Archives de catégorie : Romans pour ados

Les naufrages d’Isabelle

naufrages isabelle

Auteur : Tania Boulet

Maison d’édition : Québec-Amérique

Année de parution : 2002


Résumé :

C’est l’histoire d’une jeune fille de 15 ans qui se prénomme Isabelle, elle est une fille très studieuse qui prétend ne pas avoir besoin de l’affection des autres. Sa sœur Marie-Anne est complètement différente. Elle est rebelle, se teint les cheveux de toutes sortes de couleurs et malgré tout elle attire les garçons comme des aimants. Quand arrive à leur école le beau Samuel Lachance, toutes les filles en sont follement amoureuses sauf évidemment Isabelle, mais Samuel n’a d’yeux que pour Marie-Anne. Quelques jours plus tard, on apprit que Samuel était en couple avec Marie-Anne et qu’ils vivaient le parfait amour. Les semaines passèrent et alors que tout allait bien Isabelle se mit à recevoir des lettres d’amour d’un admirateur secret. Au début, ces lettres ne lui faisaient rien, mais au fil du temps elle se mit de plus en plus à les apprécier. De plus, elle était persuadée que cet admirateur était ce beau Samuel étant donné leur nouvelle complicité et leurs nombreux points en commun. Elle se mit à l’aimer en cachette, persuadé qu’il l’aimait aussi. C’est alors qu’un malheureux incident arriva, affectant la vie d’Isabelle et de tout son entourage… si seulement on pouvait retourner en arrière pour réparer les erreurs.

Critique :

J’ai beaucoup aimé ce roman pour plusieurs raisons. Premièrement, ce livre nous fait prendre conscience que tout ne finit pas toujours bien et que malgré tout il faut s’accrocher à la vie et continuer à vivre. Ce roman nous fait réaliser que même les gestes les plus banals peuvent entrainer des conséquences très graves. La personne qui écrivait les lettres à Isabelle n’aurait jamais pensé que ses actes auraient été aussi loin. De plus, ce que j’ai aimé dans ce livre, c’est que cette histoire relate des faits qui auraient pu arriver à tout le monde. Souvent on pense que ce genre d’histoire n’arrive que dans les livres, mais au contraire personne n’est à l’abri. Deuxièmement, j’ai aimé le fait que cette histoire ne finisse pas bien, parce que dans la vie tout n’est pas toujours comment on l’avait prévu ou espéré. Il y a souvent des imprévus et il faut vivre avec. À la fin du roman on nous montre comment Isabelle et Marie-Anne ont appris de leurs erreurs et la mort de Samuel a changé leur vie. En conclusion, j’ai grandement apprécié ce roman et je le recommande à tous les lecteurs et lectrices.

Rédigé par Vanessa Cayemitte, 15 février 2015.

Amos Daragon. Porteur de masques

 

porteur de masquesAuteur: Bryan Perro

Maison d’édition: Perro édition

Année de parution: 2003


Résumé :

Amos est un jeune adolescent qui vit dans un village bien pauvre. Par une courte rencontre, il apprend être l’élu d’une nouvelle génération de porteurs de masques, des magiciens contrôlant le feu, l’eau, l’air et la terre. Accompagné de son ami Beorf, il parcourt un monde extraordinaire rempli de créatures mythiques et étranges à la recherche des mystérieux masques de pouvoir qu’il a pour mission de trouver. Plusieurs obstacles se mettent dans sa route, mais ils l’aident à trouver une réponse.

 Critique :

Personnellement, j’ai adoré ce livre, son univers fascinant m’a plus au point de ne plus pouvoir arrêter de le lire quand l’envie m’en prenait. Le vocabulaire simple rend la compréhension plus facile et nous incite à poursuivre l’histoire. Ce livre m’a fait rire à cause de la ruse d’Amos face à ses différents adversaires et défis. Avant de le lire, je ne m’intéressais que très peu aux romans et le lire m’a appris comment lire entre les lignes. C’est une lecture que je recommande aux amateurs de fantaisie et aux personnes qui veulent commencer la lecture de livre plus long, mais qui reste facile à suivre. Les mots développent l’imagination et nous font imaginer les vastes plaines, les déserts ardents, tous comme les montagnes et les nombreuses villes et cités. L’auteur a imaginé des personnages dont la description est facile à imaginer. Si vous ne l’avez pas lu, c’est quelque chose que vous devriez faire. Vous manquez un bon livre.

Rédigé par Tristan Hurtubise, 9 janvier 2015.

