Mercure

Auteur : Amélie Nothomb

Maison d’édition : Les Éditions Albin Michel

Année de parution : 1998


Résumé :

Le 2 mars 1923, Françoise Chavaigne, la meilleure infirmière de l’hôpital de Nœud, est envoyée par sa patronne sur l’île de Mortes-Frontières pour soigner le Capitaine, un vieil homme qui vit seul sur son lopin de terre, isolé du reste du monde. Lorsqu’elle met pied sur l’île, elle est fouillée et pénètre dans l’immense manoir de l’homme. Elle apprend que, en fait, ce n’est pas le Capitaine qui est malade, mais bien Hazel, sa jeune protégée qu’il cache sur l’île depuis déjà cinq ans. L’infirmière, après avoir examiné la jeune fille, se rend bien compte qu’elle n’a rien de grave, mais décide de mentir au vieil homme et à sa patronne dans le but de continuer à voir Hazel. Le mystère plane sur Mortes-Frontières : que cache le capitaine? Pourquoi ne veut-il pas qu’Hazel quitte l’île?

Critique :

À mon avis, « Mercure », d’Amélie Nothomb, est un excellent roman, à cause de l’ambiance de mystère qui nous suit tout au long de notre lecture et du thème du mensonge, qui est abordé habillement par l’auteure.

Premièrement, ce roman est un roman de mystère, avec une pareille ambiance qui plane tout au long de notre lecture. En effet, on se pose beaucoup de questions, auxquelles nous n’obtenons réponse que vers la fin du livre. De plus, l’auteure sait comment créer une ambiance et le fait avec une aisance assez surprenante : « Pour habiter cette île, il faut avoir quelque chose à cacher. Je suis sûre que le vieux a un secret. Je n’ai aucune idée de ce que ce pourrait être ; si j’en juge d’après les précautions qu’il prend, ce doit être grave. » Cet aspect de l’œuvre de Nothomb nous intrigue, ajoute du suspense et nous donne envie de poursuivre notre lecture jusqu’à la toute fin.

Deuxièmement, le thème principal de ce roman, soit le mensonge, est très bien dépeint par l’auteure. Effectivement, on le voit dès le début de l’histoire, lorsque Françoise, l’infirmière, ment à propos de l’état de santé d’Hazel. Plus l’histoire avance, plus cette dernière s’enfonce dans son mensonge dans le but de continuer à voir Hazel : elle ment à sa patronne, au Capitaine et même à Hazel, à un certain point. Cet aspect du roman reflète, en quelque sorte, la réalité, puisque le mensonge en fait partie intégrale. Nous mentons, chaque mois, chaque semaine, chaque jour de notre existence, dans le but d’échapper à quelque chose qui, tôt ou tard, finira toujours par nous rattraper.

En résumé, je recommande ce roman à tous, car il est rempli de mystères et reflète bien la réalité.

Rédigé par Elsa Clément, 26 février 2017.

Gatsby le magnifique

Auteur : F. Scott Fitzgerald

Maison d’édition : Éditions du Sagittaire et Éditions Bernard Grasset

Année de parution : 1946


Résumé :

Nous sommes au printemps de l’an 1922. Nick Carraway, un jeune homme dans la trentaine, emménage dans une modeste demeure dans le quartier de West Egg, là où on retrouve les nouveaux riches, à Long Island, New York. Nick, quant à lui, n’est qu’un pauvre agent de change à la bourse qui, à tout hasard, s’est trouvé à être le voisin d’un homme mystérieux, habitant dans une immense villa aux allures de château victorien. Cet homme se prénomme Jay Gatsby et c’est son histoire que nous découvrons, sous les yeux objectifs de Nick, qui commence son récit en rappelant les paroles de son père : « Quand tu auras envie de critiquer quelqu’un, songe que tout le monde n’a pas joui des mêmes avantages que toi. »

Critique :

À mon avis, cet ouvrage est un chef-d’œuvre, car l’auteur nous démontre le « vide » de la classe supérieure, le thème principal, avec une aisance étonnante et nous laisse dans toute une gamme d’émotions avec une fin qui marque l’esprit à tout jamais.

