Maison d’édition : ADA
Année de parution : 2012
Résumé:
Olivia Abbott déménage dans une ville nommée Franklin Grove avec ses parents adoptifs. Elle a hâte de faire partie de l’équipe de meneuses de claque de sa nouvelle école. Ensuite, elle rencontre, Ivy Vega, une fille mystérieuse, mais avec qui elle découvre plusieurs points communs. Par exemple, sans leur maquillage et avec un peu de bronzage, elles se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Quelle surprise pour Olivia d’apprendre qu’elle a une soeur jumelle! Elle va pouvoir essayer de faire tous les tours de jumelles identiques possibles en commençant par échanger de place. Ce qu’Olivia ne sait pas c’est qu’Ivy lui cache quelque chose à propos de sa vraie nature. Que refuse-t-elle de lui dire? Quels sont les stéréotypes à propos des Gothiques de Franklin Grove?
Critique:
Ce livre est plein de tours et de secrets et c’est pourquoi je l’adore. Tout au long de ce roman, on peut voir la belle complicité que peuvent avoir deux jumelles. Elles s’entraident mutuellement dans leurs vies ce qui amène parfois certaines complications qui sont amusantes à lire et dont on ne sait jamais la solution à l’avance. Par exemple, Olivia aide Ivy en allant à une réunion d’une fête gothique, mais se met les pieds dans les plats plusieurs fois. Elle a beau essayer de rattraper ses erreurs, cela ne se passe pas comme prévu et c’est là qu’on reconnait des scènes qui peuvent nous arriver comme être humain. Sienna Mercer a écrit son livre en se basant de la vie que de jeunes adolescentes peuvent avoir et c’est plaisant de voir que la vie n’est pas toujours facile et que c’est normal. La leçon qu’on peut tirer de ce roman est magnifique et fait réfléchir. De plus, l’auteure a utilisé, sur certains habitants de Franklin Grove, les mythes qu’on entend souvent à propos des vampires. Ça donne à l’histoire un côté plus mystérieux et plus attrayant. Tout ça pour vous dire que ce livre nous démontre une belle leçon tout en étant facile à lire et divertissant pour les lecteurs.
Rédigé par Ariane Bastien, 14 décembre 2016