La princesse dans un sac

Auteur : Robert Munsch

Maison d’édition : Scholastic

Année de parution : 2008


Résumé :

Ce récit connu inverse les archétypes des contes classiques en mettant en scène une princesse qui déjoue un dangereux dragon pour libérer son prince. Au moment d’être délivré, le prince hautain et arrogant critique la princesse pour sa mauvaise tenue. Déterminée et fière, la princesse lui répond du tac au tac et refuse de l’épouser. Vingt-cinq ans plus tard, ce conte demeure toujours efficace par son humour et actuel par ses implications. Des illustrations expressives et humoristiques, qui soulignent bien la ruse de la princesse, la suffisance du dragon et l’effronterie du prince, accompagnent le texte. Un disque qui offre une narration intégrale de l’album avec des effets sonores efficaces complète cette édition.

Critique :

J’ai beaucoup apprécié ce livre car le conte est bien différent des autres. Contrairement aux autres histoires de notre enfance, celle-ci raconte l’histoire d’une héroïne et non d’un prince qui sauve la princesse, les rôles étant inversés. De plus, l’héroïne a su faire preuve d’intelligence en déjouant le dragon qui maintenait prisonnier le jeune prince Alfonce. J’ai ressenti la fierté du « girl power » parce que ce livre prouve que les femmes sont capables de
relever les mêmes défis que les hommes. Cela m’a rendu heureuse de savoir que nous pouvons accomplir les mêmes tâches, comme sauver un prince des puissantes griffes d’un dragon. Il est important de montrer aux enfants le plus jeune possible que les femmes et les hommes sont égaux et qu’ils ont la même valeur car ce sont eux qui feront évoluer notre société. Et c’est ce que fait si bien ce livre. Il prouve aussi qu’une femme peut être libre et indépendante et n’a pas obligatoirement besoin d’un homme dans sa vie.

Rédigée par Émy Chapleau, le 9 janvier 2019.

La chute de Sparte

Auteur : Biz

Maison d’édition : LEMEAC

Année de parution : 2011


Résumé :

Ce roman porte sur l’adolescence. C’est l’histoire d’un adolescent qui se prénomme Steeve, élève à la polyvalente Gaston-Miron. Steeve est un jeune homme qui adore la lecture. Entre autres auteurs, il lit Gaston Miron et Nietzche. Tout ce qui lui passe par la tête, il le note dans son carnet personnel. Au sein de ce carnet, Steeve y raconte sa vie à l’école, sa vie sociale et ses problèmes. Confronté à une pléiade d’émotions, il s’enferme tout le temps dans sa chambre. Il est aussi très amoureux de la fameuse Véronique Plourde. En somme, notre lecture du roman nous fait suivre Steeve dans sa dernière année du secondaire et de sa vie d’adolescent.

Critique :

J’ai adoré ce livre car je me suis reconnue à plusieurs reprises pendant ma lecture. En effet, l’écriture de Biz est très facile à comprendre. Il emploie parfois du language familier, ce qui permet de nous reconnaitre dans les paroles de Steeve et des autres personnages. De plus, le réalisme de la vie d’adolescence dans ce roman me rejoint beaucoup puisqu’il aborde des facettes de l’adolescence que seuls nous les adolescents pouvons comprendre. Je trouve que l’auteur a réussi à mettre en mots cette période complexe que nous devons tous vivre. Toutes les questions que Steeve se pose pendant l’histoire sont des exemples concrets que les adolescents vivent. Aussi, j’ai adoré le fait que le roman aborde des sujets « tabous » par une simplicité incroyable. Cela aide les jeunes à se découvrir et à s’apprécier comme ils sont. Pour conclure, en tant qu’adolescente, j’ai vraiment aimé ce livre, moi qui est plutôt difficile habituellement. Je conseille ce roman à tout le monde autant pour les adolescents et même pour les adultes qui pourront peut-être comprendre la complexité de la vie d’adolescent.

Rédigée par Aya Bourbia, 7 janvier 2018.