La plus grosse poutine du monde

la plus grosse poutine

Auteur : Andrée Poulin

Maison d’édition : Bayard Canada 2013

Année de parution  : 2013


Résumé :

Thomas n’a pas vu sa mère depuis sa fête de 5 ans .Il se souvient que sa mère lui a préparé une poutine à la place d’un gâteau de fête . Neuf ans plus tard, pour ses 14 ans, Thomas a voulu réaliser le record de la plus grande poutine du monde. Il souhaite que par sa réalisation, sa mère puisse entendre parler de lui. Tout allait bien jusqu’a ce que Thomas trouve des menottes dans sa chambre. Il se demande « si sa mère est déjà allée en prison ». Son père lui répond : sa mère est une SDF. Finalement, Thomas prépara la plus grosse poutine du monde en souvenir de sa mère qu’il ne verra sûrement plus jamais…

Critique :

Ce livre est facile à lire car il n’y a pas beaucoup de mots difficiles et les caractères sont moyennement grands. J’ai aimé lire ce livre car l’auteur a utilisé différents moyens pour attirer les lecteurs : il a fait des blagues, il a laissé des « traces de sauce brune » sur les pages, etc… J’ai trouvé ce livre intéressant, amusant et surtout pas ennuyant. Je dirais que c’est un livre pour la 6iéme année du primaire, ce livre est composé de cent vingt pages, il a été écrit par l’auteure Andrée Poulin, qui a déjà écrit plusieurs livres jeunesse. Je recommande ce livre vivement à tous mes amis.

Rédigé par Amire Mazouz, le 3 janvier 2015

Un cadavre stupéfiant

cadavre stupefiant

Auteur : Robert Soulières

Maison d’édition : Soulières éditeur

 Date de parution : 2002


Résumé :

L’inspecteur va se marier avec Élisabeth Chamberland, sa bien-aimée, mais il y a un petit problème : un monsieur masqué d’une cagoule vient interrompre le mariage, dit « qu’il s’oppose au mariage » et il assassine le prêtre. Mais ce prêtre en est un faux et il a de la drogue cachée dans ses vêtements ! Et comme si ce n’était pas assez il enlève Élisabeth ! L’inspecteur part dans une aventure difficile à la recherche de sa princesse.

Critique : 

Ce livre est humoristique, il n’y a pas beaucoup de mots difficiles donc je le classerais comme roman jeunesse. Il a des caractères assez gros ce qui le rend très facile à lire. Mais le roman manque d’intrigue. Il y a beaucoup d’interaction dans ce livre. L’auteur met beaucoup de points d’exclamation

Ce dernier contient beaucoup trop de description, de phrases inutiles, etc…

Ce qui peut souvent ennuyer le lecteur. Pour ma part j’ai trouvé ce livre facile à lire et parfois je l’ai trouvé très ennuyant.

Je lui attribue une note de 6/10.

Rédigé par Amire Mazouz,18 décembre 2014

Eragon

eragon

Auteur : Christopher Paolini

Maison d’édition : Bayard jeunesse

Année de parution : 2005


Résumé :

Eragon, un jeune fermier, découvrit un jour un œuf de dragon, qui a bien voulu éclore pour lui. Il nomma la dragonne qui en est sortie Saphira et un conteur du nom de Brom le sut. Ensemble, ils ont dû affronter des créatures du mal tels que les Urgals ou une ombre. Mais ils se sont aussi fait des alliés dont des nains, une population vivant dans les montagnes des Beors et une elfe qu’ils ont sauvé des Urgals et de l’ombre en s’échappant d’une forteresse.

 

Critique :

J’ai vraiment aimé ce livre, car l’auteur explique tous les personnages, les batailles et les sentiments des personnages avec une précision inouïe. J’aime aussi ce livre, car il y a de l’action et parce que les personnages ont une belle personnalité. J’aime aussi le fait que le dragon peut parler mentalement avec son dragonnier ou avec certaines autres personnes. J’aime bien le temps médiéval, les dragons et les pouvoirs que les dragonniers peuvent avoir. Je pense aussi que l’auteur utilise les bons mots au bon moment. J’aime aussi le fait que pour utiliser la magie les dragonniers doivent utiliser l’ancien langage à la place du vieil «abracadabra».

 

Rédigé par Anthony Aylwin, 19 janvier 2015

Eragon vol. 2 : L’aîné

 

aine

Auteur : Christopher Paolini

Maison d’édition : Bayard jeunesse

Année de parution : 2006


Résumé :

L’elfe qu’Eragon avait sauvé dans le premier roman, Arya, est de nouveau sur pied et emmène Eragon à la cité cachée des elfes où Eragon et Saphira apprennent l’existence d’un autre dragonnier et d’un autre dragon par le fait même. Cet autre dragonnier est un elfe du nom d’Oromis et le nom de son dragon est Glaedr. Eragon devient l’apprentie d’Oromis et, par conséquent, Saphira l’apprentie de Glaedr. Eragon et Saphira vont participer à une bataille pour assiéger une ville et voient qu’un nouveau dragonnier a vu le jour, leur ami Murtagh, qui les a trahis.

