille fortunée, Artemis va imaginer un plan très particulier: voler l’or des fées. Accompagné de son fidèle serviteur, Butler, il plongera dans le monde de la magie et marquera les esprits.

Critique: C’était la première fois que je lisais un anti-héros et j’ai adoré! C’est un style intéressant qui nous fait nous demander ce que nous aurions fait à la place du héros (ou plutôt à la place du vilain) et qui nous donne un point de vue différent de ce à quoi nous sommes habitués. Les personnages possèdent une personnalité bien travaillée qui nous surprend tout au long du livre. J’ai apprécié leur humour qui allège l’histoire et qui nous fait rire. Chaque fois
qu’Artemis imagine un plan avec son esprit tordu, nous ne connaissons les détails que lorsque toutes les pièces du puzzle s’assemblent, ce qui nous permet d’élaborer nombres de stratégies qui font durer l’intrigue jusqu’au bout. Tout est bien pensé et nous n’avons pas l’impression que le personnage principal est tout-puissant et parfait, comme dans d’autres livres. Je pense que ça rajoute du réalisme et nous permet de nous reconnaître dans certains des personnages. Je recommande ce livre pour toutes ces raisons, mais aussi parce que ce n’est pas une lecture trop difficile. C’est une lecture agréable pleine d’action et de rebondissements!

Rédigé par Chloé Leblond, 12 avril 2018.

Juliette à Amsterdam

Auteur: Rose-Line Brasset

Maison d’édition : Hurtubise

Année de parution : 2015


Résumé:

Juliette, une jeune fille de treize ans, suit sa mère journaliste partout à travers le monde. Cette fois-ci, la mère de Juliette doit se rendre à Amsterdam pour son travail, mais aussi pour faire connaissance avec la famille qui a accueilli son père lors de la Seconde Guerre mondiale. Au cours de son voyage, Juliette se liera d’amitié avec Piet, un adolescent membre la famille qu’elle et sa mère rencontrent. Celui-ci lui fera découvrir l’histoire et la culture de la ville. À travers les péripéties qu’ils vivront ensemble, ils apprendront à se connaitre et Juliette en apprendra sur la vie d’Anne Frank et sur celle de son grand-père.

Critique:

Personnellement, j’ai adoré ce livre! Il y a plusieurs éléments positifs que j’ai  grandement appréciés. Premièrement, le vocabulaire utilisé est simple et adapté aux adolescents, ce qui m’a permis de bien comprendre toute l’histoire et de terminer ma lecture du roman assez rapidement. Deuxièmement, l’histoire est claire et captivante du début à la fin. En effet, lorsque j’ai lu le livre, je n’avais pas le goût d’arrêter ma lecture pour savoir ce qui allait arriver à Juliette. Aussi, j’ai bien aimé que l’auteure mette beaucoup de détails dans ses descriptions. Une autre particularité du livre que j’ai adorée: le carnet de voyage « Sur les pas de Juliette» qui se trouve à la fin du livre. Dans ce carnet, on trouve un résumé de l’histoire de la ville, des informations essentielles, des lieux touristiques, un lexique qui nous permet d’apprendre quelques mots  en Néerlandais, un questionnaire et un carnet de visite que l’on peut remplir. Je l’ai trouvé très intéressant et bien expliqué. Il m’a vraiment donné envie de visiter Amsterdam. Bref, je recommande fortement ce roman!

Rédigé par Léa Grenier, 22 février 2018

Les vacances d’Hercule Poirot

Auteur: Agatha Christie

Maison d’édition: Hachette Jeunesse

Année de parution: 2005 pour cette édition (mais le livre original en anglais a paru en 1941)


Résumé:

L’histoire se déroule au Jolly Roger, un hôtel situé près de la baie de Leathercombe en Angleterre. Très apprécié par les touristes, le Jolly Roger attire chaque année plusieurs touristes. Parmi ceux-ci, se retrouve Hercule Poirot, un enquêteur belge connu pour ses compétences exceptionnelles en tant que détective. Le séjour de tous les vacanciers s’annonçait agréable, jusqu’à  ce que Arlena Marshall, une actrice admirée par les hommes pour sa beauté et détestée par les femmes, soit retrouvée étranglée sur la plage. Hercule Poirot et les enquêteurs de la police locale feront équipe afin de trouver le coupable. Ensemble, ils recueilleront les témoignages des occupants et des employés de l’hôtel dans le but de trouver les détails qui leur permettront d’élucider le meurtre.