Jeanne, fille du roy

Auteur : Suzanne Martel

Maison d’édition : FIDES

Année de parution : 1974


Résumé :

Voici l’histoire de Jeanne, une jeune fille élevée durant son enfance par son grand-père. Suite à son décès, elle est envoyée au pensionnat où l’éducation est dispensée par des religieuses. Un jour, quelques filles du pensionnat doivent quitter la France pour aller vivre en Nouvelle-France. Jeanne et son amie Marie font parties de ces filles. Arrivées en Nouvelle-France, elles deviennent des filles du Roy. Dans ce contexte, Jeanne épouse le seigneur Simon de Rouville qui a déjà deux enfants. La jeune femme vit, avec son mari et ses deux enfants, dans une cabane en bois dans la forêt. La majorité du temps, Jeanne y est seule avec les enfants, donc tout au long de l’histoire Jeanne doit faire preuve de détermination face aux nouvelles responsabilités qu’elle a.

Critique :

Je n’ai pas du tout aimé ce roman, car il n’y avait pas assez de suspense et d’action à mon goût. Tout au long de l’histoire, j’ai eu de la difficulté à comprendre le texte, car les mots étaient très compliqués à comprendre, l’auteur utilisant un langage du 17e siècle. De plus, je n’ai pas accroché à l’intrigue, car l’auteur explique à plusieurs reprises le contexte historique de l’histoire, avec des pauses, ce qui me mélangeait dans ma compréhension du roman. Aussi, Jeanne, fille du Roy est un roman d’amour, c’est pour cela que je ne l’ai pas apprécié, car je n’aime pas ce genre. En revanche, ce roman est intéressant au niveau historique, car comme j’ai dit précédemment, ce roman décrit l’histoire de la Nouvelle-France, ce qui permet d’en apprendre plus sur la Nouvelle-France et, naturellement, les filles du Roy. En somme, je conseille ce livre à ceux qui aiment les romans d’amour ou les romans historiques.

Rédigé par Aya Bourbia, 7 janvier 2018.

 

Divergence 1.

Auteur : Veronica Roth

Maison d’édition : AdA Inc.

Année de parution : 2011


Résumé:

Dans le livre présenté, nous avons Beatrice, une jeune femme jouant un rôle important dans l’histoire puisqu’elle est le personnage principal de cette série. Elle vit dans une ville séparée en cinq « clans », dont les Sincères, les Altruistes, les Audacieux, les Fraternels et les Érudits. Puisque qu’elle a atteint l’âge de 16 ans, cette dernière doit choisir quelle section elle désire intégrer. Cependant, comme tout adolescent, elle est en réflexion et se pose beaucoup de questions à propos de son choix. De plus, une longue compétition est à venir et des doutes s’imposent quant à sa perception d’elle-même et celle de ses amis. Puis, comme si elle n’avait pas déjà suffisamment de questionnement, une histoire d’amour dramatique débute et mélange notre héroïne davantage.

Critique: 

D’après moi, ce livre n’est pas fait pour tout le monde. Le livre comporte près de 450 pages, ce qui peut être décourageant. Il faut accrocher dès le début sinon le livre semblera interminable. Mais ce livre est parfait pour nos amateurs de drame, qui seront plus que servis car l’histoire nous capte jusqu’à la fin. Le bouquin vous fera tournoyer dans de tas d’émotions qu’un livre ne vous fera jamais vivre. Pour continuer, je crois que le livre peut être plus intéressant pour les adolescents âgés de 16 ans puisqu’ils auront le même âge que l’héroïne. De plus, comme il est rempli de questionnement de la vie quotidienne et comme elle fait face à ces difficultés comme nous le ferions, l’histoire peut enseigner comment réagir face aux drames de la vie. Pour finir sur une bonne note, ce livre est très apprécié par la critique, récoltant notamment une note de 4.19/5 en moyenne sur Babelio (https://www.babelio.com/livres/Roth-Divergente-tome-1/295647,page consultée le 20 décembre 2018).

Rédigée par Zakary Larivière, le 20 décembre 2018.

Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban

Auteur : J.K. Rowling

Maison d’édition : Folio Junior

Année de parution : 1999


Résumé :

Après un été plutôt normale comme d’habitude, Harry Potter est prêt à entamer sa troisième année à Poudlard. Mais, un présumé dangereux criminel nommé Sirius Black s’est échappé de la prison d’Azkaban. Il recherche assidûment l’apprenti sorcier de 13 ans pour une raison qu’Harry Potter ignore. Cela pourrait-il peut-être mettre en péril sa troisième année à Poudlard? Harry Potter vivra, lors de cette année étrange, de moments inoubliables en compagnie de ses amis Ron et Hermione. Il découvrira aussi de nouveaux sorts et défenses tout en côtoyant un professeur mystérieux, le professeur Lupin. Tout est à venir lors de votre lecture.

