Les Chevaliers d’Émeraude 1. Le feu dans le ciel

feu dans le cielAuteur : Anne Robillard

Maison d’édition : Éditions de Mortagne

Année de parution : 2002


 

Résumé :

Sur le lointain continent d’Enkidiev, le Roi Émeraude Ier, poussé par son magicien Élund qui prédit qu’une grande menace s’abattra sur tous les royaumes, décide de faire renaître l’ordre ancien des Chevaliers d’Émeraude. Ces guerriers magiques seront chargés de la protection des habitants du continent et de leurs souverains. Récemment adoubée, la nouvelle génération comportant sept jeunes guerriers, six hommes et une femme, devra assurer la protection de la fille de la Reine Fan de Shola, Kira, alors âgée de deux ans, qui sera un élément clé dans l’accomplissement d’une grande prophétie. Peu après, l’Empereur Noir attaquera Enkidiev avec sa puissante armée, ravageant le royaume de Shola. Malgré leur petit nombre, les Chevaliers devront s’unir et s’armer de courage pour accomplir leur devoir.

Critique :

Premier livre d’une série de douze tomes, « Le feu dans ciel » est le début d’une épopée fantastique écrite par Anne Robillard qui a taillé sa place bien méritée dans la littérature québécoise actuelle. Il jette les bases de la série et nous laisse en haleine. Personnellement, je le recommande à tous, étant donné qu’il est accessible à un large public et qu’il vous fera plonger rapidement dans l’univers de la chevalerie. Débordant d’imaginaire, le tout agrémenté d’un soupçon de romance, ce roman présente des actions qui s’enchaînent de façon fluide et les nombreux personnages apportent tous leur grain de sable au récit, du grand Wellan, chef des Chevaliers, jusqu’à la jeune princesse Kira. Sans passage descriptif d’une longueur assommante, j’ai très bien pu m’imaginer le riche continent d’Enkidiev, du royaume côtier de Zénor jusqu’à la contrée inhospitalière de Shola. Pour moi, reposer ce livre était impossible. Quelque chose dans la plume de madame Robillard nous accroche sans essoufflement jusqu’à la dernière phrase et on en redemande!

Rédigé par Elizabeth Matte, 6 janvier 2015

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