Auteur : Joseph Delaney
Maison d’édition : Bayard jeunesse
Année de parution : 2005
Résumé :
Thomas J. Ward est un 7e d’un 7e fils, ce qui fait de lui un épouvanteur, combattant contre ce qui n’est pas de ce monde. Il vit avec sa famille dans une petite ferme quand fut le temps pour lui de commencer son apprentissage en tant qu’épouvanteur. Il partit donc avec son nouveau maitre John Gregory qui testa le courage de Tom dès la première journée. Une fois passé cette première journée en tant qu’apprenti, Gregory et Tom partirent vers la maison d’été de Gregory, à Chippenden. C’est là que commencent les cours de Tom, et les ennuis. Un jour, il rencontre une sorcière Alice qui lui rendit un service. En retour, elle demanda à Tom de donner un gâteau à Mère Malkin, la plus puissante sorcière du compté qui était entravé dans le jardin de Gregory ce qui lui donna de la force et put se débarrasser des barreaux. Tom et Gregory durent donc combattre Malkin et ses alliés Lizzie et Tusk avec l’aide inattendu d’Alice.
Critique :
L’apprenti épouvanteur est le premier tome d’une série excellente, après seulement 1 ou 2 chapitres on se sent dans l’histoire et on veut en savoir plus. L’action est présente du début jusqu’à la fin tout comme le suspense. Les amateurs de fantastiques sont servis avec cette série, sorcières, gobelins, démons, pouvoirs sont au rendez-vous dans cet univers incroyable qu’a créé Joseph Delaney. Moi-même étant fan d’histoires fantastiques, cet Univers fût mon préféré et l’est toujours. Plus on avance dans l’histoire, plus on en apprend sur les personnages qui sont tous intéressants à leur façon. Par exemple, Tom est courageux malgré ses peurs et il va vite apprendre de ses erreurs et travailler fort pour arrêter le mal. Gregory est un peu plus grincheux, mais j’ai quand même adoré ce personnage qui se différenciait de Tom par son expérience, sa façon de penser et d’agir. Puis, Alice est imprévisible et a toute une histoire derrière sa personnalité. Bonne chance pour vous arrêter de lire quand vous le commencerez !
Rédigé par William Delisle, 30 avril 2017