Critique :

J’ai bien apprécié ce roman. Dès que nous sommes plongés dans le texte, nous ne pouvons plus nous arrêter. L’univers est tellement grand et imaginaire, ce fut un temps passé, très plaisant pour moi, à bâtir un monde à la Harry Potter. Les personnages et les lieux sont très bien décrits, ce qui permet au lecteur une lecture fluide. En arrière du livre, il est bien écrit que ce titre est jugé époustouflant, cela est vraiment le cas. En revanche, ce titre ne peut pas plaire à tous en raison qu’il renferme du fantastique et ce n’est pas tout le monde qui aime ce genre. L’auteure a néanmoins bien réussi à le dissimuler, faisant en sorte qu’en lisant, nous croyons que les sorciers cohabitent avec nous, les lecteurs non-magiques. Pour l’histoire, elle est très bonne, les personnages sont forts intéressants, étonnants et mystérieux. Je ne m’attendais pas tout le temps à leurs actions finales. Les lieux sont assez bien décrits, malgré qu’ils soient très peu vraisemblables. Comme tous les Harry Potter, les débuts ne sont pas tous faciles à comprendre en raison d’une description assez complexe des lieux, des temps et des nouveaux personnages. À partir du deuxième chapitre, la lecture se fait toute seule. En bref, plus la lecture avance, plus nous sommes plongés dans ce livre en raison d’éléments variés. Selon moi, nous n’attendons pas la fin de cette histoire, nous voulons qu’elle continue tant elle est intéressante.

Rédigée par Charles-Antoine Léger, le 16 décembre 2018

Anne…La Maison aux pignons verts

Auteur : Lucy Maud Montgomery

Maison d’édition : Québec Amérique

Année de parution : 1908


Résumé :

Une jeune rouquine arrive à la gare de Charlottetown. Seule, avec une valise et une imagination pétillante, elle attend impatiemment de rencontrer ses nouveaux parents adoptifs. Marilla et Matthew Cuthbert pensaient recevoir un orphelin et non la brillante Anne Shirley. Ils découvrent cependant une petite fille charmante, attachante, ingénieuse et…maladroite. Dans le village d’Avonlea, Anne se fascine de la beauté de l’Île-du-Prince-Édouard, rencontre plusieurs âmes-sœurs et dit tout ce qui lui passe par l’esprit. Suivez les aventures, et mésaventures, de la merveilleuse Anne.

Critique :

Je pense bien que ce roman est mon coup-de-cœur de l’année! C’est tout de même le plus grand classique canadien-anglais de tous les temps! La jeune Anne m’a complètement charmé. Elle s’exprime d’une façon incroyable et son imagination est sans fin. La petite rousse sait plaire à tous. Marilla, la mère adoptive, est un personnage intriguant. Elle semble ne pas apprécier la présence d’Anne dans sa vie, pourtant, au fond de son cœur, elle l’aime comme sa propre fille. Du côté de Matthew, on s’y attache tout aussi vite qu’Anne. Il ne dit pas un mot, pourtant je l’adore. Tout au long du livre, de nouveaux personnages arrivent et partent, ce qui fait varier l’histoire. De plus, notre chère Anne a le don de se mettre dans le trouble. On ne sait jamais quelle idée va lui passer par la tête. L’histoire se déroule au début du 20e siècle, j’ai appris sur le mode de vie des paysans canadiens de l’époque. Anne…La Maison aux pignons verts m’a donné envie de visiter l’Île-du-Prince-Édouard et d’y imaginer toutes les choses fantastiques qu’Anne aurait imaginées.