Tout d’abord, tout au long du récit, l’auteur nous dépeint une société superficielle et matérialiste, composée de gens égoïstes dépourvus de valeurs morales. En effet, c’était dans cette réalité que vivaient les gens de la classe supérieure durant la décennie des années 20, aux États-Unis. Le narrateur, Nick Carraway, ne faisait pas partie de cette catégorie de gens, mais le réalise à force de côtoyer sa cousine Daisy et son mari Tom Buchanan, membres de l’élite new-yorkaise vivant à East Egg, de l’autre côté de la rive. À la toute fin du récit, Nick pense à tout ce qui s’est passé et dit que « c’étaient des gens négligents – Tom et Daisy – ils brisaient choses et êtres, pour se mettre, ensuite, à l’abri de leur argent ou de leur vaste négligence, ou, quelle que fût la chose qui les tenait ensemble, en laissant à d’autres le soin de faire le ménage… » (p. 221)  Cet aspect de la société que Fitzgerald aborde dans son œuvre nous fait voir la vrai nature des gens et rend l’histoire encore plus réaliste et touchante.

Ensuite, ce roman raconte l’histoire d’un homme, Jay Gatsby, qui a consacré sa vie à sa reconnaissance, à sa réputation et qui, durant cinq ans, a poursuivi un rêve, un amour de jeunesse, inatteignable. Cet aspect du roman va dans le même sens que le rêve américain, si légendaire durant les années 20, mais qui s’est terminé tragiquement avec la crise économique des années 30. Comme l’auteur a voulu nous le démontrer, tout rêve a une fin et celui de Gatsby ne fait pas exception. Cette œuvre nous laisse avec un goût amer en bouche, un dégout profond pour des gens insouciants et égoïstes. La fin, si inattendue, est décrite avec un style impeccable et des mots poignants qui renferment toute la tristesse de cette histoire.

Bref, je recommande fortement ce roman, car c’est un classique qu’il faut lire au moins une fois dans sa vie.

Rédigé par Elsa Clément, 3 février 2017.

Douze ans, sept mois et onze jours

Auteur : Lorris Murail

Maison d’édition : Pocket Jeunesse

Année de parution : Janvier 2015


Résumé :

Douze ans, sept mois et onze jours suit l’histoire de Walden un petit garçon abandonné par son père dans une cabane à l’intérieur d’une forêt en plein Maine. Dans le but de faire un homme de son fils, le père de Walden l’abandonne ainsi avec une carabine, un livre qu’il affectionne particulièrement et quelques boîtes de conserve. Chaque jour Walden écrira son âge très précisément sur une écorce de rondin comme son père le lui a appris avant de disparaître.

Critique :

Douze ans, sept mois et onze jours nous emmènent en plein cœur des forêts sauvages du Maine avec beaucoup d’émotion et de solitude tandis que Walden essaie de survivre avec ce qu’il peut. Ce livre palpitant autant qu’épeurant vous laissera sans mots à chaque fin de chapitre et vous voudrez en lire plus, les sensations que l’auteur nous procure à travers l’aventure de Walden sont indescriptibles. Avec beaucoup d’imagination, ce bouquin nous fait vivre une aventure et c’est ce que l’on recherche absolument de ce type de livre. Le récit a été très travaillé par l’auteur autant dans les personnages que dans l’histoire et les détails qu’il nous procure. Chaque phrase ou paragraphe ne sera pas écrit pour rien, l’auteur voudra que vous alliez plus loin dans chacun des chapitres. Douze ans, sept mois et onze jours est un récit fantastique et je vous conseille fortement de le lire.