Critique:

Je suis une adepte des romans policiers d’Agatha Christie et comme tous ses autres livres que j’ai lus, j’ai vraiment aimé Les vacances d’Hercule Poirot. Je trouve qu’Agatha Christie a vraiment un style d’écriture unique qui me plaît beaucoup. L’histoire est remplie de détails, ce qui la rend très captivante. On n’a aucune idée du meurtrier jusqu’à la toute fin, grâce à l’intrigue que l’auteure a réussi à mettre dans son récit. Par contre, dans les premières pages, j’ai eu de la difficulté à «rentrer» dans l’histoire à cause des noms utilisés (noms anglais que je n’avais jamais entendus)  pour les personnages. En effet, au début, j’étais confuse et j’avais de la difficulté à assimiler l’information. De plus, puisque le livre a été écrit en 1940, il y a un vocabulaire un peu plus complexe et une façon d’écrire différente des romans actuels. C’est pourquoi je  vous suggérerais d’avoir déjà lu un roman écrit à cette époque avant de lire Les vacances d’Hercule Poirot. Sinon, je vous recommande sincèrement de lire ce roman jusqu’à la fin, car celui-ci mérite vraiment d’être lu.

Rédigé par Léa Grenier, 25 mars 2018

L’épreuve 3: Le remède mortel

Auteur: James Dashner

Maison d’édition: Pocket Jeunesse

Année de parution: 2014 (2011 aux États-Unis et 2014 en France)


Résumé:

Thomas et les autres blocards, du moins ceux qui restent, sont de nouveau entre les griffes du WICKED. S’ils ne collaborent pas avec le WICKED, ceux qui ne sont pas immunisés contre la Braise mourront. Ils décident néanmoins de s’échapper une fois pour toutes. Thomas, Jorge, Brenda, Newt et Minho, séparés des autres, se rendent à Denver. C’est alors qu’ils recroisent un blocard: Gally. Il prétend faire partie d’un groupe nommé « Bras Droit ». Plus tard, ce groupe se révélera être une grande aide, même si leurs intentions ne sont pas claires pour le moment. Finalement, ils réussissent à retrouver le groupe B. Ils se sont tous fait kidnappés par des gens prétendant travailler pour le Bras Droit. Afin de confirmer leurs propos, ils rencontrent leur chef, Vince, qui leur fait part de son plan concernant le WICKED.

Critique:

Pour moi, il existe un critère important concernant les bons livres: on ne doit pas pouvoir deviner la fin de l’histoire avant d’arriver à la fin. Et le dernier tome de cette trilogie envoûtante remplit parfaitement ce critère. L’auteur sait comment faire durer l’intrigue du début à la fin, ce qui nous permet de rester captivés malgré le grand nombre de pages. On ne sait jamais qui va mourir, qui va survivre, qui est un traître, qui est un allié… bref, impossible de deviner ce qui va se passer. De plus, il n’est pas difficile de suivre l’histoire, même s’il y a plusieurs éléments qui expliquent différentes facettes de celle-ci. J’apprécie particulièrement l’évolution des personnages, la manière dont certains passent du bon au méchant ou encore l’inverse. Ça donne un côté réaliste très intéressant. Peu de livres ont réussi à susciter autant d’émotions en moi que celui-ci, ce qui en fait un de mes coups de coeur. Je recommande le livre et de ne pas faire attention au nombre de pages: c’est si captivant que ça passe très vite!

Rédigé par Chloé Leblond, 9 mars 2018.