 

Critique :

J’ai encore plus aimé ce livre que le premier, car il y avait encore plus d’action et on en apprenait encore plus sur chaque personnage, et ce, avec toujours autant de précision. De plus, on découvre de nouveaux personnages. Une des choses que j’aime beaucoup avec cette série pour le moment, c’est que plus on avance dans le livre, plus on veut continuer d’en lire pour connaître la suite et savoir si Eragon parviendra à vaincre le mal. En plus, on apprend de plus en plus l’ancien langage et ça rend le côté magique encore plus intéressant comparé aux vieilles formules classiques. Avant de lire la série Eragon, je n’avais aucun intérêt à la lecture, mais maintenant j’aime bien lire, spécialement les romans de ce genre. S’il y a une série que vous devriez lire, c’est bien la série Eragon. Les romans sont assez volumineux, mais ils se lisent très bien et c’est très facile de se faire une idée des personnages de la série.

 

Rédigé par Anthony Aylwin, 20 janvier 2015

Keleana l’assassineuse

KeleanaAuteur : Sarah J. Maas

Maison d’édition : La Martinière Jeunesse

Année de parution : 2013


Résumé :

C’est l’histoire de Keleana Sardothien, l’assassineuse la plus redoutée de tout le pays d’Adarlan. Ayant été arrêtée il y a près d’un an, elle a été condamnée aux travaux forcés depuis ce jour. Cependant, l’espoir revint lorsque le prince Dorian décida de lui proposer un marché. En échange de sa liberté, elle devra combattre dans un tournoi où le gagnant servira le roi pendant 4 ans. La jeune fille accepta, croyant qu’elle gagnerait à coup sûr, pourtant elle perdit confiance en se rendant compte qu’à chaque jour précédant une épreuve un concurrent était éliminé. En plein cœur de ces évènements, une question essentielle se pose. Peut-elle avoir confiance en Dorian ainsi qu’en son entraîneur, le capitaine Chaol?

Critique :

Je trouve ce roman absolument époustouflant. Il a tout juste la bonne dose d’action, d’aventure, de magie ainsi qu’une petite touche d’amour pour les romantiques. Ce livre n’est pas comme les autres où tout est noir ou blanc, où le héros est le gentil et l’ennemi le méchant. Dans ce cas-ci, l’héroïne est la plus dangereuse et célèbre assassineuse du pays, mais malgré sa mauvaise réputation on se rend compte qu’elle est avant tout une jeune fille vulnérable à qui la vie n’a pas fait de cadeau. Au fur et à mesure que l’on poursuit la lecture de cet ouvrage littéraire, on découvre qu’une étrange complicité s’installe entre Keleana et ses bourreaux au moment même où de graves ennuis s’annoncent. L’auteur a fait du très bon travail en écrivant ce roman, car au moment où l’on croit avoir découvert l’énigme qui entoure le mystère des évènements néfastes qui se produisent, on se rend compte que l’on est en fait complètement à l’opposé. En bref, ce livre est un roman qu’il faut absolument lire.

Rédigé par Ana Gavric, 10 février 2015

Les nombrils, vol. 6 : Un été trop mortel

ete trop mortelAuteurs : Delaf et Dubuc

Maison d’édition : Dupuis

Année de parution : 2013


 

Résumé :

Dans ce nouveau tome des nombrils, Vicky fait la connaissance de son nouveau voisin et de sa nouvelle voisine avec qui elle aura une relation plutôt étonnante. Jenny, elle, toujours innocente, passera son été sur la plage avec le beau sauveteur. Durant cet été, Karine fait encore face à son triangle amoureux et à ses « amies » Jenny et Vicky qui lui préparent encore des mauvais coups. En effet, celles-ci essaient de lui faire croire qu’Albin aurait quelque chose à faire avec la tentative de suicide de Mélanie. Albin est-il vraiment celui que Karine croit connaître?