Rédigé par William Laroche, 8 mars 2017

L’affaire Van Battle

Auteur : René Cochaux

Maison d’édition : Éditions du Phœnix

Année de parution : 2016


Résumé :

Anne et ses parents partent pour la ville de Braine-l’Alleud, située à une vingtaine de kilomètres de Bruxelles en Belgique en raison du décès de sa tante. Cette jeune adolescente vivra une étrange aventure accompagnée de plusieurs personnes rencontrées là-bas. Sait-elle qu’elle est suivie ? Est-elle en danger ? Malheureusement elle a été enlevée et est maintenant prisonnière dans un vieux château médiéval. Ses ravisseurs lui promettent de la laisser partir si elle leur donne le plus gros butin de sa tante : des diamants. Anne, qui n’a aucune idée de ce qu’ils parlent va essayer de s’échapper et d’en apprendre un peu plus sur sa tante décédée qui semblait lui cacher beaucoup de choses importantes. Ses parents inquiets pour leur fille, réussiront-ils à trouver ce mystérieux trésor pour sauver Anne ? Les rançonneurs sont très sérieux et s’ils n’obtiennent pas ce qu’ils veulent ils mettront leurs menaces à exécution…

Critique :

J’ai beaucoup aimé ce livre. Il était intéressant, il y avait du suspense et de l’action à profusion. Les personnages sont attachants et ont tous une personnalité bien à eux. L’histoire est captivante et vous tient en haleine jusqu’au bout. Le nombre de pages tourne autour de 160 et les chapitres sont très courts pour la plupart. Le vocabulaire est facile à comprendre et les descriptions sont détaillées. Pour ceux qui aiment les livres d’enquête, ce roman est pour vous, mais il vise plus les lecteurs de 12 ans et plus. J’aurais aimé en savoir plus sur la tante d’Anne qui est décédée, car l’histoire est très centrée sur Anne et sa famille… Bref j’ai trouvé ce livre très intéressant et je le conseille pleinement, si j’avais à donner une note sur dix, celle-ci serait de huit.

Rédigé par Mathilde Archambault, 12 mars 2017.

La prophétie des runes. 2. L’énigme sarmate

Auteure : Catherine Cuenca

Maison d’édition : Gulf stream éditeur

Année de parution : 2016


Résumé :

Mogiane, épouse de Friedhelm, voit sa vie prendre un tout autre sens lorsque le roi de Tornacum, Childéric  est enlevé par des Sarmates… Celle-ci est alors emportée dans une aventure rocambolesque avec ses amis Godwin, Landeric et d’autres. Alors que Mogiane est choisie par le peuple pour aller, seule, trouver une manière de sauver le jeune roi, trois Sarmates viennent la chercher et ils partent pour une longue aventure. Elle rencontra Amagê, une jeune Sarmate d’une vingtaine d’années et qui commandait la troupe. Mogiane se fit prendre en otage. Ils se rendirent au village où le chef Attila veut la prendre pour épouse… Elle chercha sans arrêt un moyen de s’enfuir. Va-t-elle réussir à s’échapper et retrouver le roi ?

Critique :

L’histoire est vraiment intéressante, mais il y a beaucoup de mots compliqués nécessitant à coup sûr un dictionnaire ou un très bon vocabulaire. J’ai trouvé que la lecture était un peu lourde et qu’il se passait beaucoup de choses à la fois. Les chapitres sont longs et comme l’histoire se passe il y a très longtemps, elle nous permet d’en apprendre un peu plus sur la vie dans ces temps-là. Par contre l’histoire est un petit peu prévisible. Les personnages ont tous un petit côté unique et c’est de cette façon qu’il était assez facile de les distinguer entre eux.Je conseille ce roman à ceux qui veulent en apprendre un peu plus sur l’époque des Huns ou des guerriers…ceux qui aiment l’action et l’aventure aussi. Pour ma part, j’ai aimé le roman, mais avec certaines restrictions.

Rédigé par Mathilde Archambault, 13 décembre 2016.