Ça

Auteur: Stephen King

Maison d’édition: Le livre de poche

Année de parution: 1986


Résumé:

Enfants, dans leur petite ville de Derry, Ben, Eddie, Richie et la petite bande du « Club des ratés », comme ils se désignaient, ont été confrontés à l’horreur absolue : ça, cette chose épouvantable, tapie dans les égouts et capable de déchiqueter vif un garçonnet de six ans…

Vingt-sept ans plus tard, l’appel de l’un d’entre eux les réunit sur les lieux de leur enfance. Car l’horreur, de nouveau, se déchaîne, comme si elle devait de façon cyclique et régulière frapper la petite cité.

Entre le passé et le présent, l’enfance et l’âge adulte, l’oubli des terreurs et leur insoutenable retour, l’auteur de Sac d’os nous convie à un fascinant voyage vers le Mal, avec une de ses œuvres les plus amples et les plus fortes.

Critique:

Stephen King possède son propre univers, ce qui lui a permis de se classer dans les meilleurs auteurs mondialement. Dans cette œuvre, il a su nous transporter dans ses mots, comme toujours. Certains diront que ses livres possèdent beaucoup trop de détails. Pour ma part, j’ai particulièrement apprécié son souci de précision. Je dirais donc que son écriture est jugée différemment selon le type de lecteur que vous êtes. J’adore la façon dont il mêle l’enfance à la période adulte. Ses personnages sont particulièrement attachants, et chacun possèdent leur propre personnalité. Je conseille ce livre à ceux et celles qui n’apprécient pas l’horreur. Celui-ci possède aussi plusieurs scènes obscènes, donc à vous de juger!

Rédigé par Syndy Jetté, lundi 5 mars 2018

 

La voleuse de livres

Auteur : Markus Zusak

Maison d’édition : Pocket jeunesse

Année de parution : 2005


Résumé :

Durant la Deuxième Guerre mondiale, Liesel Meminger vit une succession de malheurs : la mort de son frère, l’abandon de sa mère, puis de son père lorsqu’elle était plus jeune et se fait adopter par un accordéoniste et une femme… Plutôt susceptible avec un langage des plus irrespectueux. Entre des raids aériens, des jurons de sa mère adoptive et la cache d’un juif inspirant dans leur sous-sol, Liesel devra se faire à sa nouvelle vie en Allemagne nazie.

Critique :

Premièrement, j’ai bien aimé le fait que ce soit la Mort qui raconte l’histoire de Liesel. Ses anecdotes rajoutent une touche d’humour dans l’atmosphère plutôt sombre de la Seconde Guerre mondiale. De plus, la Mort incarne un élément très important lors de ces années de noirceur. Elle explique très bien la peur de Liesel et les événements tristes et douloureux qu’elle a pu vivre. Cela nous fait davantage réaliser les ravages qu’a pu causer cette guerre, ainsi que la manière dont ont pu vivre les personnes qui ont perdu des proches. Je crois que ce livre est à la fois un livre historique et merveilleusement bien écrit, mais aussi hommage à tous ceux qui ont vécu durant ces années de misère et à tous ceux qui ont combattu pour la paix. Ce livre est aussi très bien, car il démontre que l’écriture est un moyen d’expression très fort, qui nous permet de changer d’air et de décompresser. Je vous conseille sincèrement ce livre, pas seulement pour les amateurs de romans historiques, mais aussi pour tous ceux qui aiment les histoires inspirées de la réalité et qui sont remplis d’émotions diverses, que les personnages nous font vivre. 

Rédigé par Florence Hénault, le 11 décembre 2017

Uglies 1.

Auteur : Scott Westerfeld

Maison d’édition : Pocket jeunesse

Année de parution : 2005


Résumé :

Tally Youngblood aura bientôt seize ans, et qui dit seize ans dit chirurgie pour devenir Pretty. Tous les gamins de sa ville l’envient, car être Pretty signifie être beau, enfin! Du moins, c’est ce qu’elle pensait, comme tous les autres, avant une rencontre qui chamboulera entre autres sa vie d’adolescente. Et si sa ville lui cachait une partie de la vérité? Et si elle décidait de rester ainsi? C’est ce qu’elle découvrira à La Fumée, un village bien spécial où elle remettra en question toutes les décisions qu’elle a prises.

