Maison d’édition : Alire
Année de parution : 2000
Résumé :
Alice est une jeune fille qui vit à Brossard, elle a soif d’aventure et de nouveau. Alors, un jour elle annonce à ses parents qu’elle a décidé d’arrêter ses études pour aller vivre à Montréal. Ses parents furent tellement choqués qu’ils la mirent à la porte. Arrivée à Montréal, elle se chercha un appartement puis, elle aperçut un homme qui avait échappé son portefeuille. Elle se lança à sa poursuite dans le métro afin de lui redonner. Elle atterrit dans un quartier de Montréal qu’elle ne connaissait pas du tout, Lutwidge Elle fît la rencontre de personnages très étranges et excentriques comme Verrue, Charles ou encore Bone et Chair. Tout le monde lui semble bizarre et dérangé. Aliss vivra des aventures déroutantes et elle apprendra que la logique n’est pas toujours la même pour tout le monde…
Critique :
En premier lieu, je n’ai pas apprécié ce livre contrairement aux autres ouvrages de Patrick Senécal, car j’ai trouvé le style d’écriture de celui-ci beaucoup plus difficile à comprendre ce qui pourrait ne pas convenir à tous les niveaux de lecteurs. De plus le sujet de ce livre était trop étrange ce qui m’a déplu, effectivement : ‘’ Elle est l’anti-logique! Celle qui mènera au chaos, au chaos, au chaos« je n’ai pas compris ce que les personnages essayaient d’exprimer… En second lieu, je n’ai pas aimé les émotions que m’a procuré ce livre c’est-à-dire de l’effroi et du dégoût, ‘’Qu’est-ce que… Une femme! Je hurle, en échappe presque mon briquet. Mais oui, c’est une femme, suspendue par les pieds au plafond! Ou plutôt un cadavre de femme, car elle est morte c’est sûr! Elle est en sang, son visage en bouillie, sa peau lacérée, et ses bras pendants ont la peau arrachée, l’os à nu… « Effectivement, dans ce roman j’ai eu l’impression que toutes les scènes du livre étaient beaucoup plus détaillées, ce qui parfois pouvait être intéressant tout en étant parfois un peu dégoutant si vous avez l’imagination fertile. Je vous conseille ce livre si vous êtes amateur de frissons et de livres déroutants
Rédigé par Magalie Foucault, le 6 mars 2015