Critique :

Cette sixième bande dessinée est comme les précédentes : excellente! Dans « un été trop mortel », l’histoire est un peu plus centrée sur Vicky. Jenny m’a fait bien rire avec son raisonnement parfois un peu… niaiseux! Malgré ses airs d’idiote, elle est une grande amie sur qui Karine et Vicky peuvent compter. Cette dernière est un personnage qui a des airs machiavéliques, mais tout au fond d’elle, elle cache une grande sensibilité. Karine, comme à son habitude, est d’une grande générosité touchante. Elle est toujours prête à pardonner à ses amies, peu importe ce qu’elles lui ont fait. Maintenant, parlons des dessins. Comme à son habitude, Delaf a très bien exploité les positions des corps, les expressions faciales, rendant presque la bande dessinée vivante. Dans ce tome, plusieurs nouveaux décors ont été inventés comme le camp de vacances, la maison des nouveaux voisins de Vicky et plusieurs autres, et tout ça, avec brio! Bref, je vous le recommande fortement, à condition d’avoir lu les cinq tomes précédents!

 

Rédigé par Marianne Turcotte, 6 décembre 2013

Starters, vol. 1

StartersAuteur : Lissa Price

Maison d’édition : Robert Laffont

Année de parution : 2012


 

Résumé :

Dans un futur lointain, un virus s’est propagé partout sur la planète. Seuls les Starters (les jeunes) et les Enders (les vieux) ont reçu un vaccin les sauvant et faisant ainsi rallonger leur espérance de vie. Les enfants, devenus orphelins et n’ayant aucun grand parent, se retrouvent à la rue. L’argent, la nourriture, l’eau et un toit sont très difficiles à trouver pour les jeunes à la rue. Par contre, il existe ce qu’on appelle Prime Destination, une compagnie qui s’occupe de la Banque des corps. La procédure est simple : des Enders peuvent louer des corps de Starters pour un certain temps afin de revivre leur jeunesse. C’est ce que Callie, 15 ans, s’apprête à faire pour sauver son petit frère Tyler d’une maladie. Mais des complications surviennent. Des rencontres inoubliables, des amitiés étonnantes et des pertes tragiques sont au rendez-vous.

Critique :

Sarters, premier livre d’une série de deux romans, est un bouquin excellent! Dès que j’ai commencé à le lire, je n’ai plus été capable de m’arrêter. À partir des premières pages, l’action embarque immédiatement. Ce qui rend le récit intéressant est que les explications viennent au fur et à mesure des chapitres, souvent à l’aide de retour dans le passé. Callie, le personnage principal, est très attachante. Elle est continuellement confrontée à des choix qui pourraient lui coûter la vie et celle de ses proches. Les autres personnages, tels que son petit frère, sont très touchants aussi. À quelques reprises, des larmes me sont venues aux yeux en lisant de sinistres passages. Cette histoire est à la fois composée d’amour, d’amitié, d’action et de suspense. Personnellement, j’adore ce type de roman qui comprend plusieurs thèmes. Ce que j’ai le plus adoré de Starters est l’atmosphère de mystère qui plane tout au long des 449 pages. Pour finir, la fin est tout simplement remplie de rebondissements excitants! Vivement le prochain tome : Enders.

Rédigé par Marianne Turcotte

Le blogue de Namasté : l’amour n’est pas mort

amour pas mortAuteur : Maxime Roussy

Maison d’édition : La semaine

Année de parution : 2013


 

Résumé :

Dans le 16e tome du « blogue de Namasté », celle-ci continue à nous raconter ses histoires de tous les jours, avec sa bizarrerie bien à elle. Sa mère est de retour à la maison, et rien ne s’améliore pour elle. Namasté en a-t-elle fini avec Godzilla? Wolfie deviendra-t-il son nouveau chum? Entre toutes ses aventures, elle doit trouver le temps d’écrire son article pour l’ÉDED. Finalement, le livre se finit comme d’habitude : dans un grand suspense qui nous laisse dans l’envie insoutenable de lire le prochain roman.

Critique :

Comme les 15 autres livres, j’ai adoré ce 16e tome! Namasté fait des comparaisons parfois un peu trop étranges, mais toutes plus drôles les unes que les autres. Le plus étonnant du livre est qu’il faut 191 pages à l’auteur pour nous raconter simplement six jours de la vie de Namasté. Par contre, j’ai trouvé qu’il y avait trop d’attente avant de savoir enfin ce qui s’était passé au party avec Wolfie. De plus, je pense que l’auteur a trop mis l’accent sur l’aspect humoristique du livre. Il ne parle pas beaucoup des problèmes du père et de la mère de Namasté, ce que je trouve dommage. Outre ces petits hics, l’histoire était excellente. Je me suis surprise à rire toute seule en lisant certains passages! L’arrivée du nouveau personnage Chloé permet à Namasté de démontrer encore une fois sa grande générosité, et également son entêtement et son impulsivité. Aussi, les images mises à chaque début de journée sont très bizarres, mais bien amusantes. La fin nous laisse en suspense, et j’ai bien hâte de lire le 17e tome : « Mais l’amour n’est pas fort ».

Rédigé par Marianne Turcotte, 6 décembre 2013