Critique :

Uglies est le premier livre de science-fiction que j’ai lu, et j’ai sincèrement apprécié! L’auteur nous transporte sur la Terre des années et années plus tard. Je ne m’attendais pas à ce type d’histoire et toutes ces nouvelles technologies qui entourent les personnages sont vraiment ingénieuses et bien pensées. De plus, Tally est un personnage auquel nous pourrions nous identifier, peu importe l’époque à laquelle le récit aurait pu se dérouler. Cette fille me fascine en son comportement; elle peut à la fois être fonceuse à un certain moment, puis à un autre se questionner sur ses agissements.  Ce roman, sans en avoir l’air, me démontre que quelqu’un peut changer de mentalité simplement par une rencontre. Aussi, j’ai bien aimé les parallèles que l’auteur créait avec ce que nous vivons aujourd’hui (des guerres de territoire, de race, de religion, la pollution qui détruit nos écosystèmes, la surconsommation, etc.), et nous explique comment tout a chamboulé un jour, et comment les sociétés se sont reconstruites à la suite de cet accident. Finalement, le fait que l’auteur exploite son imagination de cette manière est très inspirant pour moi. Je vous recommande absolument ce livre. C’est l’un des meilleurs que j’ai lus de ma vie.

Rédigé par Florence Hénault, le 11 décembre 2017

Moi, Simon, 16 ans, Homo Sapiens

Auteur : Becky Albertalli
Maison d’édition : Hachette Livre
Année de parution : 2017


Résumé :

Simon Spier est un jeune homme vivant dans une banlieue d’Atlanta. On le voit vivre ses péripéties en compagnie de ses trois meilleurs amis, Nick, Leah et Abby. Pourtant, ceux-ci ne savent pas quel est son secret. Il est gay, et il ne sait pas comment faire avec. Non qu’il en ait honte, au contraire! Il a seulement peur du jugement, plus particulièrement celui de ses proches, à qui il ne voudrait pas décevoir. Une chance qu’il a Blue, un garçon homosexuel qu’il a rencontré sur Tumblr. Ils vont à la même école, mais ils ne se connaissent pas. Qui peut bien se cacher derrière ce profil? Entre Oréos, références sur Harry Potter et théâtre, vous découvrirez comment Simon s’est ouvert au monde.

Critique :

J’ai adoré comment l’auteure a pu mettre en écrit un sujet qui est encore mis dans l’ombre dans notre société. Simon est un personnage attachant avec plusieurs qualités. Le fait que nous puissions « être dans sa tête » m’a beaucoup plu, puisqu’il démontre à quel point l’attirance envers un certain sexe ne change pas notre mentalité. Simon nous fait rire, nous remet en question. Il est parfois perdu, mais ses amis sont toujours là pour lui. Sans oublier Blue! Nous ne connaissons peut-être pas son vrai prénom, mais nous pouvons clairement dire qu’il a une place importante dans ce livre. Il aide Simon à s’accepter et à faire son fameux coming out. Lorsque j’ai commencé à lire le livre, je ne l’ai pas lâché tant que je ne l’ai pas terminé! Il est vrai que les premières pages ne m’ont pas accrochées, mais vous pouvez être certain que je n’ai pas regretté d’avoir continué ma lecture! De plus, les références aux livres Harry Potter m’ont beaucoup plu, tout en donnant une plus grande crédibilité au roman en démontrant des aspects de la vie réelle. En fait, je me demandais parfois si Simon existait vraiment, tellement que tout ce qui lui arrivait était bien expliqué. C’est une lecture fluide qui fait plaisir à entreprendre. L’oeuvre met en avant des personnages crédibles qui ne tombent pas dans des clichés. Ils sont originaux, attachants et intéressants.

Je donne une note de 8,7/10 à ce roman, que je vous conseille bien entendu!