Rédigée par Danika Belzile, le 23 novembre 2018

Phobos

Auteur : Victor Dixen

Maison d’édition : Robert Laffont

Année de parution : 2015


Résumé :

Léonor, une française de dix-huit ans, a postulé pour participer au programme Genesis : une émission de téléréalité ayant pour but de coloniser la planète Mars. Six garçons et six filles ont été sélectionnés, Léonor en fait partie. Filmée vingt-quatre heures sur vingt-quatre, la jeune française doit cohabiter avec cinq filles dans un vaisseau spatial en route vers la planète rouge. Chaque semaine, elles ont six minutes pour choisir leur futur époux. Mais à qui faire confiance?

« Même si le rêve vire au cauchemar, il est trop tard pour regretter. »

Critique :

J’ai bien apprécié le tome 1 de la série Phobos de Victor Dixen. Je me suis vite attachée au personnage principal, Léonor, et aux filles du programme Genesis. Le suspense et l’intrigue sont présents tout au long de la lecture. L’exploration spatial est une de mes passions et j’ai été rassasiée par ce roman. L’histoire est basée sur des faits scientifiques qui sont possibles ou qui pourraient le devenir. Je verrais ce scénario se produire dans quelques années. Au cours du roman, j’ai éprouvé autant de la surprise et de l’extase que de la mélancolie et de la frustration. Je vivais à fond les émotions des personnages. Le vocabulaire utilisé est poussé et enrichi. J’ai aimé cet aspect mais, pour certains, ça pourrait nuire à la compréhension du texte. J’étais perdue au début du livre, je ne comprenais pas qui était qui, ni qu’est-ce qui se passait. Après quelques pages, j’ai compris dans quel contexte l’histoire se déroulait puis, je n’ai pu quitter ce livre. Surprises sur surprises, l’histoire est captivante et intrigante. La fin était absolument imprévisible! Je n’ai pu m’empêcher de lire la suite et celle-ci est de plus en plus emballante.

Rédigée par Danika Belzile, 12 novembre 2018

Magnus Chase et les Dieux d’Asgard

Auteur : Rick Riordan

Maison d’édition: Albin Michel

Date de parution: 2016


Résumé :

Magnus Chase vivait une vie plutôt normale. Il vivait dans la rue, orphelin suite à la disparition de son père et l’assassinat de sa mère par une meute de loups. Un beau jour, il dormait dans la rue tranquillement jusqu’à ce que quelqu’un le réveille en lui disant « Ils te cherchent ». Il avait encore son oncle Randolph, que Magnus détestait. Après avoir découvert que son père était un Dieu grec, Magnus affronta un géant de feu qui voulait sa mort. Il finit finalement à vaincre le monstre au prix de sa vie. Heureusement, il arriva au Walhalla, un hôtel pour les personnes mortes de manière héroïques. Après avoir pris connaissance de la quête qui l’attend, Magnus devra faire de son mieux pour trouver cette fameuse épée de l’été, avant que le temps ne s’écoule et qu’elle tombe dans de mauvaises mains.

Critique :

Rick Riordan nous impressionne encore avec sa nouvelle série. Magnus, étant le narrateur du livre, nous fait rire à chaque page. Ce livre est moyennement facile à lire à cause de certains mots difficiles. Après une journée triste, lisez-le car ça va vous redonner le sourire. La fantaisie de ce livre est inimaginable. Ce livre contient un mélange équilibré entre le suspense, l’humour, l’aventure, l’action et la fantaisie. À la fin de chaque chapitre, il se passe quelque chose qui va vous donner encore plus envie de le continuer et le nom de chaque chapitre est hilarant. On y apprend beaucoup, notamment des dieux d’Asgard dont Thor, Loki, Odin, Freyr et Freyja, grâce à de belles descriptions de l’auteur.

Rédigée par Aymane Laghrieb, 26 octobre 2018

 

Héros de l’Olympe 3. La Marque d’Athéna

Auteur : Rick Riordan

Maison d’édition : Albin Michel (version française)

Année de parution : 2013 (version française)


Résumé :

Annabeth Chase, demi-déesse grecque, accompagnée de ses nouveaux comparses, part pour le Camp Jupiter, une colonie de demi-dieux romains, pour retrouver son petit-ami, Percy Jackson. Toutefois, leur première rencontre avec les nouveaux demi-dieux de cette colonie plutôt méconnue ne se passe pas comme prévu et finit en altercation. Suite à la déclaration de guerre du camp romain, Annabeth se voit confier la tâche de retrouver la Marque d’Athéna à Rome par sa mère divine. De plus, faisant partie des sept demi-dieux concernés par la Grande Prophétie, elle doit s’embarquer pour la Grèce afin de refermer les Portes de la Mort d’où s’échappent plusieurs défunts prêts à contrer l’équilibre des dieux de l’Olympe.