La maison du silence

Auteur : Laurent Chabin

Maison d’édition : Hurtubise

Année de parution : 2016


Résumé :

Patricia, Thomas et Julien sont trois jeunes, qui ensemble vont traverser une drôle d’aventure. Un matin, les trois amis sont au parc et ils s’amusent bien jusqu’à ce que Diego arrive avec ses deux sœurs plus jeunes Louise et Charlotte. Cette famille est assez étrange , car depuis que leur mère est partie, il se passe des choses très bizarres chez eux. Patricia, Thomas et Julien veulent comprendre pourquoi ces enfants ont l’air si triste et pourquoi se cachent-ils, pourquoi ils ne parlent à personne de ce qu’il se passe. Les trois détectives veulent en avoir le coeur net et mettre fin à l’histoire étrange de la maison de la rue reculée…

Critique :

J’ai beaucoup aimé ce livre. Il y avait beaucoup de suspense et lorsque je terminais un chapitre je voulais immédiatement en lire un autre. L’histoire est captivante et vous tient en haleine jusqu’à la fin. Les personnages sont attachants et amusants. Par contre, j’aurais aimé entendre plus parler de Julien et Thomas, car l’histoire était beaucoup plus centrée sur Patricia et Diego. L’auteur n’utilise pas un vocabulaire trop complexe alors c’est un roman d’environ 130 pages avec une belle grosseur de caractère donc assez facile à lire. Je conseille pleinement ce livre à ceux qui aiment l’aventure et le suspense, mais il vise plus un groupe d’âge entre 12 et 14 ans.  Si je devais donner une note sur dix à ce livre, celle-ci serait de neuf.

Rédigé par Mathilde Archambault, 23 janvier 2017

Les tombes de glace : l’expédition perdue de Franklin

Auteur : John Wilson

Maison d’édition : Scholastic

Année de parution : 2014


Résumé :

George William Chambers, un petit commis de bureau vivant à Londres, rêve d’une vie d’aventures. Lorsqu’il apprend que sir John Franklin prépare une entreprise pour traverser le passage du Nord-Ouest, il saisit l’occasion de s’échapper de cette vie monotone qu’est la sienne. Il s’engage donc sur l’Erebus comme mousse. Tout le début de la traversée se passe sans problème ou presque, jusqu’au jour où John Torrington, le chauffeur principal à bord de l’Erebus, décède des suites d’une maladie des poumons. Par la suite,une série d’évènements inopportuns transformeront ce voyage rempli d’espoir à un véritable cauchemar.

Critique :

Les tombes de glace nous emmènent dans les contrées désertiques du Grand Nord canadien là où derrière chaque colline, crevasse, plaine, lac,  se cachent des pièges plus mortels les uns que les autres. Ce récit incroyable, où se mêle l’amitié, la survie, la peur et aussi une énorme détermination, nous fait découvrir l’une des histoires de survies des plus rocambolesques. Le roman de John Wilson est d’autant plus beau dû au grand soin qu’il a mis à décrire chaque personnage. Par exemple, nous nous faisons une joie de suivre les aventures du héros principal, George Chambers, un personnage inventé de toute pièce par l’auteur qui malgré ou grâce à tous ces défauts devient de plus en plus attachant au fil de l’histoire. Dans ce roman, nous découvrons les limites du corps et de l’esprit humain dans les pires conditions possibles à travers la vie de nombreux personnages tous très marquant. Les tombes de glace est un livre magnifique que je vous conseille grandement de lire.

Rédigé par Jacob Ducas, 17 novembre 2016.

L’apprenti épouvanteur

Auteur : Joseph Delaney

Maison d’édition : Bayard jeunesse

Année de parution : 2005


Résumé :

Dans ce roman d’aventure jeunesse, Thomas Ward, septième fils d’un septième fils, perçoit les ombres de ceux qui ont peuplé la terre et ressent la présence des êtres maléfiques. À treize ans, il doit quitter la ferme familiale pour devenir l’apprenti de l’épouvanteur du comté, John Grégory, chasseur de démon et de sorcières. Son apprentissage est difficile et son maître est exigeant. Il arrivera, avec la complicité d’Alice, à vaincre la démoniaque sorcière Mère Malkin, Tusk et Lizzie.