Rédigé par Syndy Jetté, 9 novembre 2017

Les Chevaliers d’Antarès 4. Chimères

Auteur: Anne Robillard

Maison d’édition: Wellan Inc.

Année de parution: 2016


Résumé :

L’histoire de Wellan et de Nemeroff continue, mais aussi celle de Zakhar, alors que celle de Sage et Azcatchi commence réellement. Cependant, les histoires diffèrent. En effet, Wellan, suivant encore Sierra, découvre enfin la division des Chimères. Leur commandant est Ilo, l’époux de Sierra, qui n’aime cependant pas le voir en présence de celle-ci. Pour ce qui est de Zakhar, il découvre que les autres Aculéos n’ont pas tous suivis son ordre. Sage et Azcatchi commencent alors leur vraie aventure en étant littéralement largué en plein territoire Aculéos.

Critique :

Encore une fois, l’excellente auteure qu’est Anne Robillard réussit à nous émerveiller. Dans ce quatrième tome de la série « Les Chevaliers d’Antarès », on peut y retrouver un mélange parfaitement bien équilibré entre l’humour, la magie, et quelques petites histoires d’amour et de jalousie. Tout au long du roman, Anne Robillard nous donne envie de continuer de lire. Le seul problème, c’est que si on ne s’arrête pas de le lire, on le finit bien trop tôt. Ce qui le rend d’autant plus intéressant, est le fait qu’il se passe dans un univers étrange. En effet, cet univers est possiblement au même niveau technologique que le monde réel, mais les humains combattent encore avec les armes et les techniques appartenant au Moyen Âge. De plus, les humains de ce compense le fait qu’ils ne possèdent pas de magie grâce à cette même technologie. Car effectivement, les Chevaliers d’Antarès n’ont pratiquement aucune magie contrairement aux chevaliers du Monde de Wellan. Il est aussi important de remarquer que les paysages décrits sont riches en détails.

Rédigé par Marc-Antoine Baillargé, le 15 mai 2017.

 

Magisterium 1. L’épreuve de fer

Auteurs : Holly Black et Cassandra Clare

Maison d’édition : Scholastic

Année de parution : 2014


Résumé :

Depuis sa plus jeune enfance, un jeune garçon de douze ans, Callum Hunt, se fait dire que les magiciens sont cruels et sans pitié, que la magie est une malédiction de la vie. Mais le voilà maintenant au Magisterium. Là où il apprendra tout de la magie. Mais son père lui répète sans cesse que ce lieu n’est qu’une illusion, que tout ce qui y est appris est faut. Mais dans cet endroit, Callum s’y fait aussi des amis, pour la première fois de sa vie. Il découvrira aussi des choses merveilleuses, mais une histoire terrible y surgit. À vous de découvrir ce qu’elle est.

Critique :

Ce livre en est un parfait pour tous les amateurs de magie et de fantastique. Il contient à la fois quelques principes magie, et une grande amitié. Ce livre est une excellente histoire pour tous et toutes. Il possède à la fois l’humour, quelques suspenses, et quelques principes élémentaires de magie qui peuvent facilement nous faire réfléchir. En lisant cette histoire, il est facile de se penser à la place de Callum ou un des autres personnages. L’histoire étant addictives, une fois que ce livre sera commencé, il vous sera impossible de vous arrêter tant que vous ne l’aurez pas fini. De plus, ce n’est pas un livre contenant une simple histoire. Il est possible de voir que derrière l’histoire, se cache une histoire encore plus grande. Cette histoire pourrait bien être la raison qui fait en sorte que vous voulez continuez cette série. Car dans ce premier tome, Callum et ses amis ne font qu’effleurer quelques indices par rapport à cette grande histoire mystérieuse. Cependant, à la fin, Callum découvrira un grand indice qui prendra probablement une importance capitale dans les prochains tomes. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour vous convaincre de lire ce livre. C’est donc maintenant à vous que revient le devoir de le lire et de découvrir le mystère de la vie de Callum.

Rédigé par Marc-Antoine Baillargé, le 9 mai 2017.