Critique :

D’un avis général, je dirais que ce livre m’a plu malgré certains accrocs. Premièrement, il permet de développer la culture générale du lecteur sur plusieurs sujets de tous genres. Bien entendu, on y retrouve beaucoup de références à la mythologie et à l’histoire des peuples de l’Antiquité, mais j’ai apprécié le fait que l’auteur exploite ses larges connaissances sur d’autres thématiques. De plus, j’ai appris à m’attacher aux différents protagonistes qu’on voit évoluer et mûrir au fil des aventures. Selon moi, la grande majorité des personnages sont dotés de faiblesses, tant au niveau psychologique que dans leurs pouvoirs, ce qui les rend davantage réalistes. En outre, les personnages partagent plusieurs origines, ce qui ajoute un côté plutôt diversifié et ouvert d’esprit à l’histoire. Toutefois, ce livre possède un léger humour enfantin qui, parfois, m’agaçait un peu par son côté puéril. De plus, la traduction française est loin d’être à la hauteur des œuvres originales, ce qui peut aussi se montrer décevant. Enfin, étant la suite d’une série, la lecture peut être difficile à suivre pour certaines personnes qui n’auraient pas lu Percy Jackson et les Olympiens et les deux premiers tomes de Héros de lOlympe.

Rédigé par Marilie Chalifoux, 15 septembre 2018

Harry Potter 5. L’Ordre du Pénix

Auteur : Johanne Rowling (J.K. Rowling)

Maison d’édition : Gallimard Jeunesse (version française)

Année de parution : 2003 (versions anglaise et française)


Résumé :

Après la fin d’un été plutôt mouvementé, Harry Potter entre à Poudlard pour sa cinquième année avec ses inséparables amis, Ron Weasley et Hermione Granger. Ils s’aperçoivent rapidement que le ministère de la Magie souhaite exercer un contrôle plus ferme sur l’école de sorciers lorsque Dolores Ombrage, envoyée par ce dernier en tant que nouvelle professeure pour le cours de défense contre les forces du Mal, instaure un système de règles tyranniques sur Poudlard en rendant la vie dure aux élèves. En outre, le ministère nie le retour de Voldemort, le Seigneur des Ténèbres et fait tout pour que la communauté des sorciers n’y croit pas, elle non plus. Pendant ce temps, l’Ordre du Phœnix, société secrète fondée par le directeur Abus Dumbledore redevient active dans le but de contrer Voldemort, le Seigneur des Ténèbres, et ses partisans, les Mangemorts.

Critique :

J’ai particulièrement apprécié ce livre et, de toute la collection Harry Potter, celui-ci est mon préféré. Ainsi, j’ai trouvé intéressant de voir les trois principaux protagonistes évoluer sous le joug de Dolores Ombrage qui était présentée comme une femme tyrannique qui proposait donc un autre portrait de la vie à Poudlard. De plus, j’ai aimé certains aspects du livre qu’on peut facilement comparer à notre société comme le ministère de la Magie ou même la présence des examens de fin d’année, les BUSE qui ajoutent, selon moi, un certain réalisme à l’histoire. En outre, j’ai trouvé plutôt original le fait que les protagonistes principaux n’aient pas uniquement Voldemort pour obstacle, mais aussi le ministère qui, pourtant, a de bonnes intentions. J’ai, aussi, bien aimé le fait que ce récit plutôt long permette au lecteur de connaître certains personnages qui se montraient très peu développés, comme le parrain de Harry. Enfin, le livre contient beaucoup plus de détails que le film, ce qui se montre généralement comme un avantage. Par contre, je pense que quelques passages peuvent alourdir l’histoire, aux yeux de certains lecteurs. Enfin, ce livre plutôt épais pourrait possiblement décourager certaines personnes, mais cela a aussi permis à l’auteure de développer ses personnages et la diversité de son univers magique.

Rédigé par Marilie Chalifoux,15 septembre 2018