Critique :

Nous accrochons dès le début de la lecture de ce roman. Grâce à l’imagination de l’auteur, nous embarquons rapidement dans la mythologie et le monde qu’il a créés, le rythme de lecture est rapide. Le suspens est présent du début à la fin de cette histoire. Tom est un personnage attachant. On le sent changé au fur et à mesure que l’histoire avance, sa peur fait peu à peu place à une bravoure parfois nuisible qui pourrait lui coûter la vie. On sent le choc que reçoit Tom en passant d’une famille nombreuse qui l’aime à un vieillard solitaire et distant. L’épouvanteur est par contre lui un personnage plus difficile à cerner passant par moment d’une sorte de grand-père qui tente d’apprendre la dureté de la vie à un jeune garçon à celui d’un homme autoritaire et méfiant. Malgré le côté parfois enfantin du livre, nous pouvons facilement nous y perdre qu’elles que heures.

Rédigé par Jacob Ducas, 13 janvier 2017.

Le secret d’Endymion Spring

Auteur : Matthew Skelton

Maison d’édition : Pocket Jeunesse

Année de parution : 2006


Résumé :

Endymion Spring est un jeune garçon muet travaillant au service de Gutenberg en 1452. Blake Winters est un adolescent qui vit avec sa mère et sa sœur à Londres. Tellement d’années les séparent, mais leur destin les réunit… Quand Blake tombe sur un mystérieux livre vierge dans la bibliothèque d’Oxford, il fera tout pour percer le mystère de ces pages blanches qu’il semble être le seul à pouvoir lire… Arrivera-t-il à percer le secret du Livre Ultime et à échapper à la Personne d’Ombre qui le poursuit?

Critique :

Le secret d’Endymion Spring est un livre qui parle… de livres. Entre les pages de ce roman, chaque mot employé est un indice, une piste, un moyen de guider les lecteurs et lectrices dans l’histoire. Chaque mot a sa signification. Soyez attentifs! La quête du Livre Ultime, longue et périlleuse, mènera Blake et sa petite sœur Duck en travers du chemin de la « Personne d’Ombre », une mystérieuse personne qui veut obtenir le Livre pour de bien sombres desseins. Ils auront par contre les conseils d’Endymion Spring pour les aider à échapper à cet ennemi qui ne leur veut rien de bon. Ces prophéties leur permettront-elles de sauver le Livre Ultime et de faire tomber les plans de la Personne d’Ombre à l’eau? Personnellement, j’ai trouvé que c’était un bon livre pour ceux qui veulent en apprendre plus sur l’origine de l’imprimerie, ceux qui aiment les Feuillesdragons et les livres enchantés! Je le reccomande, c’est un livre à lire, définitivement!

 Rédigé par Joëlle Fagnant, le 11 janvier 2017

L’âge du feu 1. Dragon

Auteur : E. E. Knight

Maison d’édition : Milady

Année de parution : 2008


Résumé : 

Auron est un jeune dragon gris, né d’une des dernières familles de dragons encore vivantes. Il est le champion de sa couvée, et l’espoir de sa lignée. Mais un jour, des nains meurtriers s’introduisent dans la caverne qu’occupe sa famille, guidés par son frère banni. Ayant réussi à échapper à leur vengeance, le jeune Auron se met en quête des autres représentants de son espèce pour tenter de se venger à son tour sur les nains de la Roue de Feu. Alliés et ennemis se succéderont sur son chemin, ainsi que les rencontres inattendues et les pièges semés sur son passage. Auron arrivera-t-il à ses fins?

Critique :

C’est une excellente histoire de dragons, parfaite pour les amateurs de fantastique, comme moi. J’ai beaucoup aimé ce livre, puisque nous ne pouvons jamais prévoir ce qui va venir après, quelles épreuves vont traversé Auron, qui il va rencontrer, qui va lui mettre des bâtons dans les roues… C’est aussi parce que la survie des dragons est entre ses griffes et que c’est excitant de voir comment il va faire pour réussir à déjouer ses adversaires. Au cours de ce récit, nous voyons vraiment les événements du point de vue d’un dragon. Les combats contre les diverses créatures, le sentiment merveilleux du premier envol et l’exaltation de la chasse, par exemple, nous sont maintenant accessibles . Une histoire palpitante et pleine d’action, je n’ai pas déposé le livre tant que je ne l’avais pas lu jusqu’au dernier mot! Je suis certaine que vous en ferez autant… Bonne lecture à vous tous!

Rédigé par Joëlle Fagnant, 11 janvier 2017